• chapitre 18: maladie et solitude

    mon seul sauveur dans cette obscurité

    chapitre 18

       Avent dernier jour, demain j’accoste, demain plus rien ne sera comme avent mon cœur se resserre, j’ai mal, tellement mal, mais j’ai fais un pacte à moi même, je changerais, je ne doit pas criée, je ne doit pas pleuré, moi, Liliana n’aimerais plus jamais, malgré ses mots sont absence me blaise tellement, hier j’ai fais un rêve, un cauchemar, ou je ne sais comment l’appelais, je lui disais adieux, je pouvais enfin parlé à Arthur, je lui es tout dit…. à propos de moi, à propos de mon avenir…de se qu’il me réservé…je les regardé droit dans les yeux et lui ai dit une phrase qui reste gravé en ma mémoire, que je eu tellement de mal à faire sortir de ma gorge, en baigéllon je lui ai dit que je l’aimé, qui j’étais, et aussi se que je voulais faire, pour finir par le simple mot qui ma décroché le cœur, le simple mot qui à réussi à enlevé le sourire et le sentiment qu’il étais seul à pouvoir m’offrir : « adieux Arthur ».

       Je me lève comme tous les matins, je ne me sent pas vraiment très bien, mais sa passe, au tour de moi, cette cabine vide, tellement grande mais tellement vide, Didi est le seul à coté, il es le seul présent, le seul à me regardé et à sourire…. depuis que je suis petite, il es le seul qui ne ma jamais quitté, et qui ma à jamais soutenus dans tous se que j’ai fais, je le prend et le sert contre moi, j’apaise mon cœur en sa compagnie, je voie le soleil traversé le voile de ma chambre, m’habille et sort de la cabine en temps que princesse, je ne veux pas me caché, j’en es assez de tous sa, de devoir à chaque foie enfilé mon masque, après tous je n’en voie aucun intérêt ici, je marche sur le pont sans aucun sourire, sans prêter attention à se qui m’entour, je marche et je me rappellent de tous et de rien, la phrase que j’ai dite dans mon rêve me tenaille l’esprit, elle n’arrête de se répété, Arthur n’ai pas la, Sébastien ne viendra sans doute pas si je suis ainsi habillé, et je ne même pas intérêt à la seul personne dans je ne me séparerais jamais, mon petit Didi à beaux aboyé je ne le regarde même pas, pardonne moi, pardonne moi, toi qui es toujours à mes coté, pardonne celle que je suis…. La réalité je suis déçu, par ma propre faiblesse, je suis déçu par le faite que je n’arrive même pas à arrêté d’y pensé, je pense forte mais je ne le suis pas, y arriverai-je réellement ???, quelqu’un comme moi peut il réellement changé quelque chose, au fend j’aimerais que se bateau ne s’arrête jamais, qu’il m’emmène vers le boue du monde, sans retour, je suis rien d’autre qu’une pleurnicharde et une raté.

       J’entend quelqu’un répété mon nom, qui aise, qui m’appellent, avec une grande difficulté je réussit à ouvrir les yeux, Sébastien que fait il ici, se n’étais qu’un rêve, j’étais bien sur le pont, ma tête tourne, j’ai male, et je n’arrive même pas à ouvrir totalement mes yeux, doucement je regarde au tour de moi, je voie le capitaine il semble hurler mais je n’entend rien, une femme est devant lui, l’autre est devant moi, de l’agitation remplis ma chambre, des gens ici et là, mais je n’ai plus la force d’ouvrir les yeux et je fini par me rendormir sans prononçais un mot , j’ai mal, tellement mal.

    Point de vue Sébastien :

    Je marché sur le pont, j’ai fini le travaille pour aujourd’hui, j’ai bien fais de prendre l’heur de nuit, il es six heur et demi, il semble que presque tous le bateau soi encor endormis je m’avançais, qu’en soudain je remarque Liliana, elle porte ses vêtements de princesse, je ne peut pas l’approché, c’est étrange elle ne semble pas être dans son état habituelle, son chien aboie mais elle ne repend pas, bon vus qu’il n’ya personne, je n’ai qu’à allais la voir, bizarre, elle ne bouge pas d’un pousse, soudain j’écarquille les yeux, et fonce sur cette dernière, elle es allongé à terre, je suis complètement paralysé par la peur, je répète son nom, alors qu’elle es entre mes bras, complètement inconsciente, brulante de fièvre, n’y à t’il personne sur se bateau, je court et hurle à l’aide, la première personne qui m’à vus à pris panique portent sa main à sa bouche : « emmenez la dans sa chambre, j’appellent le capitaine », j’exécute aussi vite que possible l’ordre donnée par mon supérieur et l’allonge sur son lit et reste à son cheveux, Didi semble aussi paniqué que moi, en reste tous les deux à sont chevé. cinq minutes plus tard, le capitaine est là, je voie des dizaines de personne le suivre, affolé, presque tous l’équipage se rué dans la chambre alors que le boss hurlé pour savoir se qui se passé, à cette instant j’ai réellement réalisé avec qui je me trouvé, la princesse Liliana, elle à beau être comme toutes les filles, elles à beau sourire constamment, elle à beau ne jamais se plaindre, pleuré en silence, elle à sans aucun doute des milliers de responsabilité sur les épaules tous comme une certaine personne, je doit faire de mon mieux pour l’aidé, elle es celle qui ma ouvert les yeux, elle Lili, non, Liliana, ouvre les yeux, j’ai peur, j’ai peur de se qui se passe. 

    Point de vus Liliana :

     

        Il fais noir, sombre, je ne voie aucune lumière, je suis seul, complètement seul, je doit appelais quelqu'un, mais qui ?, je ne sais pas, j’ai toujours étais seul, tous le monde fini par partir tôt ou tard, il n’y à personne qui reste, je ferme les yeux dans se néant et me plonge dans mes pensé, oui après tous, mon père est partit, ma mère pence comme tous le monde et ne voie que les positions social, tous les personne que je côtois semble gentil mais personne ne les réellement, ou tous simplement il me parle comme la société les à programmé, ou encore on se détournent de mes yeux et regardent ma couronne, ne voient rien de moi, je suis jugé à chaque instant, je doit levé la tête à chaque instant, sourire à chaque instant, je suis condamné à ne pas être comme vous, à être aimée pour se que je ne suis pas, on réalité je ne suis pas comme elles, pas comme toutes ses aristocrates qui n’en aucune personnalité, je ne suis pas faite pour plaire à tous le monde, je suis moi un point c’est tous, comme je suis née, telle que je suis resté, j’ai mes rêves, mes ambitions, mon petit caractère, je ne sais pas comment plaire à tous le monde, et je n’aimerais en aucun ka que se soit le ka, sinon sa signifier qu’en se moque de moi, ca, sa n’existe que dans les comptes de fée et moi je suis dans la vie réelle, se n’es pas facile tous les jours, mais c’est ma vie, on me méprise pour mon titre, on me ment on disent m’aimé alors qu’en viens juste de me voir, on se moque de moi en me dissent de porté un masque que malgré moi j’enfile à chaque instant et le plus grave c’est que j’y es pris l’habitude, de se masque de fer, il me fais male, mais c’est aussi ma carapace, je peut m’y réfugié, j’aimerais bien l’enlevé mais on m’à élevé comme sa, avec se masque, et on me remémorent bien, à chaque moment ou j’ai voulu le retiré je me suis retrouvé vulnérable, j’ai étais séparé des seuls amis que j’avais, et c’est sans doute pour sa que je me retrouve ainsi, dans cette endroit, vide et lugubre, avec personne à appelais, personne à cherché, personne qui peut me trouvé ou me sauvé, je n’ai pas d’ami, c’est pour sa que j’en suis arrivé la.

       J’entends à nouveau des voies, c’est qui ?, elle me dise quelque chose mais je ne sais pas qui c’est ??, pourquoi je n’arrive pas à me souvenir, une phrase reviens alors à mon esprits et me fis ouvrir les yeux, je répète doucement se que mon subconscient me rappelais, on tremble de toute part « pleur au temps que tu veux, je suis la près de toi » c’est, c’est Sébastien…. Sébastien c’est…. toi qui m’appelles, Sébastien c’est toi… comment à tu fais pour arrivé la….. Sébastien c’est toi, pourquoi es tu là…..SEBASTIEN.

    Point de vus Sébastien :

       Sa fessais déjà quelque minute que j’étais la, assied devant elle, peut à peut tous le monde étais partit, il ne resté plus que moi accompagné du capitaine, une infirmière et Liliana toujours allongé dans son lit, elle n’avait pas ouvert les yeux même avec tous le grabuge qu’en fessais, le responsable de tous se qui se passe dans se bateau me regardais, puis il se décida enfin à m’adressé la parole : « toi tu fais bien partit de mon équipage, quelle est ton nom ? »

    « Moi, je m’appellent Sébastien »

    « Et bien Sébastien, je te doit une fière chandelle, merci pour avoir aidée la princesse Liliana…mais tu ne peut pas resté ici, maintenant tu doit partir »

    « Mais.... »

    « Non, désolé, mais tu ne peut pas resté ainsi, ne t'en fais pas nous allons nous occupé d’elle, mais tu ne la connaisse pas, tu n’à aucun liens de parenté à elle, et vous êtes tous deux de familles bien différente, je suis désolé mais je doit te demandé de la laissé »

    « Oui monsieur »

       Qu’es que j’allais faire ?, je partis on direction de ma chambre, j’avais failli trahir son secret, et on plus nous mettre dans une galère pas possible, non là, je suis vraiment cinglé mais franchement à quoi es que je pense.       

       Cela fessais six heur que j’étais allongé dans mon lit, j’avais pris cette journée spécialement pour resté avec elle, demain en accoste, elle est tombé malade, c’étais pas vraiment le moment, j’ai beau e retourné dans tous les sens je n’arrive pas à arrêté d’y pensé, Liliana, j’espère que tu iras mieux demain.

       La nuit fini par arrivé, j’avais passé ma journée enfermé à pensé au rétablissement de Liliana, sans pour au temps réussir à allais la voir, je fini par sortir incapable de me résigné à dormir, je suis partit sur le quai à regardé l’horizon, qu’en soudain…..


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  • chapitre 2: c'est simple, je vais la tué

     

    je viens de finir de déjeuné, Sindi es super sympa, mais là je me sent pas bien du tout, chapitre 2: c'est simple, je vais le tuéet je commence à avoir mal à la tête, oh non, j'ai oublié mes cachés allais se n'es rien, je file à l'infirmerie et lui demande quelque pilule, elle regarde mon carnet scolaire et ne tarde pas à me les donné, je la remercie et sort de sale avent qu'en me voie, je ne veux pas du tout qu'en sache, une petite demi heur et les pilules ferons effet, de toute façon je me suis habituée.
    malheureusement je suis conviée maintenant à quatre de supplice dans les labos, sa je ne mis ferais jamais et en plus je ne suis pas dans le même groupe que Sindi, moi qui espéré pouvoir me mettre avec elle, bon tempi, je marche doucement avent d'atteindre le lieu ou je vais passé toute mon après-midi, un long soupire sort de ma bouche et je franchis la porte, bon une place???, mes yeux se balade dans la sale avent de s’arrête, un grand sourire s'affiche alors sur mes lèvres, voilà une de libre et toujours coté fenêtre  j'ai trop trop de chance, je m’installe et tous le monde me regarde avec un air terrorisé, mais qu'es qui se passe à la fin, une élève commence à d’approché de moi, mais elle s’arrêta de suite en voyant que quelqu’un venais d'entré, eh, je le reconnais, ahh, oui c'est jack mon voisin de table.
    Jack : "éé, la naine, pousse toi c'est ma place" dit il d'une voie terrorisante en arrivent devant moi
    un mais pour qui il se prend celui la, LA NAINE, il va voir se qu'il va voir, je me pencha chapitre 2: c'est simple, je vais le tuéet regarda de toute part à coté de moi : "désolé, mais je voie pas ton nom inscrit dessus, Carotte"
    "comment tu ma appelais la????"
    "Carotte, pourquoi?"
    "tu va me le payer"
    "oh, j'ai trop peur , qu’es que tu va me faire" je sais que j'y allais fort mais je n'y peut rien, j'ai comme on me le dit souvent un caractère de cochon
    il me pris par le col et me souleva en une fraction de seconde, c'est vrais que la je ressemblé vraiment à une naine, je le fixa droit dans les yeux et dit : "alors voilà qu'un homme s’abaisse à frappé une femme!" en réalité je ne savais pas du tout comment mon sortir et je n'avais trouvé que sa, c'est trop bête mais il est trop fort, et en plus ma tête me fais trop mal, faite que mes caché fassent effet, mais pourquoi il à d'aussi beaux yeux putain je n'arrive pas à détaché mon regard, il mesure en moins cinq centimètre de plus que moi, il faux vite que je règle sa, je ne sais par qu'elle miracle jack fini par me reposé mais dans l'autre siège à coté de lui, adieu ma belle fenêtre, j'allais me relevé mais la prof arriva se qui me ramena à me rassoir, ce jack, j'ai envie de le tué, il sourie face à mon soupire, cette carotte m’exaspère, voyons que je n'avais aucun autre choix, je sort mes affèrent, et regarde celle qui se trouvé sur l’estrade, ma prof de science une femme qui avais l'air d'avoir la 40, cheveux coloré noir, de beaux yeux brun, bref une prof, un être humain, le cour n'à même pas démarré que je commence à baillé, je regarde devant moi et fus surpris à qu'elle rapidité l'être (je ne sais pas encore si il est humain ou animale) qui se trouvé à mes coté c’était endormis.
    sa fais maintenant une heur que je suis assise sur se siège, la prof nous à refilé un exercice, vus que l'autre à coté dort, et que franchement je n'avais aucune envie mais alors la aucune qu'il recommence à m’emmerde j’ai fini par le faire moi-même, heureusement sa ne m’à pas pris très longtemps donc juste après sa j’ai fini par reposé ma tête entre mes bras, et par m’endormir sans même le remarqué.
    J’étais dans une pièce toute blanche, des photos de toutes les personnages que je connaissais et voulez tuer défilé devant mes yeux, Charlie et Mindi, mes anciens amis, se que j’étais, sans oublié Matias et Lévi, et oui, vous deux, se dans j’avais le plus confiance, se qui m’en fais tellement souffrir, jamais je ne vous le pardonnerais jamais ….JAMAIS.
    je me réveille en sursaut et on crient, se n’étais qu’un rêve, mais ou es que je suis ?, j’entend quelqu'un me parler et j’ouvre entièrement les yeux, je deviens rouge de hante alors que ma prof est aussi remonté qu’une punaise, elle me hurle dans les oreilles des mots incompréhensible que je pence bien être de l’italien, tous les élèves esses de cacher leur messe basse et leur fou rire, a par un seul, devinez allais, essayais de deviné qui ne voulez pas du tous se retenir et son donné à cœur joie, oui, c’est bien lui, mon magnifique voisin que j’aime temps et à qui je réserverais une magnifique mort le temps voulu, mon prof continus à crié et je refermer mes yeux bercé par la douce mélodie de sa voie, je ne me sens pas du tous bien, et je n’ai presque pas fermé l’œil de la nuit, se qui n’arrange pas vraiment mon ka, sans doute épuisé de ses longs discourt sans fin, mon prof pointa la porte de son indexe et cria un seul et unique mot qui me fis sourire se mot que j’attendais temps étais : « DEGAGE » je me levé sans trop de peine, jack dit : « et moi…je peut sortir »
    « le jour ou vous me demanderez de rentré, je vous ferais sortir »
    « D’acore alors monsieur, pourriez vous me laissez assister à votre court »
     « TAISEZ VOUS ET RESTER A VOTRE PLACE »
    Je sourie automatiquement à cette réplique, et dit à jack : « ne t’en fais pas la prochaine foie sa sera ton tour » Je partis immédiatement après sa, laissent mon professeur presque noir de colère.
    J’étais sortit je me baladé un peut partout dans le lycée avent de partir dans la cour tous se que je veux c’est respirer de l’air, cette foie les cacher mette du temps à agir, après quelque vaine tentative je fini par me dirigé vair l’infirmerais, lui dissent que je ne me sentais pas bien, elle me laisse m’allongé, et je peut enfin avoir un sommeille chapitre 2: c'est simple, je vais le tuéréparateur, je me suis habitué à faire des cauchemar, à être seul, à ne faire confiance à personne, je me dit qu’au fend c’est sans doute se qu’il me conviens le mieux.
    La sonnerie à fini par retentir, j’étais toujours endormis, mais je commençais à entendre des bruit de pas, malgré le sommeille qui me persécuté, je réussit à me levée, et remercié l’infirmière, je me dirige vair ma sale de classe, ouvrent la porte très vite je remarque qu’il ne reste plus personne, prend mes affère et me décide à courir vair la maison, balancent mon sac sur le canapé, je prends celui que j’avais préparé la veille, enfile mes rauleurs, prend un autre caché pour mes maux de tête, et file comme une flèche à mon boulot.
    Un sourire Béa, mon petite uniforme ainsi que mon tablier, vous l’aurai sans doute compris je suis maid, oui, depuis une semaine j’occupe se poste, c’est vrais que sa me chapitre 2: c'est simple, je vais le tuésemblé impossible de m’imaginé comme je le suis actuellement, avent j’aurais trouvé sa humilient mais pas maintenant, tous se que je veux c’est travaille et c’est un job comme tous les autres, alors sa me plais, bien sûr temps que personne du lycée ne me voie comme sa, je pence que je vais bien me plaire dans cette ville, et je l’espère.


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    salut, et bien voilà c'est le oneshot pour le concours saint valentin de bidge, je tiens à préciser qu'après avoir posté mon histoire, gigi love a accepté de faire la correction des fautes d'ortho, je la remercie de tous mon cœur, et j'espère que ça ne pose aucun problème pour le concours

    en précisent que rien n'à étais changer que se soie les mots ou l'histoire c'est moi qui les ai écrit ^^

    Je m’appelle Carla, et j’ai vingt ans, il y à une semaine la guerre c’est achevée, une boule au ventre s’empare de moi en attendant son retour ? Qu’il n’ai rien, c’est tous se que je demande, qu’il soit en vie, je suis partie pour voir les annonces, les nom des victimes défilaient, et mon cœur se serrait, je ne voulais pas voir son nom ici, je ne voulais pas le voir parmi cette liste, Kaito, tu es en vie, n'est-ce pas? J’étais debout ne bougeant pas un seul muscle je continuait à lire, sur cette place, plusieurs sentiments s’entremêlaient : des femmes étaient tombées à terre en pleurant la mort de leur mari ou bien de leur fils, d’autre remerciaient dieu de leur avoir laissé la vie sauve, ou bien paralysé comme moi, ne pouvant plus décoller les yeux du prénom de l’élu de mon cœur qui étais inscrit parmi la liste des disparus.

    Je pense être restée debout à le regarder pendant deux bonnes heures, rien apparaissait, je ne comprenait plus se que sa voulait dire, je levai une main tremblante vers la feuille mais je ne réussis à l’atteindre que mes jambes tremblantes cédèrent sous mon poids, j’étais à genoux, je sentis un mélange salé descendre le long de ma joue, c’était des larmes? C’est sa! Mais je ne ressenti rien, mes yeux étaient rivés sur la feuille blanche, et je ne voyais plus rien a par son nom, disparu, qu’est-ce que ça voulais dire ? Il n’es pas mort, c’est impossible, mais… mais, je ne peut me retenir plus longtemps, les sanglots m’emportent,  je pleure, je crie, je hurle, non, sa ne se peut pas, il n’est pas mort, c’est impossible, Kaito, ou es-tu ? Tu ne m’as pas abandonné ? Reviens près de moi, Kaito, tu me l’avais promis, tu m’avais promis de revenir, Kaito, je t’en supplie….. Tous se que je souhaite c’est te revoir en vie, si je n’ai qu’un souhait à faire c’est de te revoir, toi Kaito, tu sera mon seul et unique souhait.

    Je sentit soudain mon esprit s’envoler, ma vue se brouiller, et une voix m’appeler, mon corps s’allongeait sur le sol glacé de la pièce, j’ai vus des silhouettes accourir mais je ne pus resté plus longtemps les yeux ouverts, je ne ressentais plus rien, j’étais dans une pièce noir, entièrement noir une voix m'interpellais mais je ne la reconnu pas, c’étais une voix douce qui ressemblais étrangement à celle d’un petit garçon, je ne le connaissais pas, mais je ne sais pourquoi il me semblait familier. Il me dit une phrase simple à laquelle je ne pouvait répondre aucun mot : « Tu a souhaiter le revoir, tu le reverra, mais plus aucun souhait ne te sera accorder, plus aucun miracle ne se produira, tu devra tous faire par toi-même, es-tu toujours d’accord ?? » Ne pouvant plus parler entre peur, incompréhension et panique je n’ai pensé qu’à une chose, c’étais le revoir, j’acquiesçai d’un signe de tête en souriant, il me rendit se sourire, tous redevint blanc au tour de moi, je le vis disparaître, mais il me dit avant cela : « Bonne chance, j'espère que nous nous reverrons bientôt ».

    Il avait disparu et je me retrouvais dans le vide, rien, j’étais dans le blanc intersidérale, je ne sais combien de temps je suis resté ainsi, à vagabonder, de part en part, avant de voir une lumière, je couru vers elle, ce qui m’aveugla légèrement, et soudain j’entendis des paroles : « Elle est sauvée, elle a frôlée la mort, mais nous avons pus la sauver »

    « Dieux soi loué » dit la voix d’une femme que je reconnus de suite, celle de ma belle mère Éléonore, j’ouvris soudain les yeux, je vis une chambre, ou est-ce que j’étais ? Ça ressemblait à un hôpital, deux bras me saisirent tous d’un coup, c’était bien elle, celle qui m'a toujours considéré comme sa fille, Éléonore, je fermai les yeux et l’entoura de mes bras, elle pleurait, tous cela n’était il qu’un rêve ? Non, si, je ne sais pas vraiment, elle me relâche en me souriant, et me dit gentiment qu’elle reviendra me voir demain, ils devaient encore me garder en observation pour une semaine.

    Suite à cela je me retrouvai seule, dans un silence désarmant, je refermai mes yeux pour quelques minutes à me remémorer la fiche, mes larmes coulèrent de plus belle, il était mort, Kaito étais mort pendant la guerre.

    Je me figeai suite au cris que je venais d’entendre, un cri de douleur, je me levai et commençai à marcher, pour m’arrêter net, pour une fois si on me posait la question fétiche : « Tu as vus un fantôme ?»  je rependrais d’un oui, je restai là comme une statue à le contempler de tous les cotés, alors qu’il passait devant moi sans dire un mot, sans aucune expression, est-ce que c’était bien lui ou ai-je rêver ? Je viens de voir Kaito passer devant moi, je me retourne et le vois rentrer dans une chambre. Oh mon dieu !

    Je commence à courir comme pour atteindre mon dernier espoir comme s'il risquait de disparaître , lorsque je me trouvai face à la pièce, une infirmière arrive vers moi alors que je fixe la porte.

    « Puis-je vous aider ? » dit-elle perplexe devant mon regard médusé et choqué

    Je me précipitai alors de lui répondre par une autre question, presque en hurlant : « Qui est t-il ? Comment est il arrivé là ? »

    Elle bégayait presque, et sa voix était confuse : « Mademoiselle vous pleurez ?! » c’est vrai j’étais en larmes choquée et je ne me cachais pas : « Svp, répondez moi, c’est très important ! »

    « On ne sait pas son nom, nous l’avons retrouvé sans aucun papier pendant la guerre, c’est un rescapé qui à perdu toute trace de mémoire. »

    Mes jambes cédèrent, je suis à genoux, il avait tout oublié, mais il était en vie !! Je remonte la tête face à l’infirmière qui vraisemblablement ne comprend pas du tous ma réaction, mes yeux étaient en larmes et un grand sourire se lisait sur mes lèvres : « Madame, il s’appelle Kaito, Kaito Uchigo, il est en vie, c’est mon mari. »

    Elle écarquilla les yeux, un grand nombre de personnes nous avaient entouré, je continuais de sourire comme une idiote, il était en vie, en vie, l’être le plus chère à mon cœur étais en vie.

    Plus tard on m’expliqua qu’il ne retrouverait sans doute jamais la mémoire, il avait eu un traumatisme suite à la guerre ce qui se déroulait souvent, je me rendis dans sa chambre, et m’assis, il dormait paisiblement, mon sourire gravé, il m’était revenu.

    Je sentis quelqu'un me secouer, j’ouvris les yeux, et me leva précipitamment en voyant Kaito me secouer avec des yeux d’incompréhension,  je le regardai et dis un simple : « Salut ». J’étais rouge comme une pivoine, pour lui j’étais devenue une inconnu, et tous se que je trouve à dire c’est salut, mais je suis cruche ou quoi ? Il me regarde et sourit, ce sourire, celui qui m’avais rendu folle de lui, mon cœur commence à battre la chamade, alors qu’il me pose une question à laquelle je ne savais que répondre : « Qui es tu ? Et que fais tu ici ? »

    Par pure réflexe, je rougis encore plus, et sentit des larmes me monter aux yeux, je savais qu’il ne se souvenait pas de moi, mais je ne pus me retenir, je souris bêtement et dis : « Je suis désolée, je passais par là, et vu que tu étais seul, je suis rentrée voir….. Je suis désolée de t’avoir dérangé. » J’avais mentis, je lui avais menti mais qu’étais-je supposé lui dire? Que j'étais sa femme, que je l'aimais, qu'il ne se souviendrait sans doute jamais de notre relation, que je le croyais mort, que dire dans une telle situation ?

    « Non, c’est rien, mais je reçois rarement de la visite, alors ça ma surpris. »

    « Je m’appelle Carla, Carla Uchigo, heureuse de te rencontrer. » dis je en souriant, mais je regrettai vite ma phrase, face à son sourire disparut

    « Je suis désolé, je n’ai pas vraiment de nom à te donner. » dit il tristement

    « Ça ne fais rien » en souriant, je repris « J'ai une idée on a qu’à te trouver un nom, pourquoi je ne t’appellerais pas Kaito, ça te va Kaito ? »

    « Kaito » dit il d’un ton moqueur que je lui connaissais bien

    « Ça te plais pas. » dis je tristement

    « Non, c’est parfait » repris t-il « alors enchanté de te rencontrer, moi c’est Kaito. »

    « Enchantée moi c’est Carla, ta voisine de chambre. »

    Et voilà, je viens de rencontrer l’amour de ma vie et il ne sait absolument rien de moi, je ne lui dirais rien sur notre passé, si comme le docteur l'a précisé il a eu un traumatisme, je ne veux pas qu’il se souvienne de toute l’horreur de la guerre, des souvenirs je ferais tous pour en recréer et même des plus beaux, je ne veux pas qu’il souffre, je veux qu’il soit heureux, je l’aime, je l’aime bien plus que le monde entier, il est tous pour moi, alors j’espère qu’un jour notre relation redeviendra comme avant, qu’il m‘aimera, que je pourrais enfin lui dire mes sentiments.

    Deux ans plus tard :

    Mon cœur a battu à un rythme que jamais je n’aurais pus imaginer, seul lui pouvais provoquer cet effet chez moi, je le savais, et pourtant, j’ignorais, j’ignorais qu’un jour je ressentirais un tel bonheur de le voir, il était là, tel un revenant, il me souriait de toutes ses dents, malgré moi, des larmes défilèrent le long de mes joues, je ne pus me retenir, commençant ainsi à courir telle une dératée pour me jeter dans ses bras, caressant mes cheveux, il glissa à coté de mon oreille les trois mots que j’avais temps espéré entendre de sa part, sa voix se fit douce et réconfortante, je souris alors qu’il déposa un tendre baisé sur mes lèvres, je l’avais temps de fois attendu, cherché, puis un jour je l’ai retrouvé, comme ça, même s'il a tout oublié, il m’avais dit qu’il m’aimait, désormais on avait de nouveaux souvenirs, j'avais appris à le connaitre de nouveau, il avais quelque peut changer, mais je l'aimais toujours autant, sa mère était devenue en quelque sorte sa belle mère puisque maintenant à ses yeux c’était la mienne, oui tant de mensonges pour un tel bonheur, je me demande si j’ai bien fais mais je ne regrette absolument rien, il est heureux, et ça, ça me rend heureuse.

     

    Là-haut un petit garçon regardait la scène et alors que personne ne le voyait, il dit en souriant : « Je savais que tous se passerais bien pour toi, en se reverra bientôt, MAMAN »


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  • je suis vraiment méga extra désolé du temps que j'ai mis pour mettre le nouveau chapitre, mais le voilà enfin, bref, dite moi se que vous en pensez:

    chapitre 19: ma nouvelle vie commence

    chapitre 19

    je me réveille de mon lit en sursaut crient le nom de Sébastien, que c'est il passé?, ou je suis?, une femme devant moi me sourit et met sa main sur mon franc, sans doute une infirmière, après quelques paroles elle fini par repartir, didi dort à coté du lit, mais lui, celui que j'avais cherché n'étais pas la, Sébastien n'étais pas la, je souri à ma stupidité, pourquoi avais-je espérer le voir à mes cotés? je suis tellement bête, c'étais le seul que j'ai appelais, le seul à qui j'avais pensée dès mon réveille, je me mord la lèvre inférieur et ferme les yeux, sa ne change pas, je suis toujours aussi perdu, je ne sais pas se qui m'attend, j'ai l’impression que tous n'es qu’illusion, que le bonheur n’existe pas, ou du moins pas pour moi, parfois j'ai réellement pensée que j'étais au paradis, mais quelque minute plus tard je resombre dans ma folie, je ne suis qu'une menteuse, je ne sais même pas qui je suis, celle que je veux être, celle là je la connais, mais plus le temps passe, plus je m'enfonce j'ai l’impression de tomber dans un gouffre, que ma joie disparais peut à peut, bientôt je me retrouverais réellement seul, comment je ferais à se moment la?, sa me tourne tant dans la tête, pourquoi ai-je rencontré Arthur? pourquoi ai-je rencontré Sébastien?, pourquoi toutes ses émotions inconnus? depuis que je les ai vus, je ne sais plus se qui m'arrive,  je n'arrive plus à m’arrêter de pleuré, tous me semble si, pourquoi ils me donnent cette sensation à la foie de joie et de douleur, pourquoi es qu'ils me touchent tellement, je n'ai jamais ressentit sa, connus de telle personnes, j'ai l'impression qu'il me change, qu'il me dévoile, qu'il enlève mon masque, et sa me fais peur, j'ai peur d' hautes mon masque, j'ai peur d'être rejeté, et en même temps je veux qu'ils l'enlèvent, je veux me reconnaître comme celle que je veux être, une fille normal sympa qui peut réalisé se quelle veux, dans les origines ne déteinte pas sur l’aspect, courageuse, je veux réalisé mes souhaits, je veux être comme tous le monde, pourquoi suis-je née dans cette famille, tous sa je ne le comprend pas, vraiment pas, je ne comprend rien, je suis perdu dans se labyrinthe et je n'arrive pas à mon extraire seul .

    je me lève et enfile mes pantoufle, il est tard je ne pence pas qu'il y'à quelqu'un à cette heur si, je fini par sortir d ma chambre et me dirige vers le pond, de loin j'appersoi une silhouette, je ne sais comment mais je les tous de suite reconnus, mes gambes me portèrent toute seul jusqu'à lui, je ne sais même pas se que j'allais lui dire, je ne savais pas quoi dire, je voulais seulement lui parler, entendre le son de sa voie.

    point de vus Sébastien: 

     j'étais la, sur le pont, debout comme un idiot, pensent à Liliana sans pour au autan pouvoir allais la voir, c'est tellement bette, je ne peut même pas être à ses coté lorsqu’elle est malade.

    j'ai sentit mon cœur s’arrête en sentent  une main se posé sur mon épaule, je la reconnais sans même la voir, c'est elle Liliana, je voudrais la pendre dans mes bras, pouvoir sentir le parfum de ses cheveux, la senteur des prêt, le doux parfum des fleurs, je voudrais mais je me sens bloqué, je ne bouge plus un muscle, j'ai peur que tous ceci ne soie qu'un rêve, un rêve qui va bientôt s’arrêter, rien d'autre qu'un mirage, je reste debout à la fixé, elle aussi semble bloqué, je fixe ses pupille qui semble m'ensorcelais, je suis envoûté par son regard, je me sent transporté, ses joues rougissent légèrement et je voies une goutte de pluie se formé sur  son visage, et le parcoururent, sans criée garde elle se jette à mon coup, elle ne dit rien, engouffre simplement sa tête dans mon torse, je comprend qu'elle ne veux pas parler et pose délicatement ma tête sur la sienne, elle me captive  tellement, après quelque minute elle se détache de mes bras, et me fixe de ses yeux, elle semble allais mieux, elle me sourie malgré son visage qui me semble terrifié, pourquoi?, que se passe t'il?, je vais à coté d'elle et délicatement retire les larmes de sa joue, elle rougie encore plus, et moi comme un idiot je me mord la lèvre, elle es véritablement trop mignonne comme sa, je lui sourie doucement 

    "je suis désolé, je ne sais pas se qui m'à pris" dit-elle doucement en fixent ses pieds visiblement gênée

    "se n'es rien..... dit moi qu'e qui se passe? tu ne te sent pas bien n'es pas" lui rependis-je 

    elle avais l'air surprise, mais me sourie de plus belle en se penchent vair la embarde ou elle s’agrippa elle regarder le lointain paysage, ses cheveux volé au grès du vent, je la rejoignez pour entendre se qu'elle avais à me dire: "demain en accoste, tu sais j'y réfléchis tellement, je ne sais pas vraiment se qui m'attend là-bas, enfaîte...je suis.... terrifié,  es que je serais vraiment à la hauteur?, es que je pourrais garder mes pensées, es que je ne changerais pas??? quand je reviendrais à la maison, quand je remontrais sur un bateau! se jour la, sa ne sera sans doute plus comme avent, Arthur ne me reconnaîtra peut être plus , et cela je ne le serai que si je pourrais un jour le revoir....et toi Sébastien, on ne se reverra peut être jamais" elle se retourna vair moi alors que mes yeux étais exorbité,  elle avais peur aussi de ne plus me revoir: "je vais me retrouvé toute seul, tu sais toi, Arthur et mes cousins, vous êtes mes seuls véritables amis, je ne veut pas qu'en se quitte, pourquoi es que je vous es rencontré?"en disent sa ses larmes éclatèrent suivit de sanglots, elle pleuré pars-qu’elle ne voulais pas être seul, non, je ne la laisserais pas seul, Lili tu ne sera plus seul, je resterais près de toi, je te le promet, je m’approcha d'elle et la repris dans mes bras, ses sanglots diminuer et je lui dit doucement: "tu n'es pas seul, tu ne le serra jamais, et je te promet qu'en se reverra bientôt " après quelque minute elle s’arrêta de pleuré et de force je la raccompagna à sa cabine, elle devais se couché demain en allais accosté, et elle étais toujours malade.

    point de vus Liliana:

    après être revenus à ma cabine je suis tomber comme une souche, et à mon réveil l'agitation étais partout les marin se rué et l'un deux crié: "terre en vus" je me levée précipitamment enfila ma robe bleu océan et sortit de  la cabine pour voir apparaître devant moi le rivage, je me sentais bien, je ne sais pas pourquoi mais avoir parler avec Sébastien hier m'avais réconforté, je ferais de mon mieux, oui il faux que j'arrête d'y pensée, c'est sa je les reverrais tous se n'es qu'une question de temps, hier j'avais fais mes au revoir à mon ami, car je savais pertinemment que sa serais difficile de le trouver dans tous se brouhaha, il m'à promis de venir me voir partir et sa me fais plaisir.

    j'ai revus tous l'équipage avent de partir rejoindre le petit carrosse qui m'attendais, j'ai fais un au revoir de la main à l'équipage, Sébastien en réalité c'est lui que je fixé, il avais tenu sa promesse et es venus me voir, ma nouvelle vie va commençais, mon moyen de transport ne pris aucun détour, et m’emmena immédiatement vers le pensionna, un grand bâtiment qui ressemblé véritablement à un château, je m' attendais après tous c'es ici que tous les grand diplomates envoie leur enfants, pour que leurs éducation soi parfaite à leur yeux et qu'il pourront irrité plus tard de leur poste, ici notre avenir est tracé, mais je vais tous faire pour le modifié, bonjour ma nouvelle vie

    chapitre 19

    (le bâtiment derrière est le pensionnat)


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  • Chapitre 20:  découverte, je ne savais pas que c'étais comme sa!

     

    j'étais arrivé, bagage en main, je m'apprêtais à découvrir ma nouvelle vie, je m’avançais, en me dissent que tous irais bien, que ma vie allais recommencer, que j'avais la chance de tous changés, dissent adieux au passé, plus la peine de se lamenter, ma vie sera telle que je le voudrais, après tous, c'est la mienne, liberté me voilà, château adieux, adieu à mon ancien moi, à mes faiblesse, je vais changer, et comme je le voudrais, bonjour mon avenir.

    j'ouvre la porte qui me mènera à ma liberté, ou plutôt en me la ouvert, à se que je voie, il y'à même un portier, cette pension à tous d'un château, je croit que j'avais parlé trop tôt en lui dissent adieu,  j'avance, je marche, il n'y à personne, pas une mouche, se ne me dérange pas, je me sent bien seul, et je ne voulais pas vraiment me faire remarquer, mais le résultat, c'est que je n'ai aucune idée d'ou je suis censé allais, chez la directrice je présume, mais ou peu bien se trouvé son bureau, cette école si vous voulez mon avis est bien trop grande, je décide donc de trimbalais un peut, par ci par la, je finirais bien par trouvé, mais voilà le boue de ma route ma menais à se qui semble être les dortoirs, je me tourne m'apprêtent à revenir sur mes pas, mais d'un coup en me percute je voie une tonne de drap blanc me tomber dessus et une fille qui s'affale par terre, je la regarde, elle se lève en un éclaire, ramasse tous les draps, et s'excuse en moins un milliard de foie, en me dissent qu'elle ne le referais plus, cette réaction m'a fais rire, j'attrape sa main, elle semble surprise, mais m'aide à me relevé, je lui sourie " tu n'à pas à t’excusais c'est de ma faute, je ne regardais pas ou j'allais et pour tous te dire j'étais un peut perdu, tu pourrais m'aider à trouvé le bureau de la directrice" lui dis-je

    durent quelque minute elle semblais réfléchir et puis elle se détendu d'un coup même si je sais pas trop pourquoi, elle m'attrapa la main et toute joyeuse m’emmena au travers tous le pensionnat pour enfin arrivé devant la porte ou étais écrit "directrice", en a parlais durant le trajet, c'étais plaisent, et j'étais au ange, elle frappa à la porte et je rentrais en sa compagnie, lorsqu'elle fini par prendre la parole avent que je n'en eu le temps 

    "mademoiselle la directrice la nouvelle employée viens d'arriver" j'écarquilla les yeux à sa phrase, et je commença à parler: "eh, enfaîte je ne suis pas vraiment...."  , je n'eu le temps de terminer se que j'avais à dire, que la directrice se tourna me dévisagea et devenus à se qui me semble rouge de colère: "comment osez vous parler de la princesse Liliana ainsi?, insolente, vous mériter une punition" elle s’approcha d'elle à grand pas, et je m’interposa avant qu'elle ne fasse un geste de plus en dissent: "c'est de ma faute, je ne lui es pas vraiment dit qui j'étais, c'est normale qu'elle me confonde, en plus, j'étais perdu et elle m'a aider, si elle n'étais pas la, j'aurais tournés sans fin, ne la punissais pas, s'il vous plait" j'avais déballer sa à toute vitesse, se qui me valu un souffle à la fin , elle me regarda quelque minute avent de soupirais en lancent un "bon" pas vraiment convaincu, durent toute cette échange, Eli m'avais regardais avec des yeux exorbité , rond, je comprend à présent pourquoi elle me parler aussi facilement, la directrice lui demande de sortir, elle s’excuse encore une foie et s’exécute.

    la directrice m'a fais un discourt assez endorment mais aussi effrayent, comme quoi il y'à pire que ma mère, à se que j'ai compris, mon résumé est celui ci: 

    1: cette endroit va être celui ou tous les pensionnaires vent apprendre à devenir  les jeunes gens du monde, se qui signifie pour moi: je vais devoir lutté de toute mes force pour ne pas devenir une folle comme tous se d'ici

    2: nos court commence chaque jour à 8 heur du matin et si nous somme en retard nous échoppent d'une heur supplémentaire le soir dans la qu'elle nous apprendrons les basses des bonne manière, ma signification: adieu ma grasse matinée, c'est soi sa, soi je me gobe, une heur de supplice dans j'ai déjà subie assez à la maison

     3: nous devant apprendre par cœur un règlement de 500 page, si non gare au représailles: franchement elle pence réellement que je vais me farcir sa, bon je vais utilisé le bon vieux dicton: "on apprend au file de nos erreurs cool"

    elle m'à ensuite raccompagnée vers les dortoirs, pour me désigné ma chambre personnelle, et m'y à laissais en me dissent que je devrais assisté au court des demains , j'ai donc déballais toute mes affères, sur mon lit étais déposé mon uniforme la carte magnétique qui me permet d'accéder à tous, ainsi que mon emploie du tempas, il étais 5 heur, je me suis allongé pour me reposé un peut en attendant le soir.

    je suis sortit au environ de sept heur direction la cafetaria, cette foie les couloirs était plain d'étudiant, je me suis fendu dans la masse et .....

    voilà suspeince que va-t-il se passé cela vous le serais pas la suite, à plus, laissez moi vos avie


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