• Chapitre 10 : révélation, pleur, je sais que bientôt je dirais adieu

     

    le lendemain ou devrai-je dire deux heurs plus tard, vus que je n’ai pus fermer l’œil que durent se lapse de temps que je dois avoué m’a parus vraiment court, je somnolez toujours en baillons et caressent mon Didi refusent d’ouvrir mes paupières, lorsque j’entendis la porte grincé contre le sol, suivis de plusieurs bruit de pas que je reconnus immédiatement, à mon grand regret je dut laissé la lumière pénétré mes yeux qui avaient cette foi beaucoup de male à la supporté, je me soulève de mon lit et voie les trois demoiselles devant moi me regardé de la tête au pied, l’air inquiète, facile à en deviné la cause vus le scénario qui se produit hier soir devant elles, je l’avais déjà envisagé, et comme parade à cela je ne trouva pas autre solutions que de sourire et de me comporté normalement comme si tous cela ne c‘étais jamais produit, comme si je n’avais rien découvert, comme si rien allais changé et que se n’étais qu’un mauvais rêve, je sourie: « qu’es que vous avais en dirais qu’en est en guère, je n’aime pas vous voir comme sa, il fais beaux, alors souriez, le vent c’est arrêté » dis je en me précipitent vair la fenêtre pour recevoir la légères  brise du matin, quelque petit sourire firent alors leur apparition.

    Moi : « alors qu’elle est le programme d’aujourd’hui ???? »

    La 2em : « et bien au début petit déjeuné avec la rein, puis vous avais quartier libre »

    Moi : « un ????, mais comment sa se fais ???? »

    La 1 er : « et bien,… vous n’aurais plus court d’ici votre départ »

    Moi : « ah, je comprends mieux, (bon en réfléchis un peut il faux que je me trouve une excuse), super, je vais pouvoir faire la grasse mâtiné»

    La 3 em : « vous venais, en va vous aidez à faire votre toilette pour aller au petit déjeuné » 

    Moi : « (je ne veux absolument pas la voir) je n’ai pas vraiment faim,  pas pour aujourd’hui, merci quant même »

    La 2 em : « d’acore, en vous dit alors à plus tard»

    Elles sortirent, je regardai Didi et dit : « alors qu’es que tu préfère, en part des maintenant ou en attend un peut »

    Mon Didi aboya et je sourie en hochent la tête : « je m’en douté et moi aussi je veux partir d’ici avent que le mauvais temps ne revienne, j’espère que je pourrais voir Arthur, il faux absolument que je lui parle, mais qu’es que je pourrais bien dire, je ne sais pas si je doit tous lui révélé, non, pas comme sa, mais comment faire ??? »

    J’étais en plain dans les nuages qu’en en cogna à ma porte,  je fis un sursaut avent de reprendre mes esprits et de demandé qui c’étais, ma grande surprise fus de voir la plus jeune de mes demoiselles de Compagni arrivé avec un plateau contenant mon petit déjeuné dans les mains : « tenez princesse Liliana, je suis certaine que vous avais faim »

    Moi : « eh, non tu te trempes (à se moment précis mon ventre grande se qui fis sourire mon interlocutrice) mais vus que tu la ramenais je veux bien le prendre, Eli»

    Eli : « vous vous souvenez de mon nom ????» dit-elle étonné

    Moi : « bien sur^^ »

    Eli : « eh merci… passé une bonne journée, à 7 heur du soir en viendra vous chercher, n’oubliez pas de revenir et que personne  ne vous voie » dit elle avec un clin d’œil a la fin avent de sortir.

    Je la regardé et souri, elle à s’en doute compris,  je visionnais d’un œil de prédateur le plateau devant moi, se que j’ai faim !!!, heureusement qu’elle me la remmenais je n’aurais s’en doute pas pus résisté très longtemps, je me mis sur la chaise à coté de Didi et en avala en quatrième vitesse notre petit déjeuné, bon je pourrais pas passé par la porte de devant, ils en déjà vus mon déguisement et je suis en mode poursuivie, après mur réflexion, je partit vair mon armoire, elle doit surement être là, ou mais ou je les mis ??, je cherche et fouille pour finir par trouvé une robe de serveuse du châteaux que j’utilisé avent pour m’amusé (en me l’avais pas donné, j’ai dus m’arrangé pour en prendre une sans qu’en me voie), je remarqua un drap blanc qui fis office de tablier, décoiffa un temps soi peut me cheveux que je pris en queux de chevale et sur les quelle j’y déposa un bandeaux blanc, je mis du fend de tain pour rendre mon visage d’une couleur plus mate, pris le plateaux dans mes mains et me dirigea vairs la cuisine suivi par Didi, par chance personne ne me remarqua et je pus m’échappé  sans trop de problème, par la porte de derrière  du château en prétendant allais jeté les poubelles, se que je fis bien sur avent de m’enfuir, malheureusement Didi nus pas cette chance il resta dans le château, pour la première foi j’étais partit seul, arrivé au buisson j’enleva ma robe, pour laisser apparaitre mes vieux vêtement de villageois que j’avais enfilé en dessous j’enleva la poudre de mon visage, et mis ma casquette, en me dirigent désormais  vers le village.

    Arrivé au village, je marcher de droite à gauche, j’ai s’en doute plus de chance de trouvé Arthur cette après midi donc pour l’instant je fais une petite balade, et dire que la semaine prochaine je ne serrais plus là !!, cela me fais trop male, pourquoi à t’il fallu que sa m’arrive ?, tous ses endroits ou je marche me rappelle Arthur, il m’a fais visité toute la ville, en c’est tellement amusé, j’ai des millier de souvenir dans la tête, je rougie, mais que m’arrive t’il ??, en y repensent je rougie souvent en sa compagnie, en s’y peut de temps en à pus si bien se connaitre, enfaite je m’en veux un peut de lui caché qui je suis alors que lui n’à pas d’aussi grand secret pour moi, mais je n’y peut rien, je pence trop à sa réaction, au jour du bal, en se remémorent cette rencontre, sa main sur ma bouche, moi serrais contre lui, je rougie de plus belle, que se passe t’il ? Que m’arrive-t-il ? la simple pensé de son visage fais battre mon cœur à une allure phénoménale, je t’en ma main machinalement vair l’endroit ou les battement se fessais de plus en plus intense tendis qu’une larme coulais de ma joue, je ne le révéré sans doute plus, il m’oubliera, la prochaine foi que je le verrais si j’arrive à le retrouverais tous se qu’il pourra me dire c’est : « votre majesté » comme tous le monde, pourquoi sa, j’aime tellement sa personnalité aussi vivante, un peut farfelu, très gentille, mais il ne la pas montré à Liliana  seulement à Lili,  je ne peut pas lui révélé qui je suis, je ne peut pas pensé à la possibilité qu’il ne me reconnaisse plus, mon cœur se serre les larmes afflue, le male est fais, ma mère n’existe plus elle m’a enlevé tous mes repères, toujours sa, toujours être rêne, pourquoi ??,  pourquoi ne peut en pas choisir sa famille ??, pourquoi se destin alors que t’en de gens le veulent ??, pourquoi sa doit être moi ??, Arthur, j’aimerais temps rester avec lui, je veux le voir maintenant, je veux l’avoir au près de moi, je ne veux pas me marié avec un inconnu, je ne veux pas être séparé de ma liberté, je ne veux pas que tous cela continu, tous simplement je veux tomber, comme une feuille d’un arbre, comme une pétale que le vent emporte, Arthur viens, je t’en pris, je sent que si je ne te vois pas, je vais lâcher prise, je veux voir ton visage, Arthur, je crois que, je crois que je t’aime, a cette instant précis je me figea, qu’es que je venais de dire, je l’avais pensé, serai-se cela, serai-je tomber amoureuse de lui ?, mes gambe me lâchèrent, et je tomba à genoux, c’est sa …d’aimée ??.

      J’étais à genou par terre aux plains milieux de la route, le visage emplis de larme et mes pensés droit vair se sentiment que je n’avais encor jusque la jamais ressentit, Arthur je voulais le voir, être sûr de se que je venais de dire, à cette instant précis je sentis une main se posé sur mon épaule, je sursautai en tournent la tête qui étais encor à moitié en larme, la personne qui se trouvé devant moi resta boche bée, et mes yeux s’écarquillèrent devant celui-ci.

    ….. : « Lili, mais tu pleur » dit il en s’agenouille devant moi « dit moi qu’es qui c’est passé » continua t’il

     

    Je ne sais comment mais dès qu’il me dit cette phrase je me jetai dans ses bras et les sanglots m’envahissais : « A ….r…th…u….thure » réussis-je enfin à prononcé, il m’encercla de ses deux bras et me tapota doucement le dot : « Sava allais, reprend toi, sa ira mieux »....à suivre


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  • chapitre 11: je t'aime mais je n'y arrive pas

    J’étais dans ses bras en pleur serré contre lui, lorsque je repris mes esprits mes joues s’empourprèrent et je me sentais vraiment gêné mais je voulais absolument rester ainsi, que m’arrivait-il ?,  es vraiment sa ?, je l’aime ?, il passa sa main protectrice sur mon cuir chevelu, je rougie encor plus et enfonça ma tête contre son buste pour ne pas qu’il remarque se rouge écrevisse qui avait envahis l’infime partit restante de mon visage, mes larmes semblé avoir disparut, et les légers sanglots se fessais de moins en moins visible, je me sentais pour la première foie de ma vie en toute sécurité, avec lui, oui, pour la première foie je pensais que rien ne pouvais m’arrivé et je ne santé pas la nécessité de m’enfuir, de parlais ou de réagir, tous se que j’aurais aimé c’est que cela dur pour toute ma vie, être dans ses bras, à l’abris, en sécurité, pour l’éternité, oublié tous, rester seulement ainsi avec Arthur à mes coté.

    Quelque minute après, à mon grand désarroi je du quitté cette chaleur et se réconfort, et me séparé de lui.

    Moi : « merci….désolé »dis je en rougissons légèrement avent de poursuivre : « je ne sais pas se qu’il ma pris »

     Arthur sourie pour me dire gentiment : « se n’es rien, allez maintenant tu va m’expliqué se qui t’es arrivé »  il avait dit sa avec de l’enthousiaste et de la joie, malgré que ses yeux le trahissez et démontré de la peur et de l’angoisse, je pence qu’à cette instant je reflétais le même sentiment, même si je savais se qui arrivé, je du me résoudre, pris une longue respiration pour décompressé et dit avec un petit sourire : « je te dirais tous se soir, je voudrais qu’en se balade un peut avent, si sa ne te dérange pas »

    Il semblé avoir compris que je ne voulais pas aborder le sujet tous de suite « d’acore mais après, tu m’explique tous, promis » il massa de sa main son coup et continua visiblement un peut gêner en rougissons : « je n’aime pas te voir triste comme sa »

    Quant il avait dit sa mon cœur à fais un bon dans ma poitrine, je me senti énergique et je pensé pouvoir soulevé des montagnes, d’une voie plaine d’entrain je continuai : « promis juré, crois de bois, crois de fer, si je mens je vais en enfer »

    Arthur fièrement un peut taquin rajouta : « ta à intérêt sinon je te ferais avalé mile aiguilles, allais viens en y va » il me tendu sa main que j’attrapais en halte en avais commençais à avancé lorsqu’il se retourna vers moi un peut pensive et dit « enfaite Kiki il ne vient pas avec nous »

    Cette foie je ne vais pas mentir : « il à du resté à la maison, un léger imprévus »

    Arthur : « ah, d’acore »

    Je sourie « je voie que tu t’es attaché à lui »

    Il passa sa deuxième main qui n’étais pas sous mon emprise dans ses cheveux et dit : « oui, j’avoue en plus sans lui en ne se serais sans doute jamais rencontré »

    Moi : « pas faux » j’aurais tellement aimée que tu te souviennes de moi avent sa, que tu me reconnaisses seul sans que je n’ai rien à faire, à tu totalement oublié Liliana ? Je pense bien que oui, et j’ai peur de ta réaction si tu l’apprenais, Arthur dis moi comment va tu réagir si je t’avoue la vérité restera tu comme tu es ? ou bien oubliera tu à son tour Lili et ne jugerai plus que part mon rend, Arthur je t’aime, mais j’ai peur de t’aimais, je ne veux pas que tu change,  je veux que tu reste t’elle que tu es pardonne moi il m’est impossible de te dire toute la vérité aujourd’hui, si te plais pardonne moi de te mentir, de me caché, de n’être rien d’autre qu’une peureuse qui se cache derrière un masque, pardonne moi Arthur je vais t’abandonné pendant un long moment, mais je doit m’y faire après tous, ma vie est ainsi et je ne pourrais pas la changé alors, je veux espéré tous simplement espéré que Lili ne disparaisse jamais, que tu reste près de moi, qu’en se retrouve dans deux ans, oui c’est sa, se n’est qu’un au revoir je te retrouverais, je vais te recherché dans deux ans en se reverra, sa semble tellement loin comme sa mais je te reverrais je sais que je te reverrai et j’aurais enfin la force de tous te dire, mais tous se que j’espèrerais à cette instant là c’est que tu n’aura pas changé, et que tu me pardonnera, pour le moment il ne me reste rien d’autre que de passé joyeusement cette journée à tes cotés, je t’aime Arthur mais il m’es impossible de te le dire aujourd’hui, alors je vais avoir foie en toi, et attendre notre prochaine rencontre.

    Après une longue balade a travers la ville que j’apprécie temps, me voilà moi et Arthur allongé sur le sol, j’arraché quelque peut l’herbe sous ma main en contemplent le soleil il est à présent cinq heur je devrais me mettre en route si je veux arriver à l’heur,  je doit le faire même si je n’ai absolument aucune envie de rentré, je tourna la tête vers le jeune homme à mes cotés, il étais assis, je le regarda fixement, il tourna sa tête de mon coté et je rougie brusquement et en resta ainsi à s’observé quelque minute qui me semblèrent des heurs, j’étais plongé dans ses yeux d’un brun si profond il semblé m’avoir envouté, mon cœur ne se reconnaissais plus et cogné si fort dans ma poitrine que j’étais certaine qu’il allais s’arrêté, mes joues semblé avoir volé la couleur du soleil couchent et me semblé voir des étincelles autour de mn prince charment, je ne pouvais plus réagir pétrifié telle une pierre, pourquoi cela m’arrive t’il à cette instant ?, soudain je me rappela d’une chose qui me fis sursauté toutes entières et laissa mon cœur en poussière, mon mariage, lorsque je reviendrais, je devrais me marié, je détourna d’un coup la tête et me leva, j’empêcherais se mariage mais pour l’instant je ne doit rien faire, je le regarda et sourie, je ne veux pas qu’il me revoie pleuré pour temps je son qu’une rivière est sur le point de se formé sous mes yeux, il retint soudain ma main et dit : « tu e partira pas avent de m’avoir dit pourquoi tu pleuré », il n’avais pas oublié, j’essayais temps bien que male de retenir mes larmes : « enfaite tu voie, en va bientôt partir »

    Arthur : « comment sa ? »

    Lili : « je vais déménager dans Cinque jours….mais je reviendrais, c’est promis dans deux ans, (le visage d’Arthur se crispa d’un coup)… j’espère que d’ici la tu ne m’auras pas oublié » à cet instant précis il me tira contre lui et hurla : « idiote, comment peut tu dire que je vais t’oublié aussi facilement » je ne pus retenir mes larmes mis un sourire c’étais dessiné sur nos deux visage, il caressa les cheveux et me dit doucement d’un temps qui se voulais réconfortent : « en se reverra d’acore, je suis certain qu’en se reverra et sache que jamais je ne t’oublierais »….à suivre

     

    Hihi, voilà voilou , je c’est j’ai étais longue mais la semaine prochaine c’est les examens donc soyez compatissante, je vous promets qu’après sa je ferrais de mon mieux mais là je sais pas trop quant sortira le prochain chapitre sa peut être demain comme sa peut être dans trois jours, bon je n'est plus qu'à dire: lacher les com's, à plus et j’espère que sa vous à plus, votre amie mimikila ^^


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  •   Sa fais maintenant quatre jours, dès demain je ne reverrais plus personne, plus mon entourage, plus se château, ni Arthur,  mon cœur ne cesse de se serais j’ai comme l’impression que mes jours sent conté et que demain à dix heur tous va s’arrêtais, même si au fend sa doit être vrais, mais tous va recommençais, tous, depuis le début, je vais prendre un nouveaux départ, dans une nouvelle ville, devoir lutté pour me préservé et ne pas changer, garder mes opinions et ne pas me transformé en rebot, affronté ma vie, mais comment faire ?, comment je doit m’y prendre enfaite ?, je me dit que je verrais en arrivent !!.

       malgré toute la fatigue qui m’envahit, je ne veux pas me couché, ou je devrai dire, je n’ai pas la force d’allais me couché, je ne cesse de me remémorais ses derniers jours, la rêne je ne lui ai pas reparlé depuis cette fameuse nuit ou elle m’à dit sans aucunes émotions que tous ne serais plus jamais comme avent, Arthur et Charlotte, je leur es rendu visite deux fois en essayent le plus possible de resté naturelle et de ne pas craqué, pour Arthur, j’ai comprit mes sentiments, mais qu’en est il vraiment ? et à quoi m’en tenir ?, je n’ai rien dit !, rien fais !, je garde toujours mon secret, mais j’ai qu’en même pus le revoir se matin, en c’est bien amusé, mais tous va changé, et sa sera sans doute plus jamais comme avent, deux ans, sa va être long, il restera comme il es !?, je lui fais confiance, je suis certaine que le jour ou je pourrais enfin tous lui dire il me comprendra.

    chapitre 12: adieux

    chapitre 12

       Enfaite si je réfléchis bien, tous, tous n’es que mensonge, je ne fais que mentir, ma vie n’es qu’un mensonge, mais je n’ai pas le choix ?, je ne suis pas assez forte pour dire la vérité, je n’ai pas la force de ne pas mentir, de les décevoir, de me décevoir, je ment en disent être forte, je ment à tous le monde en me faufilent à l’extérieur sous une fosse personnalité, par peur de leurs regards, je ment à celui que j’aime en me disent que si je ne le fais pas je serais déçus, ne suis-je rien d’autre qu’une menteuse, même Lili n’es rien d’autre qu’un mensonge, un mensonge qui ma volé une partit de mon identité, un mensonge qui ma fais vivre pour quelque minute, qui pourra enfin me dire qui je suis, je voudrais savoir, existe t-il quelqu'un dans cette univers qui pourrais me révélé qui je suis, m’enlevé de cette couverture de mensonge, pourquoi, je suis ainsi, pourquoi sui-je aussi faible, prise dans mon propre piège, je n’arrive pas à arrêté se tourbillon, comment faire pour ne faire du male à personne ? je commence même à croire à croire en mes propre mensonge, que quelqu'un me dise, que quelqu'un vienne, je veux…je veux que quelqu'un me dise enfin qui je suis, sans plus aucun mensonge, qu’en me dise se qu’en attend de moi, que je puise réalisé se que je veux, que je puise revoir le visage des personne chère à mon cœur en me disent que cette foie…. Rien…. qu’il n’ya plus aucun mensonge. Je réussirais, je le ferrais seul, je vais rendre mes mensonge vérité, je deviendrais forte, je changerais, deux ans, c’est se qu’il me faux deux ans me suffirent, je vais devenir celle que je veux être, je veux devenir celle que j’ai prétendu être, devenir ma futur moi, celle qui n’aura plus peur, celle qui ne se cachera pas, celle qui ne pleurera pas, celle qui changera ne serai-se qu’une partit de se monde, qu’une partit de cette univers dans le quelle elle vie, oui mes mensonge vent devenir réalité, je ne doit pas attendre que quelqu'un vienne m’aidé, je le ferrais seul, c’est mon combat, je ne pleurerais pas, je persévérerais et je réussirais, tous le monde, la prochaine que nous nous verrons, mes mensonges serrent en moi, je serais devenu celle que j’ai temps dit être, je serais devenus moi, vous verrais se jour la je ne me cacherais pas, se jour la je serais celle que je me suis imaginé, peut être que d’ici la j’aurais la force de lui pardonné, je me demande même pourquoi je ne veux pas lui parler, peut être que si elle aurais dit sa d’une autre façon j’aurais pus l’accepté avec plus de tolérance, peut être me serai-je calmé intérieurement comme à mon habitude, peut être aurai-je pleuré seul, oui jamais, jamais personne au par avent a par Arthur n’avais séché mes larmes, ma mère ne les avaient jamais vus jusqu’à l’hors, et j’en étais fière, j’étais fière de pouvoir me contenir, j’étais fière de la seul chose que je savais faire, mais elle ne la pas vue, ma mère semblé se débarrassé de moi sans aucune retenus, et cela je ne peut le supporté.

        Il es quatre du matin, plus aucun bruit n’émane du château, il semble que tous se soi couché, moi j’observe la lune de mon balcon, je regarde ses quelque point lumineux qui provienne d’une couleur bleu foncé qui semble lire dans mes pensés, peut à peut je m’étais calmé, sa avais fais son effet, pensé à tous en regardent le paysage étais mon seul moyen pour reprendre mon calme, et maintenant je réalise une chose qui m’est importante c’est que dans quelques heurs, je vais prendre un nouveaux départ dans seul moi déciderais sa direction, et cela je ne l’oublierais plus, oui, c’est ma chance de remettre les compteurs à zéro, après tous chaque jour est une nouvelle opportunité, donc je doit vivre comme si c’étais le dernier, je doit réalisé l’impossible, fermé les yeux sur le passé, je doit tous oublié et gardé mon calme,  ne plus être dépassé, faire de mes rêves mon seul combat.

    « Princesse Liliana, c’est l’heur » dit une voie que je connaissais bien mais cette foi sur un temps bien plus pressé que d’habitude.

    « Allais levez vous, vous allais être en retard, le bateau risque de partir sans vous »

    « Mademoiselle, vos bagage son prêt, et votre chien à déjà eu le droit à sa toilette, à vous maintenant »

    Je me levai en regardent au tour de moi, je n’avais fermé les yeux que quelques misérables minutes, je baillé doucement en observent et écoutent le vacarme dans le château, cela se voyais bien, quelque chose se passé, les bruits de pas courent de toute part, la voie de Gorge hurlent, les domestique accourent mes bagages à la main pour les mettre sur la calèche, et moi j’étais avec mes trois demoiselle de Compagni, qui me pomponné pour la dernière foi avent deux longues années, je regardé au tour de moi le château, j’avais enfilé ma belle robe bleu, ni trop chaud, ni trop froide, parfaite pour le voyage en mère qui m’attendais, sans qu’en me remarque, je glissa mes vieux vêtement dans mon sac.

    Une demi heur plus tard j’étais prête après une lourde séances d’adieux je m’enta dans la calèche, seul, je voyais les larmes de se que je fréquenté depuis ma naissance, et je ne pus retenir une larme et un sourire, je sortit ma main et hurla « au revoir », en passa par la ville ou je pu voir les magasins, les odeurs et la route que j’empreinte avec Arthur , sans pouvoir m’arrêté je continué ma route vair le port, enfin arrivé je sortit acclamé par les villageois que je salué comme toujours avec le sourire, je reconnaisse quelque marchons et je fis un sourire en m’amusent à sites leur nom sous leur yeux ébahis, je pus apercevoir dans la foule Arthur et cela me provoqua une joie immense, il étais venu, je sourie et embarqua sur le bateau, il démarra et j’observa une dernière foi le paysage, je pouvais remarqué le château, et de ma bouche sortirent quelque mots que je ne comprenez moi-même pas le sens exacte « adieu » pour quoi avoir dit sa, je ne sais pas vraiment mais je sente que même si j’allais revenir, rien ne pourrais être comme avent, c’étais un pressentiment.

     

    Voilà le chapitre 12 de ma fic, désolé du retard, mais la j’ai fini mes exams donc maintenant sa sera un chapitre par jour ^^, lâchez les com’s j’espère que sa vous à plus, et surtout merci à vous tous grace à vus j'ai pus atteindre les 1000 visiteur, frenchement je vous dis à tous merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii chapitre 12


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  • chapitre 13: Mon premier voyage

     

    chapitre 13

    C’étais fais j’avais embarqué, quitté la terre, je ne sais pourquoi mais je me sens bien, mon premier voyage, la premier foi que je m’éloigne au temps, je sens l’excitation monté en moi, et oubli peut à peut les ennuis qui me sens tombé dessus, princesse que tu es !, je te donne un défi celui de découvrir tous les lieux sans être remarqué, alors qu’en pense tu ? je me posais la question mais au fend je connaissais la raiponce, d’un œil malicieux, je regardé Didi, qui avec le temps me comprenez mieux que qui conque, l’ignorance, la découverte cela me semblé tellement grandiose, je ne sais comment l’expliqué mais je pence qu’il ne faux pas se morfondre, mieux veau sourire ceci est ma devise, peut importe le temps je doit sourire malgré les embuches, sourire vaux mieux que pleuré alors voilà ma parade, je court, je chante, mon rêve d’enfant se réalisera, et dès aujourd’hui plus rien ne m’arrêtera.

    Après avoir salué l’équipage en tant que princesse, je regagnai ma chambre ou je m’habillai d’un pantalon, t-chert blanc simple, et légère veste bleu à demi manche ouverte, je mis ma casquette, pris mon chien par sa lèse et cette foi je devenu Lili la petite fille, la villageoise qui n’à rien pour attiré l’attention, c’elle qui ne veux que s’amusé, venez, essayais de m’attrapé si vous le pouvais ?, ou plutôt si vous me trouvez, je sortit par le hublot de ma chambre, pour qu’en me crois toujours endormis, parmi l’équipage , je me faufila, et une envie me prenait soudaine de voir à quoi ressemblé les machines, comment se bateaux peut il avancé, j’avais déjà appris quelque peut de cela grâce à mes profs, mais j’étais curieuse de le voir de mes propres yeux, je regardé Didi d’un air supplient, sachent parfaitement que cette fois il me serais impossible de le ramenais avec moi pour ne pas attiré l’intention, il m’observa puis aboya, il avais accepté cela j’en étais pas certaine mais a la fin il retourna dans ma chambre sans trop d’inconvénient, je me glissa par la porte de service, je regardé au alentour, un grand couloir dans le parqué fais de boit, et les mur blanc comme neige, se dresse devant moi après mainte hésitation je fini par avancé, j’entendit des pas, j’accélère et commence déjà à m’imaginé toute sorte de scénario dans ma tête, une porte à ma droite m’apparue, je senti bien que je n’avais pas d’autre possibilité, alors j’ouvris doucement la porte et me glissa à l’intérieur juste attend avent qu’en me remarque, les pas se rapprocher pour finir par s’arrêté devant moi (bien sur de l’autre coté de la porte) je commençais à stressé, j’entendes mon cœur battre la chamade, lorsque l’homme repris sa route je lâcha un soupire des plus paissent, et je me décida enfin à regardé ou je me trouvé, je tourna la tête c’étais une pièce avec des tonnes de gadget suspendu au plafond qui ressemblé vaguement à quelque décoration que celant mes souvenirs possédions au châteaux, il y’avais aussi des pèles, et plain de matériaux et d’outils, j’observa quelque peut tous se qui m’entouré,  avent de voir une autre porte se dressent à l’extrémité de la chambre, j’hésita quelque peut pour ensuite avançais, toujours aussi délicatement j’ouvris le passage et me faufila à l’intérieurs, des marches d’escalier prirent alors la place et je me mis à descendre, en observent chaque détail, il fessé de plus en plus sombre, des lumières se dispersé ici et là cela rendez l’ambiance comme dans une maison hanté, quelques bruits s’entendais dans en ne pouvais deviné la provenance si c’étais du haut ou du bas et plus en avancé, plus l’éco semblé prendre de l’ampleur, mon esprits vagabondé et je me prenez quelque peut pour une espionne piégé dans un bateau traqué par des ennemis armés.

    Arrivé enfin en bas, je ne pus être que des plus surprise en trouvent la sale que je voulais temps voir, je me cachai en vitesse derrière des barils et observé tous se qui se tramé,  plain de personne sercule ici et la, je voyer un homme plutôt âgée criée de toute par un dénommé Sébastien, sa doit être lui que j’ai entendu tout à l’heur, il s’arrêta en chemin pour demandé à un autre qui mettais du charbon dans une sorte de fournaise géante, se dernier ne savais apparemment pas, alors grincheux, il repris sa route en crient de plus en plus fort, je m’avancé et regardé , des gens semblé faire des vérifications, d’autre enfance des clous, ou encor courée un peut partout, un homme étais assied à coté de se qui semblé être un appareil qui permet de recevoir les ordres  du chef, j’étais bouche bée face à l’agitation devant moi, tous le monde avaient un  travail qui lui convenais, tous complètement synchrone  et des plus organisés, en les voyant j’eu l’impression de découvrir un nouveaux paysage complètement différent du calme complet du château ou du bruit et de l’immense Ruel des marchent, c’étais complètement nouveaux, je me décida à revenir en arrière avent qu’en ne me remarque, j’étais arrivé au escalier qu’en j’entendit l’homme qui hurlais redescende, vite derrière les barils, je commençais à observé se qui se produise qu’en soudain je le vie qui sermonné un jeune homme, sa doit être Sébastien, il doit avoir le même âge que moi ou se n’es que d’un ou deux ans deux plus, se dernier avais les mains derrière la tête et ne l’écouté même pas, cela me rappela un peut les discutions avec la rêne dans les quelles j’abordé la même expression, j’eu soudain comme un fou rire et je ne pus empêché un léger bruit qui malheureusement en du remarqué vus que le sermon s’arrêta et que les yeux du sermonneur se braquer sur moi

    Sermonneur : « toi le garçon la bas ? que fais tu ici ? C’est un accès interdit sauf au personnelle ?, qui est tu ? » dit il d’une voie grave qui me fis froid dans le dot, j’avais l’impression que j’allais explosé, je ne pouvais pas dire que j’étais Lili sinon en me considèrera comme celle qui à embarqué clandestinement si je dit que je suis la princesse, qui s’est si sa ne serais pas pire, je savais que c’étais un accès interdis mais je n’ai pas pus résisté, que faire ???, ses questions se bousculé dans ma tête, et lorsque celui-ci commença à avancé vair moi je ne pus réfléchir, et sans aucune hésitation je commença alors une course affolé suivie de prêt par 4 hommes dans figuré le vieux grincheux, Sébastien et deux autres qui avais visionné la scène,  cette poursuite me rappela la foie ou j’avais couru avec Arthur pour échappé au vendeur, sans le vouloir les souvenirs défilé dans ma tête et je ne pus contenir les larmes que j’avais beaucoup trop empêché de coulé, j’avais peur, et je senti que cette foie il me serrais sans doute impossible de fuir, malgré tous je continué à courir, j’ai une chance après tous il pence tous que je suis un garçon, je continu donc de courir, lorsque je sentit quelqu'un m’attrapé par le bras et me poussé face au mur d’à coté, saï sa doit être fini.

    Voilà le chapitre 13 qu’en pensez vous j’espère qu’il vous plais. 


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  • chapitre 14: mon passé, mon futur

     

    chapitre 14

    Il m’avait attrapé, qui ?, je ne sais pas, mais j’étais désormais à sa merci, plaqué contre le mur, il mit sa main contre ma bouche, comme qui conque se trouvent en cette situation j’essayais désespéré de me retiré de son emprise,  sa ne peut pas se finir comme sa, non c’est impossible, Arthur ! Pourquoi n’es tu pas à mes coté, il se rapprocha peut à peut de mon oreille, et me souffla tous doucement quelque parole que j’avoue n’avoir pas compris : « arrête si tu ne veux pas qu’il t’attrape » comment sa ?, mais qu’es qu’il raconte ?, n’est il pas de l’équipage de se bateau ?, il m’avait déjà attrapé non ?,  je me tut quelque seconde, et vie tous mes poursuivent partir de l’autre coté, après quelques seconde l’inconnus, dans je n’avais jusqu'à présent pas vus le visage me lâcha, en enlevant sa main de ma bouche, je pus finalement reprendre mon souffle pour me retourné à toute vitesse, c’étais Sébastien je l’observa quelque minutes, il avais de grand yeux vert, plus grand que moi de quelque centimètre, des cheveux brun, il étais vraiment très beaux, sa tenus de marin allais très bien à son air légèrement rebelle, quant soudain : « pourquoi tu ma aidé ?? » je ne pus me retenir, cette question me trotté top dans la tête,  comme raiponce il se mis à tourné autour de moi, en me fixent du regard, j’étais vraiment embarrassé et je n’ai pus retenir le rouge qui émané de mes joues, lorsqu’il me dit tous doucement à l’oreille d’une voie amusé : « je savait bien que tu n’étais pas un garçon » en me retirent ma casquette en même temps.

    Je fis quelque pas en arrière, mais comment à-t-il put savoir, je ne comprends pas, jamais personne ne m’avais démasqué au par avent et là, qu’en il à dit ca, sa ma fais un choque stupéfaite je le regardé, il se mis à rire : «si tu veux savoir je t’ai aidé car tu ma évité une bonne heur de supplice pour mes oreille » je ne pus me retenir et mon rire fus incontrôlable, je rêve ou je viens de rencontré mon frère, il souri et me dit en s’appuyant contre le mur : « bon, maintenant tu va m’expliqué, qu’es qu’une fille fabrique parmi les machine », je sourie, ma main derrière la tête je dit : « enfaite, j’ai le défaut d’être beaucoup trop curieuse » suivi d’un léger clin d’œil, en éclata tous deux de rire,

     Sébastien : « enfaite, t’es une drôle de fille » dit il entre deux rire

    Moi : « tu ne crois pas si bien dire »

    Sébastien : « et tu pars ou comme sa ?? »

    Moi : « je pars vair ma nouvelle vie, pari, c’est ma chance » dis je en pointe du doit l’horizon, à cela le jeune homme rie de plus belle : « bon ravie de te rencontré mademoiselle curieuse »

    Moi : « Lili, et toi c’est Sébastien n’es pas » dis je on sourions.

    Sébastien écarquilla les yeux : « comment tu peux connaitre mon prénom ? »

    Moi : « enfaite en peut pas dire que ton chef passe inaperçu, j’ai entendu ses cris avent même de descendre »

    Sébastien : « ah, oui, c’est vrais j’avais oublié, et bien si tu veux Lili,  on pourrait passer un peut de temps ensemble plus tard »

    Moi : « oui sa serais sympa, on se revoie plus tard,  la tu devrais filer, avent qu’il ne recommence son discourt » je me mis à courir

    Sébastien : « a plus »

     

    Moi : « en revoir ….(je m’arrêta, me tourna vair lui et hurla)  merci de m’avoir aidée » je repartit vair ma cabine et entra par le hublot, réenfila ma robe, je regardé Didi, Sébastien il à l’air  sympa, je rougie violement, pourquoi je ne sais pas, je me tut quelque minute, m’allongea dans mon lit, ferma les yeux et laissa le bruit des vagues fuitent le bateau me bercé, maman, qu’en j’y pence je ne l’ai même pas revu, et je ne la révéré plus d’ici deux ans, j’avais pourtant accepté se voyage, mais je ne c’est pourquoi je refusé de lui parlé, peut être pour la simple raison que cette foie elle étais allais trop loin, en ne peut pas me blâmé d’avoir attendus d’elle le premier pas, je ne pence pas être celle qui soie en tord, non ???,  mes trois petit amis du matin, les habitent du château, mes cousins, Arthur je ne les révéré plus, je les révéré plus d’ici deux ans !!!, je ne pence pas encore comprendre se qui m’arrive, et je n’arrive pas à pleuré le chagrin qui me poursuis, je n’ai pas faim !, je n’ai pas soif !!, je n’ai pas d’énergie !!!, je voudrais savoir se que j’ai, et pourquoi j’ai aussi mal au cœur, aujourd’hui, depuis que je me suis levée jusque là, chaque souvenir me rappelais d’où je venais,  la seul différence c’est que je pence avoir un nouvelle ami pas comme les autres : Sébastien, un petit rebelle qui me ressemble en tous point.


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