• je suis vraiment méga extra désolé du temps que j'ai mis pour mettre le nouveau chapitre, mais le voilà enfin, bref, dite moi se que vous en pensez:

    chapitre 19: ma nouvelle vie commence

    chapitre 19

    je me réveille de mon lit en sursaut crient le nom de Sébastien, que c'est il passé?, ou je suis?, une femme devant moi me sourit et met sa main sur mon franc, sans doute une infirmière, après quelques paroles elle fini par repartir, didi dort à coté du lit, mais lui, celui que j'avais cherché n'étais pas la, Sébastien n'étais pas la, je souri à ma stupidité, pourquoi avais-je espérer le voir à mes cotés? je suis tellement bête, c'étais le seul que j'ai appelais, le seul à qui j'avais pensée dès mon réveille, je me mord la lèvre inférieur et ferme les yeux, sa ne change pas, je suis toujours aussi perdu, je ne sais pas se qui m'attend, j'ai l’impression que tous n'es qu’illusion, que le bonheur n’existe pas, ou du moins pas pour moi, parfois j'ai réellement pensée que j'étais au paradis, mais quelque minute plus tard je resombre dans ma folie, je ne suis qu'une menteuse, je ne sais même pas qui je suis, celle que je veux être, celle là je la connais, mais plus le temps passe, plus je m'enfonce j'ai l’impression de tomber dans un gouffre, que ma joie disparais peut à peut, bientôt je me retrouverais réellement seul, comment je ferais à se moment la?, sa me tourne tant dans la tête, pourquoi ai-je rencontré Arthur? pourquoi ai-je rencontré Sébastien?, pourquoi toutes ses émotions inconnus? depuis que je les ai vus, je ne sais plus se qui m'arrive,  je n'arrive plus à m’arrêter de pleuré, tous me semble si, pourquoi ils me donnent cette sensation à la foie de joie et de douleur, pourquoi es qu'ils me touchent tellement, je n'ai jamais ressentit sa, connus de telle personnes, j'ai l'impression qu'il me change, qu'il me dévoile, qu'il enlève mon masque, et sa me fais peur, j'ai peur d' hautes mon masque, j'ai peur d'être rejeté, et en même temps je veux qu'ils l'enlèvent, je veux me reconnaître comme celle que je veux être, une fille normal sympa qui peut réalisé se quelle veux, dans les origines ne déteinte pas sur l’aspect, courageuse, je veux réalisé mes souhaits, je veux être comme tous le monde, pourquoi suis-je née dans cette famille, tous sa je ne le comprend pas, vraiment pas, je ne comprend rien, je suis perdu dans se labyrinthe et je n'arrive pas à mon extraire seul .

    je me lève et enfile mes pantoufle, il est tard je ne pence pas qu'il y'à quelqu'un à cette heur si, je fini par sortir d ma chambre et me dirige vers le pond, de loin j'appersoi une silhouette, je ne sais comment mais je les tous de suite reconnus, mes gambes me portèrent toute seul jusqu'à lui, je ne sais même pas se que j'allais lui dire, je ne savais pas quoi dire, je voulais seulement lui parler, entendre le son de sa voie.

    point de vus Sébastien: 

     j'étais la, sur le pont, debout comme un idiot, pensent à Liliana sans pour au autan pouvoir allais la voir, c'est tellement bette, je ne peut même pas être à ses coté lorsqu’elle est malade.

    j'ai sentit mon cœur s’arrête en sentent  une main se posé sur mon épaule, je la reconnais sans même la voir, c'est elle Liliana, je voudrais la pendre dans mes bras, pouvoir sentir le parfum de ses cheveux, la senteur des prêt, le doux parfum des fleurs, je voudrais mais je me sens bloqué, je ne bouge plus un muscle, j'ai peur que tous ceci ne soie qu'un rêve, un rêve qui va bientôt s’arrêter, rien d'autre qu'un mirage, je reste debout à la fixé, elle aussi semble bloqué, je fixe ses pupille qui semble m'ensorcelais, je suis envoûté par son regard, je me sent transporté, ses joues rougissent légèrement et je voies une goutte de pluie se formé sur  son visage, et le parcoururent, sans criée garde elle se jette à mon coup, elle ne dit rien, engouffre simplement sa tête dans mon torse, je comprend qu'elle ne veux pas parler et pose délicatement ma tête sur la sienne, elle me captive  tellement, après quelque minute elle se détache de mes bras, et me fixe de ses yeux, elle semble allais mieux, elle me sourie malgré son visage qui me semble terrifié, pourquoi?, que se passe t'il?, je vais à coté d'elle et délicatement retire les larmes de sa joue, elle rougie encore plus, et moi comme un idiot je me mord la lèvre, elle es véritablement trop mignonne comme sa, je lui sourie doucement 

    "je suis désolé, je ne sais pas se qui m'à pris" dit-elle doucement en fixent ses pieds visiblement gênée

    "se n'es rien..... dit moi qu'e qui se passe? tu ne te sent pas bien n'es pas" lui rependis-je 

    elle avais l'air surprise, mais me sourie de plus belle en se penchent vair la embarde ou elle s’agrippa elle regarder le lointain paysage, ses cheveux volé au grès du vent, je la rejoignez pour entendre se qu'elle avais à me dire: "demain en accoste, tu sais j'y réfléchis tellement, je ne sais pas vraiment se qui m'attend là-bas, enfaîte...je suis.... terrifié,  es que je serais vraiment à la hauteur?, es que je pourrais garder mes pensées, es que je ne changerais pas??? quand je reviendrais à la maison, quand je remontrais sur un bateau! se jour la, sa ne sera sans doute plus comme avent, Arthur ne me reconnaîtra peut être plus , et cela je ne le serai que si je pourrais un jour le revoir....et toi Sébastien, on ne se reverra peut être jamais" elle se retourna vair moi alors que mes yeux étais exorbité,  elle avais peur aussi de ne plus me revoir: "je vais me retrouvé toute seul, tu sais toi, Arthur et mes cousins, vous êtes mes seuls véritables amis, je ne veut pas qu'en se quitte, pourquoi es que je vous es rencontré?"en disent sa ses larmes éclatèrent suivit de sanglots, elle pleuré pars-qu’elle ne voulais pas être seul, non, je ne la laisserais pas seul, Lili tu ne sera plus seul, je resterais près de toi, je te le promet, je m’approcha d'elle et la repris dans mes bras, ses sanglots diminuer et je lui dit doucement: "tu n'es pas seul, tu ne le serra jamais, et je te promet qu'en se reverra bientôt " après quelque minute elle s’arrêta de pleuré et de force je la raccompagna à sa cabine, elle devais se couché demain en allais accosté, et elle étais toujours malade.

    point de vus Liliana:

    après être revenus à ma cabine je suis tomber comme une souche, et à mon réveil l'agitation étais partout les marin se rué et l'un deux crié: "terre en vus" je me levée précipitamment enfila ma robe bleu océan et sortit de  la cabine pour voir apparaître devant moi le rivage, je me sentais bien, je ne sais pas pourquoi mais avoir parler avec Sébastien hier m'avais réconforté, je ferais de mon mieux, oui il faux que j'arrête d'y pensée, c'est sa je les reverrais tous se n'es qu'une question de temps, hier j'avais fais mes au revoir à mon ami, car je savais pertinemment que sa serais difficile de le trouver dans tous se brouhaha, il m'à promis de venir me voir partir et sa me fais plaisir.

    j'ai revus tous l'équipage avent de partir rejoindre le petit carrosse qui m'attendais, j'ai fais un au revoir de la main à l'équipage, Sébastien en réalité c'est lui que je fixé, il avais tenu sa promesse et es venus me voir, ma nouvelle vie va commençais, mon moyen de transport ne pris aucun détour, et m’emmena immédiatement vers le pensionna, un grand bâtiment qui ressemblé véritablement à un château, je m' attendais après tous c'es ici que tous les grand diplomates envoie leur enfants, pour que leurs éducation soi parfaite à leur yeux et qu'il pourront irrité plus tard de leur poste, ici notre avenir est tracé, mais je vais tous faire pour le modifié, bonjour ma nouvelle vie

    chapitre 19

    (le bâtiment derrière est le pensionnat)


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  • Chapitre 20:  découverte, je ne savais pas que c'étais comme sa!

     

    j'étais arrivé, bagage en main, je m'apprêtais à découvrir ma nouvelle vie, je m’avançais, en me dissent que tous irais bien, que ma vie allais recommencer, que j'avais la chance de tous changés, dissent adieux au passé, plus la peine de se lamenter, ma vie sera telle que je le voudrais, après tous, c'est la mienne, liberté me voilà, château adieux, adieu à mon ancien moi, à mes faiblesse, je vais changer, et comme je le voudrais, bonjour mon avenir.

    j'ouvre la porte qui me mènera à ma liberté, ou plutôt en me la ouvert, à se que je voie, il y'à même un portier, cette pension à tous d'un château, je croit que j'avais parlé trop tôt en lui dissent adieu,  j'avance, je marche, il n'y à personne, pas une mouche, se ne me dérange pas, je me sent bien seul, et je ne voulais pas vraiment me faire remarquer, mais le résultat, c'est que je n'ai aucune idée d'ou je suis censé allais, chez la directrice je présume, mais ou peu bien se trouvé son bureau, cette école si vous voulez mon avis est bien trop grande, je décide donc de trimbalais un peut, par ci par la, je finirais bien par trouvé, mais voilà le boue de ma route ma menais à se qui semble être les dortoirs, je me tourne m'apprêtent à revenir sur mes pas, mais d'un coup en me percute je voie une tonne de drap blanc me tomber dessus et une fille qui s'affale par terre, je la regarde, elle se lève en un éclaire, ramasse tous les draps, et s'excuse en moins un milliard de foie, en me dissent qu'elle ne le referais plus, cette réaction m'a fais rire, j'attrape sa main, elle semble surprise, mais m'aide à me relevé, je lui sourie " tu n'à pas à t’excusais c'est de ma faute, je ne regardais pas ou j'allais et pour tous te dire j'étais un peut perdu, tu pourrais m'aider à trouvé le bureau de la directrice" lui dis-je

    durent quelque minute elle semblais réfléchir et puis elle se détendu d'un coup même si je sais pas trop pourquoi, elle m'attrapa la main et toute joyeuse m’emmena au travers tous le pensionnat pour enfin arrivé devant la porte ou étais écrit "directrice", en a parlais durant le trajet, c'étais plaisent, et j'étais au ange, elle frappa à la porte et je rentrais en sa compagnie, lorsqu'elle fini par prendre la parole avent que je n'en eu le temps 

    "mademoiselle la directrice la nouvelle employée viens d'arriver" j'écarquilla les yeux à sa phrase, et je commença à parler: "eh, enfaîte je ne suis pas vraiment...."  , je n'eu le temps de terminer se que j'avais à dire, que la directrice se tourna me dévisagea et devenus à se qui me semble rouge de colère: "comment osez vous parler de la princesse Liliana ainsi?, insolente, vous mériter une punition" elle s’approcha d'elle à grand pas, et je m’interposa avant qu'elle ne fasse un geste de plus en dissent: "c'est de ma faute, je ne lui es pas vraiment dit qui j'étais, c'est normale qu'elle me confonde, en plus, j'étais perdu et elle m'a aider, si elle n'étais pas la, j'aurais tournés sans fin, ne la punissais pas, s'il vous plait" j'avais déballer sa à toute vitesse, se qui me valu un souffle à la fin , elle me regarda quelque minute avent de soupirais en lancent un "bon" pas vraiment convaincu, durent toute cette échange, Eli m'avais regardais avec des yeux exorbité , rond, je comprend à présent pourquoi elle me parler aussi facilement, la directrice lui demande de sortir, elle s’excuse encore une foie et s’exécute.

    la directrice m'a fais un discourt assez endorment mais aussi effrayent, comme quoi il y'à pire que ma mère, à se que j'ai compris, mon résumé est celui ci: 

    1: cette endroit va être celui ou tous les pensionnaires vent apprendre à devenir  les jeunes gens du monde, se qui signifie pour moi: je vais devoir lutté de toute mes force pour ne pas devenir une folle comme tous se d'ici

    2: nos court commence chaque jour à 8 heur du matin et si nous somme en retard nous échoppent d'une heur supplémentaire le soir dans la qu'elle nous apprendrons les basses des bonne manière, ma signification: adieu ma grasse matinée, c'est soi sa, soi je me gobe, une heur de supplice dans j'ai déjà subie assez à la maison

     3: nous devant apprendre par cœur un règlement de 500 page, si non gare au représailles: franchement elle pence réellement que je vais me farcir sa, bon je vais utilisé le bon vieux dicton: "on apprend au file de nos erreurs cool"

    elle m'à ensuite raccompagnée vers les dortoirs, pour me désigné ma chambre personnelle, et m'y à laissais en me dissent que je devrais assisté au court des demains , j'ai donc déballais toute mes affères, sur mon lit étais déposé mon uniforme la carte magnétique qui me permet d'accéder à tous, ainsi que mon emploie du tempas, il étais 5 heur, je me suis allongé pour me reposé un peut en attendant le soir.

    je suis sortit au environ de sept heur direction la cafetaria, cette foie les couloirs était plain d'étudiant, je me suis fendu dans la masse et .....

    voilà suspeince que va-t-il se passé cela vous le serais pas la suite, à plus, laissez moi vos avie


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