• Salut ! Je m'appelle Liliana, mais personnellement, je ne vous dirais pas mon nom car je le déteste. Oui, je le déteste même si bien des personnes ne souhaitent que l'obtenir. Je ne comprends pas ? Leurs libertés n'a-t-elle aucune importance ? Est-elle si insignifiante à leurs yeux qu'il voudrait l'échanger contre quelque pièce ? Je vous la donnerais volontiers avec une prime et je partirai avec le sourire aux lèvres en vous souhaitant un bonheur infini que je n'ai jamais réussi à avoir en tant que ... princesse ... de la famille ... Késsi.

    Volé ! Chanté ! Crié ! Hurlaient cela et je donnerais tous ce que j'ai pour l'obtenir. Mais malgré tous mon désarroi rien n'y fais, mon rêve est simple. Allez où je veux, quand je veux, personne pour dicter mes choix, être moi, "sans plus, ni moins", avoir l'opinion réel des personnes, ne plus être vue comme une princesse ou quoi que ce soit d'autre. Je veux que tous soient parfaitement ..."imparfait", m'envolais dans une liberté ou aucun programme n'existera, aucune barrière, aucun mur. Me détachait de tous ce qui m’enlève ma liberté et m'emprisonne dans cette prison qu'on nomme un château.

    Liliana réussira-t-elle  à défier son destin ? A réaliser son rêve ? Et faire partit d'un monde qui selon les propos de tous, n'est pas le sien et ne pourra jamais l'être. Les villageois et la famille royale qui servent leurs alliés. Quelle rencontre fera-t-elle ? Son esprit vagabond trouvera-t-il une place ? Vous le saurez en lisant mon histoire !  ^^

     

    présentation pour ma deuxième fic

    Cette photo m'a été offerte ainsi que mon perso par minaki que je remercie ^^

    présentation pour ma deuxième fic

     


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  • Chapitre 1: Mon rêve

     

    chapitre 1

     

    « Alerte ! Alerte ! »
    « Ne me dites pas qu’elle s'est encore enfuit, ça doit être l'énième fois. »
    « Hélas, je m’excuse votre majesté. »
    « Ce n’est rien, Vite ! Déployez la garde ! Retrouvez-là et ramenez-là moi ! »
    « Oui, majesté ! »


    Après ses mots le garde accourut alors que la reine resta au beau milieu de la pièce.

    « Mais que vais-je bien pouvoir faire d’elle ? Un jour elle me tuera » dit-elle après un soupir.


    Loin de l’agitation du palais. Un jeune homme d’environs 16 ans trottinait sur la route en rêvassant.

     « Il doive être en pleine recherche, heureusement pour moi il ne me retrouveront  jamais ! N’est-ce pas Didi ? » S'exprima-t-il en s’adressant à son chien

    Ce jeune homme avait des yeux bleu claire et les cheveux blonds. Il portait une casquette, un peu maigre aurait-on pensé,  des habits un tant soit peu usagés et raccommodés. En faite comme presque tous les villageois, mais ce qui était étonnent, c’est que personne ne savait d’où il venait. Un jour, il était apparu comme par magie, il avait visité toute la ville, et depuis quelque fois il revient.

     «Didi, tu sais que j’ai horreur de ce genre de cérémonie. Heureusement que j’ai pu sortir, je sentais que j’allais exploser. J'imagine déjà la tête de mère, elle va me faire un sermon magistral, mais franchement j’en ai rien à faire … Didi.»

    Il s’accroupit au niveau de son petit compagnon qui le lécha et aboya comme pour le soutenir. Alors ce dernier la serra très fort dans ses bras. Oui c’était sa seule amie, sa seule confidente, la seule à savoir son secret, et surtout la seule et unique personne qui semble le comprendre.


     Le jeune homme passa toute la soirée dans le village. Non, il ne voulait point rentrer chez lui mais cela il le savait. C'était impossible, mais c’était tellement bien ! Ce village, le bruit, l’agitation, les rires, les enfants qui courent, tout ça le changeaient tellement. Il adorait cette ambiance, ce récital de voix,  le marché flamboyant où tout le monde hurlait pour attirer la foule, où les bouquets de fleurs sauvages n’étaient pas encore coupés ou changés. Cette odeur qui émanait des friandises simples qui se vendaient ici et là, tant de choses qu’il n’avait encore jamais vu, jamais essayé, jamais goutté, oui, ça l’émerveillé.


        Après sa longue journée, l’adolescent marcha un peu jusqu'à arriver près du château. Un soupire sortit de sa bouche, il partit dans les buissons sans se faire voir. De là-il en sortit un sac, dedans il y avait une robe, ainsi que ses souliers ! Quand il enleva sa casquette, de longs cheveux firent alors leurs apparitions. Oui vous l’aurez deviné, ce jeune homme n’était autre qu’une jeune fille et pas n’importe laquelle, c’était la princesse de cette contré. Après s’être changée, elle mit ses vieux vêtements usagés dans son sac.

    «Franchement, je préfère mes vieux vêtements de garçon. Aller viens Didi ! L’heure est venu de recevoir le châtiment »


       Le chien aboya  de mécontentement et mis ses pattes sur ses oreilles. Sa maîtresse lui sourit.

    «Tu n’en fais pas trop là, en plus ce n’est rien par rapport à demain soir, et puis ce n'est pas toi qui va assister aux cours à ma place. » dit-elle en ricanant. Elle sortit du buisson, pris son chien dans ses bras et s’avança vers les gardes. Dès qu'ils la virent arriver, ils se mirent aux gardes à vous ce qui la fit soupirer. Elle s'approcha d'eux et avec un beau sourire leur expliqua:


    « Stivène, Close, je vous ai répété mille fois de me traiter normalement, on se connait depuis ma naissance, vous pourriez essayer….»


    « Oui, princesse ! » répondirent-ils sans aucun trais sur le visage.


       Cette réaction la fit soupirer une deuxième fois, même si c’est ainsi à chaque reprise. Elle espère toujours trouver quelqu'un qui la traitera telle qu’elle est, et non comme le titre qu’elle occupe. Qu'on lui dise leurs avis sans peur de la vexait, qu’on se fâche contre elle et qu’on le lui montre, elle en avait assez de ses mines fixes, de ses faux sourires comme ce qu’elle est obligée de montrer chaque jour. Elle regarda les deux gardes d’entré, mais cette fois son visage resta fixe, aucune émotion ne se dessina sur ses lèvres. Et sans rien ajouter de plus, elle entra dans le château, Liliana aperçu quelqu'un qui accouru vers elle, c’était Gorge, l’un des employés du château :

    « Mademoiselle ! Vous êtes enfin de retour, votre mère vous demande en urgence dans la salle du trône »


    La princesse : « J’y cours »


    Elle partit se changer et alla vers sa mère en sachent ce qui l’attendait. Avant de franchir la porte, elle prit une longue respiration, cette épisode, elle le vivait sans arrêt, c’était devenu un quotidien, il faut bien avouer qu’elle n’était pas comme toutes les princesses. Elle se décida enfin à rentrer

    .
    La princesse : « Mère, je suis là, m’avez-vous appelé ? » demanda-elle avec un visage d’enfant innocent qui n’avait en aucun cas quelque chose à se reprocher.
    Sa mère avec un air désespéré, énervé et mécontent : « Combien de fois devrai-je te le répéter Alexia, tu es une princesse, la future reine de ce peuple, pendant des générations ... »
    Lila pensa : « Et voilà c’est repartit pour un voyage dans le temps … »

    La reine : « Nous descendant d’une grande lignée, nos ancêtres en étais les rois et reines de ce peuple. Et …»


       Voilà tous ce que Liliana entendit, rien, en lui avait souvent récité le même dialogue épuisant qu’elle avait maintenant appris par cœur. Tu ne dois pas rester ainsi, tu es une princesse, tes ancêtres sont notre fierté, tu les déçois…

     
       Après une bonne heure de supplice pour les oreilles, je fus envoyé comme à mon habitude dans ma chambre, puni, mais je n'en avais rien à faire. Je comptais bel et bien me faire la belle, je m’assis devant ma fenêtre, pris mon chien dans mes bras et commença à lui parler :

    «Didi, tu sais, je ne veux pas être une princesse et encore moins une noble, j’en ai marre de cette vie. Tous ce que je veux c’est être comme toute les autres, à la fin c’est vraiment énervent. Je voudrais me faire des amis, courir, rêver, ne pas avoir à fuir la maison, manger tous ce que je veux» En dissent sa j’éclatai de rire « Ce n’est pas que je n'aime pas les plats du chef, s'il entend ça il va m’en vouloir toute ma vie. Mais vraiment des fois je voudrai seulement des plats simple, et pouvoir les dégustés avec quelqu’un, voir ma mère plus souvent, qu’elle arrête de me remplir les oreilles avec ses ancêtres, je n’ai rien avoir avec eux. »

    Didi me lécha la main ce qui me fis sourire « Oui, mon plus grand rêve, c'est d'être comme toutes les filles, ne pas avoir à porter ses robes que je déteste, parler normalement, n’avoir aucun cours de maintien ou autre, et surtout ne pas avoir à assister à ses réceptions aussi  pourri les unes que les autres. Dire que demain je devrai parler avec ses aristocrates qui me font bailler, et en plus je devrai leur sourire, et rire à leur blague stupide, oh, c’est trop chiant, (je pris une mine triste) Parfois, je me demande si ça ne serai pas bien de m’enfuir, de ne plus revoir cette maison. »

    Le petit chien commença à sauter dans tous les sens: « C’est dommage, mais c’est impossible… Allez, Didi ! On n'est pas si mal comme ça, en plus avec mon déguisement je peux passer incognito, je te promets après-demain dès que je me réveille. On repart immédiatement en ville pour oublier la soirée, ça te va ? »

    Didi aboya comme pour dire oui, et il sauta dans les bras de sa maîtresse qui alla se coucher, en attendant la journée de demain où elle sera obligée de jouer les filles modèle et de rester enfermée toute la journée en compagnie d’abrutis qui ne pensent cas une chose: la couronne. Et ne savent même pas qui elle est réellement comme personne d’ailleurs, personne ne sais qui elle est.

     

    Alors comment trouvez-vous mon premier chapitre ? A votre avis qu'est-ce qui va se passer ? Quelle est cette cérémonie si ennuyeuse dont je parle ? Mystère et boule de gomme vous en serez plus au prochain chapitre ! 

     


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  • chapitre 2: mon train train habituelle

     

    chapitre 2

     

    « le lendemain, je fus réveiller par Didi qui se mis a la léchais, comme d’habitude, elle se leva et caressa son petit compagnon en sourient,  
       moi : « alors tu as bien dormi, moi je me sui assoupi comme une souche, en parie » dis-je en sourient
       Le chien mi ses pates sur ses yeux, comme signe de  désapprobation.
       je fis une mine grincheuse, rie et dis : «tu a ressent je suis centaine de gagner mais tu compte qu’en même avec moi 3 … 2 …. 1, et voilà »
       Et là trois personnes franchir la porte d’entré, je ne pus retenir un sourire diabolique sur le visage je regarda mon chien avec la mine de dire : qu’es que je t’avais dit. je regarda ensuite les trois personnes : « bonjours vous allais bien aujourd’hui »
       La 1er : « oui merci, mademoiselle, mais vous ne devrais pas vous soucier de nous»
       moi : « je vous ai dit mile foi de me traité comme tous le monde »
       La 2 em : « et vous princesse avez-vous passé une bonne nuit »
      « en dirais que je n’ai rien dit, je suis peut être une princesse mais elle ne m’écoute même pas »pansai-je avent de dire : « oui, comme à mon habitude, et alors qu’es que nous avent de prévus pour aujourd’hui ??? (comme si je ne le savais pas )»
       La 3 em : « et bien vous avez » et elle sortit une liste qui sembler interminable.
        dans ma barbe : « et bien sa commence bien (bien sur ne vous m’éprenez pas je n’est aucune barbe)»
       La 3 em : «vous m’avais parlé mademoiselle »
       Alexia : « non, non, vous pouvais continuer »
        La 3 em : «et bien vous commençais par prendre votre petit déjeuné en Compagni  de la renne votre mère, ensuite vous avez vos leçon de maintien, cour de géographie d’histoire de math, à l’heur du déjeuné vous reviendrais au châteaux pour vous changer et vous rendre chez le duc pour le diné, il vous à invité ainsi que la renne, ensuite vous reviendrais ici pour votre leçon d’équitation, au enivrent de cinq heur nous vous choisirent une robe convenable, ses accessoires ainsi que votre coiffure, vous terminerais la soirée par le bal ou vous devrais dansez avec tous vos prétendants, le bal fini vair trois heurs du matin, vous reviendrais alors dans vos appartement, cela vous convient-t-ils ????»
       sur un temps triste: « oui (de toute façon je n’ai pas le choix, ma vie et régler à la minute prêt) mais svp puis-je emmené Didi avec moi »
       La 1 er : «je suis désolé mais cela est impossible, il devra rester ici, ne vous inquiété pas nous nous occupèrent bien de lui »
       moi : « comme d’hab » je me plia vair mon ami et lui murmura à l’oreiller : « en moins tu seras chanceux de ne pas avoir à supporté tous sa, ne t’en fais pas je te ramènerais quelque chose, et tu pourras jouer avec nos vieux amis plus tard, d’acore»
       La 2 em : «et n’oubliez pas que vous avais interdiction…. »
      Je la coupa dans son élan et termina sa phrase habituelle: « de sortir du château, de parlez aux autres inconvenablement, d’allais à la ville non escorte, en d’autre terme, je dois être princesse parfais et ne montré aucune hésitation, oui je sais, j’y suis habitué (après tous être moi-même est un privilège au qu’elle je n’ai aucun droit, mais demain j’enfreindrais la loi)» avec un léger sourire
       La 1er ricana légèrement en pensons: « c’est vrai en à de la chance d’être avec la princesse mais parfois je la comprend pas elle est pourtant de ligné royale, je me demande seulement ou elle part quant elle s’enfui»
       La 3 er : «D’acore, alors maintenant allons y »
       moi : « oui »
       je me leva, fis ma toilette accompagné de trois petit toutou, enfila ma robe et à 7 heur du matin j’était en Compagni de sa mère, mais comme à notre habitude aucun mot ne sortit de nos bouche a par des salutations, après avoir fini mon déjeuné, je me dirigea vair la sale d’étude et passa une heur en maintien, ainsi que les reste des matières, j’essaya temps bien que male de suivre les court mais quant la prof d’histoire entra dans le lieux, j’eu comme un léger vertige et pensa : « la je ne vais pas survivre, j’ai déjà male au crane rien qu’en la voyant, j’abandonne » et effectivement j’ai passais au plus cinq minute concentré tendis que le reste du temps entre rêverie, et sieste, oui, j’avais bien assez entendu de mes ancêtre avec ma mère pour réentendre les même propos aujourd’hui.
       A la fin du court, j’entra à la maison pour me préparé à allais chez le duc mon oncle, cela fessais bien longtemps que je ne les avait pas vus presque six ans il était partit en voyage et avais pris avec lui ses enfant Artur et Joséphine avec qui je m’entendait plutôt bien, donc j’était impatiente de les revoir même si en seraient sans aucun doute coincé sur une table à se regarder bouche bée comme tous les diné.


      Je partis avec ma mère dans le carrosse, en arrivent un grand manoir nous attendais, je regarder par la fenêtre pour finir par voir l’entré ou attendais trois personnes, je reconnu immédiatement mon oncle mais les deux autres aucune idée, pourtant ils me semble étrangement familier……hum,
       moi: « Attendez mais cela est impossible…mère, es vraiment… ? »
       Ma mère ou devrai-je dire la rêne ne me laissa même pas finir ma phrase, comme si elle avait lus dans mes pensé elle sourie et me rependit : « oui, se sent bien tes cousins »
       liliana sur un air très surpris : « ils en changer !!!!! »
       La reine Sindi sourie: « oui, tous comme toi, n’oublie pas sa fais maintenant plusieurs années que vous ne vous étiez pas vus, si je me souviens bien depuis leur départ, donc je te prierais de resté polie»
       J’ignora complètement la dernière remarque de ma mère qui étais trop souvent répété à mon gout et songea: « c’est vrais, ils m’en terriblement manquer » ensuite je me mit à penser a nos souvenir de jeunesse, un sourire m’échappa, et je me dit au fond de moi même : « oui, en se temps la en étais inséparable, les meilleurs amis, enfaite c’étais mes seuls amis, j’espère qu’ils le restèrent, et qu’en va au temps s’amusé qu’avent »
       On arriva enfin et quelqu'un venus ouvrir la porte, la reine fus la première à descendre suivi par sa filles (moi Liliana), l’oncle s’approcha alors suivi par ses deux enfants. Tous les cinq affiché des sourire radieux, le silence régner jusqu'à se que Sindi pris enfin la parole.
       La reine : « cela fessais fort longtemps mon chaire frères »
       L’oncle : « oui, votre majesté, je suis combler que vous aillais accepter mon invitation »
       La reine : « moi de même, heureuse de vous revoir…mais dite moi vos enfants en bien grandi »
       L’oncle souri de plus belle : « oui, cela est vrais, mais la princesse aussi »
       La reine : « oui, c’est incroyable comme le temps passe vite, nous prenons des rides mon chère, Liliana approche toi»
       moi : « oui, mère (je n’aime pas cette robe, j’étouffe dedans, aller voyant le bon coté des choses en moins je vais pouvoir les revoir)»
       L’oncle : « Artur, Joséphine »
       Les trois enfants s’approchaient.
       moi : « bonjours mon oncle (allais le cérémoniale habituelle, j’espère qu’après je pourrais les voir normalement) »
       L’oncle : « bonjours mon enfants, je suis ravi de vous revoir »
       moi : « moi de même »
       L’oncle : « vous vous souvenez son doute de mes enfants »
       moi : « bien sûr, bonjours chaire cousin » j’arbora un magnifique sourire en les voyant tous les deux.
       Artur et Joséphine firent de même, et me saluèrent.

    alors comment se passera la journée qui son ses deux nouveaux amies, comment sera le bale de se soir tous sa au prochain chapitre, pendant se temps à plus


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  •  chapitre 3: vieux ami et nouvelle rencontre

     

    chapitre 3

     

      Après un long discoure que je dus écouter de force à cause de mes devoirs (de princesse), Joséphine me fis un signe que je comprit directement : «excusais moi, puis-je m’absenté quelques minutes» dis-je en regardent ma mère
       L’oncle : « oui, bien évidement….attend tu risquerais de te perdre Joséphine accompagne la je t’en pris »
       Joséphine masqua un léger sourire : « mais bien sur père »
       en se levèrent toute deux et partirent, une foi la porte fermer je me jeta sur Joséphine avec un grand sourire de victoire : « tu sais que tu ma manquait »
       Joséphine : « pas au temps que toi »
       une voie me fit sursauter
       …: « dit donc vous n’avais pas perdu de temps »
       Mais je repris vite mes esprit me tourna et sauta sur celui que je venais d’apercevoir tout en le fessent basculait et tomber par terre.
       moi: « Arthur »
       Celui si allonger au sol et moi juste au dessus de lui devenus tous rouge : « eh, Liliana, tu m’étouffe la »
       moi : « eh, excuse » je me releva et le jeune homme pus enfin reprendre une teinte normale
       Joséphine : « je n’arrive pas à croire qu’en est de retour »
       moi: « six ans, et bien »
       Arthur sur un temps sarcastique : « et alors, je suppose que pendant tous se temps tu es devenu une véritable princesse »
       je  souri : « bien évidement, pour qui tu me prend ?,  maintenant j’adore les réunions, les cours et les sujets de conversations ennuyeux à mourir, surtout qu’en je n’arrive pas a trouvé le sommeille, alors la c’est une véritable délivrance, vous devrais essayer, sinon je réussi à concevoir de magnifique plan pour m’évadé du château, et Didi est bien content de terminé les plat du chef» et je tira la langue, les trois explosèrent alors de rire.
       Arthur : « alors toi, tu n’as vraiment pas changé »
       moi : « oui, et je suis fière de moi »
        Ils passèrent une heure à se parler et à se remémoré de merveilleux souvenir, lorsqu’ils furent obligé de retourner pour manger, et ensuite je me dirigeai à la maison, en espèrent bien les revoir se soir au bal, l’après midi se déroula très bien car j’adoré l’équitation.


       C’est presque le soir, je dus enfiler une longue robe bleu clair, certes je la trouvé très belle et très élégante, mais se n’étais certainement pas moi, se n’est pas mon style, sa n’y ressemble pas, mes long cheveux brun furent camouflé, a la place dressé un chinions, des talons haut qu’a force du temps j’ai réussit à m’y habitué et le masque bleu qui camouflé mes grand yeux brun pour le bale masqué qui m’attendez, j’esquive un petit sourire forcé, pour toute les habilleuses qui se son donné du male pour ma préparation et part rejoindre la rêne, se soir, un nouveaux défie m’attend, réussir pendant quatre heur interminable a enfilé un sourire qui n’ai certainement pas réelle, et parlé avec des personne très ennuyeuse avec les qu’elles je n’ai sans doute aucun point commun a part mon rend dans je n’ai certainement jamais rêvé.
       Le soir commença et comme à chaque bale, je fus pris de demande de toute part, mais je savait bien au fond de moi-même qu’ils ne fessais sa que pour une seul chose, la couronne de ma mère, au boue de deux bonne heur, je réussi a échappé au regard et à me faufilé dans le jardin ou je fis une petite balade, espèrent bien que le temps se précipite, je m’avancé quand soudain j’entendit un hurlement c’étais les gardes, instinctivement je me cachât derrière un buisson.
    Le garde 1 : « je crois bien avoir vus une ombre passé par là, je dois être en manque de sommeille »
    Le garde 2 : « bon au qua ou, en se dévisse, vous de se coté et nous de se coté, si il y’a quelqu'un en le retrouvera avent qu’en le remarquent »
    Le garde 1 : « oui, en se retrouve dès qu’en à inspecté toute la zone»
    « et attendez pourquoi je me cache moi » pensai-je toujours derrière les buisson à espionné les alentours comme une voleuse.
    Et les gardes se dispersaient, je recommençais à marché normalement vair le château, qu’en soudain je cru entendre un bruit, téméraire je me cacha derrière l’arbre et observa qui étais là, qu’en soudain je vit un jeune homme, mais contrairement à se qui étais au lieu de cérémonie, c’étais un villageois tout à fais ordinaire, sa m’étonna un court instant puis je me décida enfin à sortir de ma cachette : « je peut savoir qui vous êtes » toujours avec mon masque sur la tête
    Le jeune homme sursauta en se tournent, puis il allait commençais à courir, quant soudain je lui retenus le bras : « attend, ne t’enfuie pas» dis-je avec un très beau sourire
    Le jeune homme s’arrêta il allais lui rependre, quand soudain ils entendirent un bruit, il la traina en vitesse derrière un buisson, en lui mettent sa main sur sa bouche, pour l’empêcher de parlé, pendent que le jeune homme observais au alentour toujours avec la même posture, la princesse rougissais t’elle une écrevisse, « qu’il enlève sa main je ne risque pas de parlé, ni de me montré, en est vraiment trop proche j’ai l’impression que mon cœur va s’arrêté de battre allez ressaisi toi Liliana » pensai-je, soudain le jeune homme me lâcha rien c’étais surement un animale: « excuse moi, je croyiez que s’étais un garde »
    je repris mon souffle et ma tente naturelle : « se n’est rien, dit moi tu t’es faufilé en douce dans le château n’es pas » dit-elle en rigolons
    Le jeune homme l’observa je crois bien qu’il ne savais toujours pas à qui il s’adressé, un sourire un peut timide et gêné s’installa sur son visage : « oui, c’est vrais, je voulais voir à quoi ressembler le bale …mais toi je crois que tu à étais invité »
    Alexia : « oui, c’est vrais, dit comment tu appelle ?? »
    …. : « moi c’est Arthur et toi ? »
    Alexia : « moi, moi c’est …. (et zut pourquoi j’ai posé la question, je suis trop bête c’étais évident qu’il allais me la retourné) » j’hésita un instant à lui dire qui j’était car je savait très bien comment sa allais finir, puis je me décida enfin de toute façon je ne le reverrait sans doute pas donc au temps lui dire la vérité, de plus j’ai étais invité il trouverait sa suspect : « Liliana »
    Le jeune homme resta quelque instant paralysé....

    comment va réagir cette nouvelle rencontre, comment se passera la suit du bal?, je sais je suis méchante mais je veux absolument augmenté le suspence hahaha, la suit demain


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  • chapitre 4: désepération

    chapitre 4

    Le jeune homme resta quelque instant paralysé, à se remémoré se qu’elle disait : « tu, tu es notre princesse !!!!! » dit-il les yeux écarquillé au maximum. en s'aprétent à faire une révérence.
    je savais très bien se qui m'avais attendus mais j'avait hausez espéré qu’il ne réagirait pas comme tous, je métamorphosa soudain mon beau sourire contre le faux et m’apprêté à lui rependre quand soudain j'entendus une voie que je reconnu immédiatement celle de Joséphine, je m’empressa de me mettre derrière l’arbre et dit à Arthur : « je suis désolé, en m’appelle je doit partir, je te conseil de rentré chez toi avent que les garde te trouve d’acore, la il circule la porte de derrière dois certainement être vide, si en te pose la question passe toi pour l’apprenti cuisinier »
    Arthur : «merci, votre altesse, et désolé de vous avoir dérangé»
    je sortit de ma cachette en laissent Arthur se sauvé par la porte de derrière, j'appela mon amie qui venu immédiatement me rejoindre.
    Joséphine : « Liliana, ta mère te cherche partout, tu dois retourné au bale, les invités vont s’impatienté »
    je soupira et pris une longue respiration puis sourie : « d’acore, j’y vais, mais sa m’étonne que sa soi toi qui vienne me cherché et me parlé de mes invité, je m’attendais à voir la garde ou Gorge je suis un peut dessue » dis je en tirant la langue
    Joséphine : « oui, oui, c’est sa »
    Après un beaux sourire échangé, en se prirent la main et partirent toute les deux vairs la sale, ou je ou devrai-je dire Liliana future rêne de cette ville fus accablé par une foule délirante, des prétendent voulez absolument l’invité à dansé, je valsa de bras en bras pondant une bonne heure complètement épuisé, en ne me lâché toujours pas, toutes ses discussions stupides et sans intérêt me donné la migraine et une forte envie de dormir ressemblent étrangement à celle du court d’histoire, j'allais craqué lorsqu’Arthur s’avança me pris la main pour y déposé un baisé et m’invita à dansé,  j'accepta sans plus attendre cette propostion pour m'échapé de l'enfer, et ùe mis sur la piste de danse, à la fin il ne me lâcha toujours pas la main et me traina jusqu’au balcon, je soupira un bon coup : « merci, Arthur, je crois bien que j’allais me mettre à hurlé »
    Arthur : « oui, je le sais » dit-il après un beau sourire
    je l’observa un long moment puis me tourna vair le ciel pour contempler les étoiles: « je suis contente de vous connaitre toi et Joséphine, vous êtes probablement les seuls à resté normaux avec moi, dit.....Arthur tu pence qu'un jour....je pourrais décidé seul de se que je veux....pas beaucoup seulement une décision"

    Arthur s'approcha de moi et me tourna face à lui pour que je puise le voir, en me méttent sa main sur ma joue, je ne rougie pas à cette réaction qui m'arrivé souvent avec mon meilleur ami: "oui, peut être" dit il tous simplement sans doute pour ne pas brissé mon rêve qui d'après ses yeux semblé imposible.

    la soirée se fini bien tard à mon gout, car après quelque temps passé en compagni d'Arture et Joséphine j'avais due reprendre les discutions de grand père et mr philosophe, un jour je pense que je dirrais simplement: "je me marirais jamais" et basta en moin je serais certaine qu'en me laisse tranquille.

    en rentrent dans ma chambre ou je m'isola je vis deux grand yeux brun se jetais sur le pauvre corp frêle qui réster de moi, didi me léché et moi j'éxplausais de rire, je le regarda et sourri sa doit surment être la seul persone qui puisse me faire sourire après une journée pareille, bon voillon les points positive j'ai retrouvé deux ancien amis, point négative ma mes leçon d'histoire, la réaction de tous le monde, les prétendent, la diplomacie, la rêne qui je sais demain va me repassé un savent parceque je vais encore m'enfuire et oui Didi je n'est pas oublié, demain c'est ville, je décompresse, bon la au lit car demain il faux me levez avent que mes garde personnelle (c'est à dire mes 3 éstimé demoisselle de compagni qui raplique à 6:00.


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