• chapitre 18

    chapitre 18: maladie et solitude

    mon seul sauveur dans cette obscurité

    chapitre 18

       Avent dernier jour, demain j’accoste, demain plus rien ne sera comme avent mon cœur se resserre, j’ai mal, tellement mal, mais j’ai fais un pacte à moi même, je changerais, je ne doit pas criée, je ne doit pas pleuré, moi, Liliana n’aimerais plus jamais, malgré ses mots sont absence me blaise tellement, hier j’ai fais un rêve, un cauchemar, ou je ne sais comment l’appelais, je lui disais adieux, je pouvais enfin parlé à Arthur, je lui es tout dit…. à propos de moi, à propos de mon avenir…de se qu’il me réservé…je les regardé droit dans les yeux et lui ai dit une phrase qui reste gravé en ma mémoire, que je eu tellement de mal à faire sortir de ma gorge, en baigéllon je lui ai dit que je l’aimé, qui j’étais, et aussi se que je voulais faire, pour finir par le simple mot qui ma décroché le cœur, le simple mot qui à réussi à enlevé le sourire et le sentiment qu’il étais seul à pouvoir m’offrir : « adieux Arthur ».

       Je me lève comme tous les matins, je ne me sent pas vraiment très bien, mais sa passe, au tour de moi, cette cabine vide, tellement grande mais tellement vide, Didi est le seul à coté, il es le seul présent, le seul à me regardé et à sourire…. depuis que je suis petite, il es le seul qui ne ma jamais quitté, et qui ma à jamais soutenus dans tous se que j’ai fais, je le prend et le sert contre moi, j’apaise mon cœur en sa compagnie, je voie le soleil traversé le voile de ma chambre, m’habille et sort de la cabine en temps que princesse, je ne veux pas me caché, j’en es assez de tous sa, de devoir à chaque foie enfilé mon masque, après tous je n’en voie aucun intérêt ici, je marche sur le pont sans aucun sourire, sans prêter attention à se qui m’entour, je marche et je me rappellent de tous et de rien, la phrase que j’ai dite dans mon rêve me tenaille l’esprit, elle n’arrête de se répété, Arthur n’ai pas la, Sébastien ne viendra sans doute pas si je suis ainsi habillé, et je ne même pas intérêt à la seul personne dans je ne me séparerais jamais, mon petit Didi à beaux aboyé je ne le regarde même pas, pardonne moi, pardonne moi, toi qui es toujours à mes coté, pardonne celle que je suis…. La réalité je suis déçu, par ma propre faiblesse, je suis déçu par le faite que je n’arrive même pas à arrêté d’y pensé, je pense forte mais je ne le suis pas, y arriverai-je réellement ???, quelqu’un comme moi peut il réellement changé quelque chose, au fend j’aimerais que se bateau ne s’arrête jamais, qu’il m’emmène vers le boue du monde, sans retour, je suis rien d’autre qu’une pleurnicharde et une raté.

       J’entend quelqu’un répété mon nom, qui aise, qui m’appellent, avec une grande difficulté je réussit à ouvrir les yeux, Sébastien que fait il ici, se n’étais qu’un rêve, j’étais bien sur le pont, ma tête tourne, j’ai male, et je n’arrive même pas à ouvrir totalement mes yeux, doucement je regarde au tour de moi, je voie le capitaine il semble hurler mais je n’entend rien, une femme est devant lui, l’autre est devant moi, de l’agitation remplis ma chambre, des gens ici et là, mais je n’ai plus la force d’ouvrir les yeux et je fini par me rendormir sans prononçais un mot , j’ai mal, tellement mal.

    Point de vue Sébastien :

    Je marché sur le pont, j’ai fini le travaille pour aujourd’hui, j’ai bien fais de prendre l’heur de nuit, il es six heur et demi, il semble que presque tous le bateau soi encor endormis je m’avançais, qu’en soudain je remarque Liliana, elle porte ses vêtements de princesse, je ne peut pas l’approché, c’est étrange elle ne semble pas être dans son état habituelle, son chien aboie mais elle ne repend pas, bon vus qu’il n’ya personne, je n’ai qu’à allais la voir, bizarre, elle ne bouge pas d’un pousse, soudain j’écarquille les yeux, et fonce sur cette dernière, elle es allongé à terre, je suis complètement paralysé par la peur, je répète son nom, alors qu’elle es entre mes bras, complètement inconsciente, brulante de fièvre, n’y à t’il personne sur se bateau, je court et hurle à l’aide, la première personne qui m’à vus à pris panique portent sa main à sa bouche : « emmenez la dans sa chambre, j’appellent le capitaine », j’exécute aussi vite que possible l’ordre donnée par mon supérieur et l’allonge sur son lit et reste à son cheveux, Didi semble aussi paniqué que moi, en reste tous les deux à sont chevé. cinq minutes plus tard, le capitaine est là, je voie des dizaines de personne le suivre, affolé, presque tous l’équipage se rué dans la chambre alors que le boss hurlé pour savoir se qui se passé, à cette instant j’ai réellement réalisé avec qui je me trouvé, la princesse Liliana, elle à beau être comme toutes les filles, elles à beau sourire constamment, elle à beau ne jamais se plaindre, pleuré en silence, elle à sans aucun doute des milliers de responsabilité sur les épaules tous comme une certaine personne, je doit faire de mon mieux pour l’aidé, elle es celle qui ma ouvert les yeux, elle Lili, non, Liliana, ouvre les yeux, j’ai peur, j’ai peur de se qui se passe. 

    Point de vus Liliana :

     

        Il fais noir, sombre, je ne voie aucune lumière, je suis seul, complètement seul, je doit appelais quelqu'un, mais qui ?, je ne sais pas, j’ai toujours étais seul, tous le monde fini par partir tôt ou tard, il n’y à personne qui reste, je ferme les yeux dans se néant et me plonge dans mes pensé, oui après tous, mon père est partit, ma mère pence comme tous le monde et ne voie que les positions social, tous les personne que je côtois semble gentil mais personne ne les réellement, ou tous simplement il me parle comme la société les à programmé, ou encore on se détournent de mes yeux et regardent ma couronne, ne voient rien de moi, je suis jugé à chaque instant, je doit levé la tête à chaque instant, sourire à chaque instant, je suis condamné à ne pas être comme vous, à être aimée pour se que je ne suis pas, on réalité je ne suis pas comme elles, pas comme toutes ses aristocrates qui n’en aucune personnalité, je ne suis pas faite pour plaire à tous le monde, je suis moi un point c’est tous, comme je suis née, telle que je suis resté, j’ai mes rêves, mes ambitions, mon petit caractère, je ne sais pas comment plaire à tous le monde, et je n’aimerais en aucun ka que se soit le ka, sinon sa signifier qu’en se moque de moi, ca, sa n’existe que dans les comptes de fée et moi je suis dans la vie réelle, se n’es pas facile tous les jours, mais c’est ma vie, on me méprise pour mon titre, on me ment on disent m’aimé alors qu’en viens juste de me voir, on se moque de moi en me dissent de porté un masque que malgré moi j’enfile à chaque instant et le plus grave c’est que j’y es pris l’habitude, de se masque de fer, il me fais male, mais c’est aussi ma carapace, je peut m’y réfugié, j’aimerais bien l’enlevé mais on m’à élevé comme sa, avec se masque, et on me remémorent bien, à chaque moment ou j’ai voulu le retiré je me suis retrouvé vulnérable, j’ai étais séparé des seuls amis que j’avais, et c’est sans doute pour sa que je me retrouve ainsi, dans cette endroit, vide et lugubre, avec personne à appelais, personne à cherché, personne qui peut me trouvé ou me sauvé, je n’ai pas d’ami, c’est pour sa que j’en suis arrivé la.

       J’entends à nouveau des voies, c’est qui ?, elle me dise quelque chose mais je ne sais pas qui c’est ??, pourquoi je n’arrive pas à me souvenir, une phrase reviens alors à mon esprits et me fis ouvrir les yeux, je répète doucement se que mon subconscient me rappelais, on tremble de toute part « pleur au temps que tu veux, je suis la près de toi » c’est, c’est Sébastien…. Sébastien c’est…. toi qui m’appelles, Sébastien c’est toi… comment à tu fais pour arrivé la….. Sébastien c’est toi, pourquoi es tu là…..SEBASTIEN.

    Point de vus Sébastien :

       Sa fessais déjà quelque minute que j’étais la, assied devant elle, peut à peut tous le monde étais partit, il ne resté plus que moi accompagné du capitaine, une infirmière et Liliana toujours allongé dans son lit, elle n’avait pas ouvert les yeux même avec tous le grabuge qu’en fessais, le responsable de tous se qui se passe dans se bateau me regardais, puis il se décida enfin à m’adressé la parole : « toi tu fais bien partit de mon équipage, quelle est ton nom ? »

    « Moi, je m’appellent Sébastien »

    « Et bien Sébastien, je te doit une fière chandelle, merci pour avoir aidée la princesse Liliana…mais tu ne peut pas resté ici, maintenant tu doit partir »

    « Mais.... »

    « Non, désolé, mais tu ne peut pas resté ainsi, ne t'en fais pas nous allons nous occupé d’elle, mais tu ne la connaisse pas, tu n’à aucun liens de parenté à elle, et vous êtes tous deux de familles bien différente, je suis désolé mais je doit te demandé de la laissé »

    « Oui monsieur »

       Qu’es que j’allais faire ?, je partis on direction de ma chambre, j’avais failli trahir son secret, et on plus nous mettre dans une galère pas possible, non là, je suis vraiment cinglé mais franchement à quoi es que je pense.       

       Cela fessais six heur que j’étais allongé dans mon lit, j’avais pris cette journée spécialement pour resté avec elle, demain en accoste, elle est tombé malade, c’étais pas vraiment le moment, j’ai beau e retourné dans tous les sens je n’arrive pas à arrêté d’y pensé, Liliana, j’espère que tu iras mieux demain.

       La nuit fini par arrivé, j’avais passé ma journée enfermé à pensé au rétablissement de Liliana, sans pour au temps réussir à allais la voir, je fini par sortir incapable de me résigné à dormir, je suis partit sur le quai à regardé l’horizon, qu’en soudain…..


  • Commentaires

    1
    Vendredi 21 Février 2014 à 18:42

    mes heu je deteste le suspence tes mechanteuuuuuuuuuuuuuuuu

    2
    Vendredi 21 Février 2014 à 19:29

    hhhhhhh, je sais je sais, mais tu sais se chapitre je l'avais imaginé bien bien plus loin et tu va rire, mais je ne sais pas du tous se qui va se passé, ou enfaite si un peut, le probleme c'est que j'ai 3 idées, et chacune d'elle va donné une nouvelle suite à l'histoir alors il faux que je fasse le bon choix

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    3
    Vendredi 21 Février 2014 à 19:54

    je suis sur que tu va y arriver

    4
    Lundi 24 Février 2014 à 23:24

    Sébastien! Ca va aller! Elle va se réveiller tout va bien! Génial, fantastique, toujours aussi bien décris, je sais pas comment tu fais! Vraiment tu devrais écrire un roman! Et je serais la première à l'acheter! Et je te ferais de la pub!

    5
    Lundi 24 Février 2014 à 23:30

    merci c'est gentille^^

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