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chapitre 8:
Je laisse mes cheveux tomber sur mes épaule tout en gardent ma casquette qui me cache un peut le visage des gardes circulent de là à là je pars vair le champ malgré que je doute pouvoir y trouver Arthur à cette heur si.
chapitre 8: réfléxion et suspence
Sai j’y suis, comme je m’en doutée, personne, pas grave, je m’assoie qu’en même contente de pouvoir me relaxé un peut, mon Didi sur mes genoux, je le caresse, le regarde, je me trouve un peut idiote qu’en même espéré qu’il vienne me voir, alors qu’en est en fin de journée, je m’allonge et arrache quelque peut l’herbe au sol de mes mains, soudain une question me viens à l’esprit : d’ou me viens cette manie ? Pourquoi je suis ainsi depuis mon enfance ?, pourquoi j’aime au temps regarder le ciel bleu ?, pourquoi tout le monde rêve de la vie que je déteste ? Pourquoi ne puis-je être se que je suis ?, qui sui-je ? Pourquoi me caché telle une fugitive alors que je ne fais rien de male ? La liberté est un crime ? Mes secret en t’il une si grande importance ? Ne puis-je tous simplement pas être avec mes propre idéo ? Pourquoi ne pas m’exprimer clairement ? Pourquoi je me conduis ainsi alors que je n’y trouve aucune raison ? Pourquoi je ne trouve aucune raiponce à mes questions ? Pourquoi je n’arrive pas à les comprendre ?, pourquoi je n’arrive pas à me comprendre ? À leurs faire comprendre ?, pourquoi ??, n’ya t’il aucune raiponce. Je commence à me plonger dans mon monde incertain et contradictoire, se monde ou personne ne peut me suivre, ou je n’entends plus personne je ne voie plus rien, me contente de sentir le vent souffler sur ma peaux, les quelques oiseaux chantent la mélodie de leur bonheur ou de leur tristesse, peut être de ma tristesse, la solitude m’emporte, secret, rêve, obligation, solitude, mensonge, ma vie es entièrement consacré à se tourbillon infernale, je me laisse aller, et je sent une larme coulais lentement le long de ma joue , sucré ?, salé ? Quel gout peut-elle bien avoir ?? Je ne le serrais pas, elle viens de finir sa couse affolé contrairement à moi, elle à trouvé la force de la finir, de tombé au sol, mais au fend es que je veux vraiment la finir ma course ?, es que je veux abandonné ? Me laissé allais ? je ne sais pas, non, je ne pence pas,, mais je me souvient d’une chose, mon objective qui parais impossible, qui parais inespérable, au fend j’espère pourvoir y parvenir, mon secret, mon vœu, se à quoi je m’accroche, pourvoir changer la fin, combattre mon destin, changer se monde, non changer cette raison qui nous pousse à être autre que nous même, changer cette esprits, cette tat d, cette état contradictoire de nous-mêmes, changer ma famille, mon entourage, mon peuple, ou ne serai-ce qu’une seul personne, qu’une seul personne puise me comprendre et me suivre dans la folie de ma vie, une personne qui me connaitra entièrement, avec mes bon et mes mauvais coté, qui sera se que je ressent, se que je vœu, se que mon esprits cherche, qui pourra me guidé, ou tous simplement m’encourager, au fend, même Arthur ne là pas fais au début, seulement parce que j’étais habillé autrement, quelle est l’impotence de se titre que je déteste temps, pourquoi seulement en changent d’habille en peut se faire un passage dans une nouvelle vie, j’aimerais rester ainsi avec ses habits aussi médiocre que certain peuvent les jugeais, tous en des histoires à raconté !!!, le mien raconte celle d’une jeune fille qui déteste se monde et qui se change en paysan pour laisser vagabondé son esprits, celui de quelque noble raconte l’histoire d’une personne qui ne voie que le superficiel et qui pour lui travailler est symbole de pauvreté, la deuxième partit se voie comme le sauveur celui qui pourra aider tous le monde et qui entre ses mains repose la vie de tous, celui d’un paysan quelle conque raconte son envie de ressemblais au beaux ministre de son pays, son ardeur au travaille, sa souffrance et son malheur paysagé, sa joie tous ses sentiments, quel est l’habille parfais, celui que tous le monde devrais porté, celui qui nous rassemblerais sur un pied d’égalité, il n’en existe malheureusement aucun à ma connaissance, mais j’espèrerais un jour pouvoir le trouvé.
J’étais plongé dans mes pensés aléatoires, mes paupières close au milieu d’un champ avec seulement Didi sur mes genoux, quand soudain quelqu'un s’assis devant moi et posa sa main sur mon épaule se geste me donna comme effet un sursaut de surprise suivie d’un léger cri, j’écarquillai mes yeux pour découvrir mon nouvelle ami Arthur s’excusé, je souri, il étais venus même si c’étais pour Lili la villageoise, il étais venus pour moi, et cela me comblais de joie, je ne pus camouflais un immense sourire qui s’afficha alors sur ma frimousse, cette dernière avais quitté son monde de pleur et d’interrogation pour se laissé emporté par l’énergie et la joie du jeune homme qui lui raconté les quelques aventures de sa journée, se suivis alors une longue balade à trévère le champ, des course poursuite, des jeux, la détente régner et le temps passé superbement mais à mon plus grand regret aussi très rapidement, il étais six heur se qui voulais dire pour moi le temps de rentré surtout si je voulais vraiment faire passé cela pour une sieste retardé, à mo grand désarroi je dit au revoir à Arthur je lui dit que je ne saurais pas si je pourrais revenir ses prochains jours, bien sûr il me demanda les raisons mais je ne pus rien réveiller que dire : « j’ai des devoir et je ne pence pas pouvoir m’enfuir bientôt du châteaux » ceci étais impossible, je lui fis un sourire et partit accompagné de Didi qui passé de temps à autre entre mes gambes, j’arriva au château et me changea avent d’entrer, les gardes me regardèrent éberlué apparemment personne ne c’étais rendus compte de mon absence, je fis seulement un petit signe qui voulais dire : vous n’avez rien vue, et j’entra à pas de géant pour me dirigé vair ma chambre ou j’arriva sans faire vrément de bruit, Didi accourue vair mon lit et en fis tous les deux un plongent, je sourie après ne bonne heur, mes gardes féminins personnel vinrent m’appelais à diner, habillé et coiffé, je descendit rejoindre la table garni ou personne ne m’attendais a par le chef cuisinier, j’avala silencieusement se canard à l’orange qui étais j’avoue délicieux, et m’âpreté à retourné dans ma chambre quand soudain Gorge apparue devant moi et me dit : « votre mère doit vous parlais, elle vous demande, actuellement elle est dans la sale du trône »
Moi : « j’y vais de suite »
Etrange jamais elle ne m’avait demandé le soir, sa doit être urgent, pourvus quelle n’ai rien découvert pour aujourd’hui, hésitante, crispé et un peut peureuse je m’avançai vair la sale du trône, j’y trouvai ma mère comme à son habitude devant des milliers de paperasse, qui à sa place m’aurais sans doute amenais au sommeille depuis bien longtemps et dire qu’un jour je prendrais sa place, et bien, bon que va-t-elle bien pouvoir me dire, je resta debout face à elle qu’en elle leva enfin les yeux vair moi je sentit mn cœur battre la chamade, qu’avait elle à me dire, j’avais un mauvais pressentiment, je ne sais pourquoi mais je sentais que quelque chose allais arrivé suit à cela, quoi je ne savais pas, parle, c’est tous se que je voulais lui dire, qu’elle est cette chose qui me suscite une telle crispation, quand elle daignai enfin ouvrir la bouche, je me crispa, me figea, frigorifia , avais-je bien entendu, sa ne doit pas être vrais, j’ai sent doute mal interprété, peut être sa logue à t’elle fourché, peut être me suis-je trempé….à suivre
Bon je sais la je suis vraiment méchante j’hésité entre vous révélez sa réaction, ou la chose qui c’est produite, et bien je verrais si j’ai le résultat que je voulais dans les com’s, le suspense à t’il eu l’effet escente, qu’elle est cette chose quelle lui à dit ?, se sentiment étai t’il fondé ? comment sa vie va-t-elle changé, sa vous ne le serrais pas et je pari qu’aucun ( e ) (si il y’a des garçon qui lise mes écrit ^^) d’entre vous ne le trouvera, je sais déjà à quoi vous allais pensé au premier lieux, donc n’’hésité pas à me dire dans vos message et vérifié si vous aviez la raiponce l’hors du prochain chapitre, et je tien à dire vraiment désolé du retard, j’espère que se chap vous à plus, j’ai essayais de relevais le plus de faute d’horographe que possible ^^
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Commentaires
lili se fais passé pour quelqun qui travaille au chateaux qu'en elle mets son déguisement pour pouvoir sortir de celui ci sans trop de difficulté ^^.
ouiiiiiiiiiii, sa à réussi c'étais bien sa que je voulais, la suite elle sea pour tout à l'heur car je l'ai déja en tête, sa sera après mes heur d'angler, je ne te dirrais pas si se que tu dit est vrais, tu le sera dans éxactement 9 heur à partir de cette seconde.
merci c'est trop gentille, moi aussi je t'adore ma petite kim ,
de la part de ta diabolique ami qui vous présise que si vous la tué elle ne poura pas mettre la suite : mimikila
il faudra attendre la fin de la fic et je peut assuré qu'elle n'est pas prête de se finir avec la tournure des évenment que je vais mettre ^^
Je sais,j'ai pensé en premier aux fillancailles, mais maintenant je penche pour la mort de quel qu'un ou alors elle va devoir aller dans un autre pays. Et je vais aller verifier mes pensées.
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Alors, allons par odre chronologique sur ce que j'ai lu pour ne pas perdre mon idée. Je trouve que la musique que tu as mis allais super bien avec ses pensées contradictoires et la violence de son envie de liberté. Ensuite, chose que je ne suis pas sûre de comprendre c'est : Lili s'est fait passé pour quelqu'un qui travaille au château ? Je ne m'en rappelle pas... :/
Et enfin, la fin. Si l'effet escompté était la haine de tes lecteurs, tu l'as eu sur moi : j'espère au moins que la suite ne serait pas en retard, parce qu'ou sinon... En tout cas, je pense que sa mère lui annonce qu'elle est fiancé à Arthur (son "cousin") parce qu'en fait, ils n'ont aucuns liens. Elle dit aussi que la guarde se fera plus rapprochée pour être certaine qu'elle ne fera plus d'escapades nocturne et/ou matinale. Bref : elle serait prisonnière de sa pseudo liberté.
Ta gentille amie qui te déteste a présent, Kimmy-Saki ^^