• Tout d’abor vraiment je suis très très très désolé pour le temps que j’ai mis avent de posté se chap mais c’est pas vraiment ma faute (conscience : ah oui, non, arrête de mentir la vérité c’est que t’avais la flemme) oui c’est un peut pour sa aussi ^^ ‘’ mais pour me faire pardonnée voici mon nouveau chap et je tiens à dire que la fic précédente va être entièrement supprimé désolé mais je n’aime pas trop mais pour me faire pardonné à la place je mets une nouvelle, passé la voir si vous voulez j’ai déjà posté le chap 1, aller à toute :


    Chapitre 17 :


    Mon cœur à cessai de battre pendant quelque instant, je me suis sentit soulagé, libéré d’un poids, dans les bras de Sébastien, je m’étais laissé aller, mes larmes se défoulaient , je ne sais combien de temps j’ai pleuré, mais se qui est certain c’est que son chemisier étais complètement imbibé de mes larmes, je me sente en toutes sécurité, la fatigue me submergé petit à petit, je n’avais pas la force de résisté, mes paupières clauses, blottit contre son torse je fini par me laissé entrainé par mon sommeille dans le royaume de mes rêve en Compagni d’Arthur.
    Point de vue Sébastien :
    Elle c’étais endormis, je ne peux dire combien de temps elle à pleuré, et tous ceci à cause d’une seul personne, mon cœur me fessais de plus en plus mal à chaque foie que j’y repensé,  Arthur, qui peut il bien être, à quoi ressemble-t-il, rêve t’elle en se moment de le retrouvé ?, es telle amoureuse de lui ?, non, réveille toi Liliana, il n’es plus la, c’est moi qui suis ici, près de toi,  je ne te quitterais jamais alors réveille toi, Liliana……je déposa un baisé volé sur sa joue, lui murmura un je t’aime qu’elle ne pus entendre et sortit par la fenêtre comme à on entré, ma décision est prise et irrémédiable.
    Fin du point de vue de Sébastien


    Je me suis levée au horore, qu’es qui m’es arrivé hier, j’ai du male à m’en souvenir, la mémoire reviens petit à petit et je rougie violement, pourquoi je ne me suis pas retenu ??, comment sa se fais que Sébastien es cette effet la sur moi ?, qu’en il es prêt de moi, je me sens bien, je me laisse allais, je n’arrive plus à me retenir, je ne comprend pas.
     pour une foie je me suis levée avent mon petit Didi, je le regarde, et puis non, laissons le dormir, peut après je décide de sortir, vus que tous le monde dors pas besoin de déguisement, j’enfile ma robe, et ni une ni deux part sur le pont, le vent est frais et fais virevolté mes cheveux je ferme les yeux et me laisse bercé par le bruit des vagues, c’est tellement relaxent, je repense à Arthur , que fait il ?, à quoi pense-il ?, m’aurait il oublié ?, au fend je sais parfaitement que peut être je ne pourrais plus jamais lui parler, en es ami, et se que je lui avais dit ressemblé plus à un adieu caché qu’à un au revoir, pourquoi n’ai je pas pus le regardé droit dans les yeux et lui dire qui j’étais, pourquoi le destin nous à t’il réuni pour ensuite nous séparé, je sais que je l’aimais, je sais que je l’aime, mais je ne sais qu’en je pourrais le revoir, c’est injuste, pourquoi ?, c’étais pourtant  ma décision , je savais, mais pourtant j’ignoré, j’ignoré à quelle point sa allais me faire mal, j’ai sentit mon cœur battre, je l’ai sentit s’arrêter, se serré, se brisé, pourquoi tous ses sentiments, je n’arrive plus à le supporté, je me rappelle parfaitement notre première rencontre comment j’ai pus te revoir, comment tu ma aidée, ma sauvé, pourquoi il à fallut qu’en soie séparé, doit je réellement te dire adieux, je ne sais plus, je veux te revoir, je suis peut être égoïste, mais tous se que je veux c’est pouvoir te revoir, viens, je t’attendrais, viens, si je pouvais te revoir désormais je te révélerais tous, et tempi si en se revoie plus, si tu ne me traite plus comme avent, en moins je t’aurais dit se que je ressente, je t’aime, mais en ne peut être qu’ami, peut être même que d’ici deux ans tu m’aura oublié, tu aura rencontré plain de personne, tu serra partit de la ville, qui sais se qui peut se passé, j’ai male, mon cœur se serre, comment sa peut se finir comme sa, je doit me reprendre, je le sais mais je n’y arrive pas, sans le savoir je sens des larmes coulée le long de mes joues, je doit oublié c’est ainsi, mais, je sens l’éco de mes sentiments retentir, dois-je être une simple ami pour toi, j’ai tellement peur du future, Arthur, pourquoi n’es tu pas la, pourquoi ?, Arthur, sèche mes larmes, tu es le seul qui puise le faire, viens me voir, mon rêve est insolite mais je t’en supplie reviens me voir, ne me laisse pas, ne m’en veut pas, reste à mes coté, je ne sais plus quoi pensé, Arthur dès que j’accosterais, aucune marche arrière ne sera possible, si tu me retiens maintenant, je ne sais si j’aurais la force de te quitté une nouvelle foie, pourquoi ?, pourquoi je doute ainsi qu’en je pence à toi ?, tu me donne la force, mais tu intensifie mes doute et ma douleur, je voudrais remonté le temps, revenir en arrière, et pouvoir changé, j’aimerais devenir plus forte si en me donné trois vœux je les ai déjà en tête, je voudrais changé se code civile qui envenime notre paie, changer la relation entre les aristocrates et les villageois, comme sa plus personne ne soufrerais, je voudrais devenir plus forte et ne pas avoir à douté, et pour mon dernier vœux, je te ferais venir ici, Arthur, et on partira ensemble, j’aurais accomplis se que je voulais, et on pourrais resté ensemble, malheureusement, les rêves sent loin de se réalisé, je suis se que je suis, et je doit renoncé, je doit me séparé de toi pour ton bien, je ne doit être rien d’autre qu’une amis, je doit renoncé à l’être au quelle je tiens le plus, je ne doit plus tomber amoureuse, si je veux que tous se passe bien, je doit dire le mot que je déteste et ne veux pas prononcé, pour ton bien, pour mon bien, pour que tous puisse être heureux, pour réalisé ma mission, car je ne pourrais me concentré sur elle temps que je suis avec toi, adieux mon amour, la prochaine foie que je te verrai, si tu ne m’aura pas oublié, je te dirais tous, mais mes sentiments je les ensevelirai, plus jamais je ne ressentirai se sentiment qui m’à fais temps de male, plus jamais je ne ressentirai cette douleur qui martyrise mon cœur, adieux mon amour, ceci sera la dernière foie que je pleurerais.
    J’ai fini par retourné dans ma chambre, j’y es passé la journée, je n’ai pas revus Sébastien, et c’étais bien ainsi, j’avais tellement hante, tellement hante, pourquoi je n’arrive pas à me retenir près de lui, je ne comprend pas , c’est décidé des demain je m’excuse, dans deux jour en accoste, chère Sébastien, toi aussi tu va disparaitre de ma vie aussi vite que tu y es entré.


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  • chapitre 1:  ma rentré retardé :P

    chapitre 1: ma rentrée retardé :P

    le soleil brille, une belle journée s’annonce, mon réveille commence son tintamarre habituel, je prend ma tête d’oreiller et la mets sur mon visage, c’est aujourd’hui, je n’ai vraiment pas la tête à sa, ses dernières semaines on étais comment dire, surchargé, épuisante, carrément invivable.
    Après quelque minutes je fini par me levée, j’enfile un pantalon noir ainsi qu’un t-shirt blanc plutôt large, je prend ma veste en cuire, mon dossier scolaire, et décent en rafale les marches d’escaliers jusqu’à la cuisine, il n’y à personne, pas vraiment étonnent puisque je vie seul, j’ouvre mon frigo, prend mon jus d’orange, mes deux petites tartines aux Nutella et une pomme que je croque tout en sortent de la maison, il es sept heur et demi sa va être juste, et dire que je rentre avec quasiment deux semaine de retard, j’espère que tous va bien se passe, allez c’est partit.
    Une petite course, je prends le bus, et me voilà arrivé, un grand bâtiment se dresse devant moi, se grillage me fais pensé à une prison de la quelle on ne peut s’ échappé, je ravale ma salive et entre, je trouerais bien un moyen pour sortir une foie à l’intérieur ;) , et voilà, sa recommence !, pourquoi tous le monde me regarde comme sa, en dirais un extraterrestre qui essais de se promené en ville, qu’es qui se passe je sais qu’il ne m’en jamais vue mais à se point, je crois bien que je suis entrée dans une école de cinglé, mon intuition s’intensifie lorsque je voie une femme que je pourrais bien confondre avec un homme, des cheveux gris coupe garçon, des vêtements sportif, sans seul trais féminin est sa poitrine assez volumineuse, elle s’avance vers moi, et je découvre enfin que se n’est rien d’autre que la directrice de se lycée, j’aime bien se genre de femme qui se laisse pas faire, mais comme directrice sa craint, je pence pas qu’elle soie vraiment clémente ^^‘’ , pourvus qu’elle ne me pose pas trop de soucie par rapport à ma rentré un peut retardé si on peut dire sa comme sa, elle s’arrête devant moi et arbore un large sourire, tien je pence que je vais échappé à la torture : « bonjours, tu doit surement être la nouvelle »
    «oui c’est moi» rependis-je : « je suis désolé du retard, le déménagement à mis beaucoup de temps »
    « se n’es rien, mais il faudrait que vous remontiez très vite au niveau, je ne vous cacherez pas que vous avez du boulot, et les examens débutent dans à peine un mois vous vous en sentez capable »
    « je ferrais de mon mieux »
    « très bien, alors suivez moi je vais vous guidez à votre classe, pour votre emploie du temps et votre casier vous n'aurais qu’à allais demandé à votre délégué de classe il s’en chargera, d’acore»
    « oui, bien sur »
    « et j’avais presque oublié, vous devais aussi intégré un club du lycée »
    « c’est obligatoire » dis-je un peut désarmé et surtout pas motivé.
    « oui, alors je vous laisse le temps pour choisir entre piscine, basket, music, jardinage, journal…. »
    Elle continua de m’ énuméré une longue très longue liste à la quelle je ne prêté plus vraiment attention, de toute façon mon choix étais simple soie piscine, deuxième cas de figure music, mais il faudrait d’abord que je voie qu’elle style il en ici, je ne voudrais pas me retrouvé dans une chorale ou quelque chose du genre, je veux quelque chose qui bouge.
    Je suis la directrice jusqu’à son bureau, elle cherche dans des milliers de papiers mon nom, avent de me dévoilé que j’étais dans la classe cinq, la cloche sonne et dire que j’étais arrivé en avance, je continus de la suivre, donc à se que j’ai compris ma sale est à coté du gymnase deuxième étage, bon, super, la porte est fermé, super moyen de se faire remarqué, un prof sort et laisse la porte légèrement entrouverte, de la je pouvais entendre quelque messe base comme : « y’a une nouvelle » « elle à l’air canon » « non, c’est pas du tous mon genre » « encor une autre » « j’espère qu’on pourra être amie », je laisse malencontreusement échappé un soupire de désespoir, et fini par rentré, à se que j’ai compris c’est mon bourreau….. eh pardon c’est la personne qui doit réussir le prodige de me faire travaillé en classe les mathe, et aussi mon prof principale.
    L’horreur je me retrouve sur l’estrade et il me demande de me présenté, bon je ne dois pas m’emmêlé les pinceaux, je lève la tête vers mes futurs camarade, sourie de plain dent un sourire angélique, celui qui me serre à savoir à qui j’ai affère et qu’elle est la procédure à employé, bon j’entond les garçon parlé, j’ai bien l’impression qu’il me prenne pour un petit lapin face au lion, je continus de sourire et dit : « je m’appelle Carla, je suis ravie de vous rencontré, je n’es pas vraiment grand-chose à dire, alors tous se que je voudrais que vous sachiez c’est vous me cherché vous me trouvé, je suis pas vraiment le genre de fille avec qui il faux joué »
    Le prof ainsi que les élèves me regarde de haut en bas, je continus en dissent : « des questions ?? », un jeune homme lève la main et dit : « tu es seul ? » alors la je crois bien qu’il n’a pas vraiment compris et si je l’humilié un petit coup: « eh désolé, mais même si je n’avais personne, tu n’es certainement pas mon type » la classe éclate littéralement de rire, le garçon es rouge pivoine, et le prof n’a pas vraiment l’air content, bon se n’es rien, et on peut pas vraiment dire que c’est ma matière préféré, je me tourne vair lui et dit : « ou es que je peut m’assoir ? »
    « et bien tu n’a qu’à te mettre à coté de jack » se prof est bête ou quoi ?, je suis nouvelle je risque pas de savoir qui es jack, bon je regarde la seul table encor vide, est à coté de la fenêtre, superbe, je m’avance et pose mes affères, le court reprend, je regarde le garçon à coté, il dort, c’est sans doute lui jack, sa à l’air d’être un élève super sérieux, je me demande de quoi il rêve, il à l’air serin, et il es plutôt beau garçon, un ???? mais qu’es que je raconte moi, cette carotte au cheveux orange !!!! jolie !!!, j’ai sans doute de la fièvre, je tourne ma tête vers la fenêtre et me laisse entrainé par mes rêveries, l’heur passe lentement, je sent plusieurs  regard se posé sur moi mais je n’y prête pas vraiment attention, je fini par prendre un stylo et commençais à dessiné une créature tous droit sortit de mon imagination, j’étais plutôt fière de moi, mais très vite le prof cria mon nom et dit : « mademoiselle, j’espère que je ne vous dérange pas, pourriez vous me montré se que vous dessiné»
    « eh, non monsieur vous vous trempez » je fis glissé doucement la feuille sur le rebord de la fenêtre avent de continué : « je ne fessais qu’essayais de rependre à la question » oups je crois que j’ai fais une gaffe la.
    Il sourie et dit : « alors pourriez vous mentes au tableau »
    N’avons pas trop le choix je m’avançais vers le tableau, mais je n’étais pas vraiment stressé après tous même si je ne fais pas vraiment attention et que je haïssais littéralement cette matière, je n’ai jamais eu de mauvaise note, c’est plutôt le contraire, son équation étais pour moi comme boire un vers d’eau, en à peine quelque seconde, je le lui résolu de la manière la plus complexe que je pus trouvé, il me regarda les yeux grand ouvert comme le reste de la classe, je sourie et retourna à ma place, lui-même ne semble pas avoir compris comment j’ai fais, le prof ne tenta plus rien et ne me parla plus durent tous l’heur qui suivie, un vrais soulagement, je pus m’assoupir sur mon bureau.
    A l’heur de midi, je fus surprise de voir que mon voisin jack avais disparue, il avait dormis durent toute l’heur, et à peine avais-je pus entendre le son de la cloche qu’il n’était plus à sa place, je rangé mes affèrent, alors qu’une fille s’approcha de moi et dit : « salut, moi c’est Sindi, t’a l’air sympa, tu veux qu’en déjeune ensemble, je te ferais faire le tour du lycée »
    « dac, mais avent tu pourrais me dire qui es le délégué de cette classe, c’est lui qui doit me donné le numéro de mon casier et l’emploie du temps »
    « pas de problème et la délégué c’est moi, viens je te les passe tous de suite »
    « je te suis » j’accompagnai Sindi et elle me passa se dent j’avais besoin, bon, pour l’instant sa se passe plutôt bien.
    Alors comment va être le reste de la journée de notre chère Carla ?, sa vous le sauré dans le deuxième chapitre, j’espère que celui si vous à plus, donné moi vos avis ^^


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  • chapitre 18: maladie et solitude

    mon seul sauveur dans cette obscurité

    chapitre 18

       Avent dernier jour, demain j’accoste, demain plus rien ne sera comme avent mon cœur se resserre, j’ai mal, tellement mal, mais j’ai fais un pacte à moi même, je changerais, je ne doit pas criée, je ne doit pas pleuré, moi, Liliana n’aimerais plus jamais, malgré ses mots sont absence me blaise tellement, hier j’ai fais un rêve, un cauchemar, ou je ne sais comment l’appelais, je lui disais adieux, je pouvais enfin parlé à Arthur, je lui es tout dit…. à propos de moi, à propos de mon avenir…de se qu’il me réservé…je les regardé droit dans les yeux et lui ai dit une phrase qui reste gravé en ma mémoire, que je eu tellement de mal à faire sortir de ma gorge, en baigéllon je lui ai dit que je l’aimé, qui j’étais, et aussi se que je voulais faire, pour finir par le simple mot qui ma décroché le cœur, le simple mot qui à réussi à enlevé le sourire et le sentiment qu’il étais seul à pouvoir m’offrir : « adieux Arthur ».

       Je me lève comme tous les matins, je ne me sent pas vraiment très bien, mais sa passe, au tour de moi, cette cabine vide, tellement grande mais tellement vide, Didi est le seul à coté, il es le seul présent, le seul à me regardé et à sourire…. depuis que je suis petite, il es le seul qui ne ma jamais quitté, et qui ma à jamais soutenus dans tous se que j’ai fais, je le prend et le sert contre moi, j’apaise mon cœur en sa compagnie, je voie le soleil traversé le voile de ma chambre, m’habille et sort de la cabine en temps que princesse, je ne veux pas me caché, j’en es assez de tous sa, de devoir à chaque foie enfilé mon masque, après tous je n’en voie aucun intérêt ici, je marche sur le pont sans aucun sourire, sans prêter attention à se qui m’entour, je marche et je me rappellent de tous et de rien, la phrase que j’ai dite dans mon rêve me tenaille l’esprit, elle n’arrête de se répété, Arthur n’ai pas la, Sébastien ne viendra sans doute pas si je suis ainsi habillé, et je ne même pas intérêt à la seul personne dans je ne me séparerais jamais, mon petit Didi à beaux aboyé je ne le regarde même pas, pardonne moi, pardonne moi, toi qui es toujours à mes coté, pardonne celle que je suis…. La réalité je suis déçu, par ma propre faiblesse, je suis déçu par le faite que je n’arrive même pas à arrêté d’y pensé, je pense forte mais je ne le suis pas, y arriverai-je réellement ???, quelqu’un comme moi peut il réellement changé quelque chose, au fend j’aimerais que se bateau ne s’arrête jamais, qu’il m’emmène vers le boue du monde, sans retour, je suis rien d’autre qu’une pleurnicharde et une raté.

       J’entend quelqu’un répété mon nom, qui aise, qui m’appellent, avec une grande difficulté je réussit à ouvrir les yeux, Sébastien que fait il ici, se n’étais qu’un rêve, j’étais bien sur le pont, ma tête tourne, j’ai male, et je n’arrive même pas à ouvrir totalement mes yeux, doucement je regarde au tour de moi, je voie le capitaine il semble hurler mais je n’entend rien, une femme est devant lui, l’autre est devant moi, de l’agitation remplis ma chambre, des gens ici et là, mais je n’ai plus la force d’ouvrir les yeux et je fini par me rendormir sans prononçais un mot , j’ai mal, tellement mal.

    Point de vue Sébastien :

    Je marché sur le pont, j’ai fini le travaille pour aujourd’hui, j’ai bien fais de prendre l’heur de nuit, il es six heur et demi, il semble que presque tous le bateau soi encor endormis je m’avançais, qu’en soudain je remarque Liliana, elle porte ses vêtements de princesse, je ne peut pas l’approché, c’est étrange elle ne semble pas être dans son état habituelle, son chien aboie mais elle ne repend pas, bon vus qu’il n’ya personne, je n’ai qu’à allais la voir, bizarre, elle ne bouge pas d’un pousse, soudain j’écarquille les yeux, et fonce sur cette dernière, elle es allongé à terre, je suis complètement paralysé par la peur, je répète son nom, alors qu’elle es entre mes bras, complètement inconsciente, brulante de fièvre, n’y à t’il personne sur se bateau, je court et hurle à l’aide, la première personne qui m’à vus à pris panique portent sa main à sa bouche : « emmenez la dans sa chambre, j’appellent le capitaine », j’exécute aussi vite que possible l’ordre donnée par mon supérieur et l’allonge sur son lit et reste à son cheveux, Didi semble aussi paniqué que moi, en reste tous les deux à sont chevé. cinq minutes plus tard, le capitaine est là, je voie des dizaines de personne le suivre, affolé, presque tous l’équipage se rué dans la chambre alors que le boss hurlé pour savoir se qui se passé, à cette instant j’ai réellement réalisé avec qui je me trouvé, la princesse Liliana, elle à beau être comme toutes les filles, elles à beau sourire constamment, elle à beau ne jamais se plaindre, pleuré en silence, elle à sans aucun doute des milliers de responsabilité sur les épaules tous comme une certaine personne, je doit faire de mon mieux pour l’aidé, elle es celle qui ma ouvert les yeux, elle Lili, non, Liliana, ouvre les yeux, j’ai peur, j’ai peur de se qui se passe. 

    Point de vus Liliana :

     

        Il fais noir, sombre, je ne voie aucune lumière, je suis seul, complètement seul, je doit appelais quelqu'un, mais qui ?, je ne sais pas, j’ai toujours étais seul, tous le monde fini par partir tôt ou tard, il n’y à personne qui reste, je ferme les yeux dans se néant et me plonge dans mes pensé, oui après tous, mon père est partit, ma mère pence comme tous le monde et ne voie que les positions social, tous les personne que je côtois semble gentil mais personne ne les réellement, ou tous simplement il me parle comme la société les à programmé, ou encore on se détournent de mes yeux et regardent ma couronne, ne voient rien de moi, je suis jugé à chaque instant, je doit levé la tête à chaque instant, sourire à chaque instant, je suis condamné à ne pas être comme vous, à être aimée pour se que je ne suis pas, on réalité je ne suis pas comme elles, pas comme toutes ses aristocrates qui n’en aucune personnalité, je ne suis pas faite pour plaire à tous le monde, je suis moi un point c’est tous, comme je suis née, telle que je suis resté, j’ai mes rêves, mes ambitions, mon petit caractère, je ne sais pas comment plaire à tous le monde, et je n’aimerais en aucun ka que se soit le ka, sinon sa signifier qu’en se moque de moi, ca, sa n’existe que dans les comptes de fée et moi je suis dans la vie réelle, se n’es pas facile tous les jours, mais c’est ma vie, on me méprise pour mon titre, on me ment on disent m’aimé alors qu’en viens juste de me voir, on se moque de moi en me dissent de porté un masque que malgré moi j’enfile à chaque instant et le plus grave c’est que j’y es pris l’habitude, de se masque de fer, il me fais male, mais c’est aussi ma carapace, je peut m’y réfugié, j’aimerais bien l’enlevé mais on m’à élevé comme sa, avec se masque, et on me remémorent bien, à chaque moment ou j’ai voulu le retiré je me suis retrouvé vulnérable, j’ai étais séparé des seuls amis que j’avais, et c’est sans doute pour sa que je me retrouve ainsi, dans cette endroit, vide et lugubre, avec personne à appelais, personne à cherché, personne qui peut me trouvé ou me sauvé, je n’ai pas d’ami, c’est pour sa que j’en suis arrivé la.

       J’entends à nouveau des voies, c’est qui ?, elle me dise quelque chose mais je ne sais pas qui c’est ??, pourquoi je n’arrive pas à me souvenir, une phrase reviens alors à mon esprits et me fis ouvrir les yeux, je répète doucement se que mon subconscient me rappelais, on tremble de toute part « pleur au temps que tu veux, je suis la près de toi » c’est, c’est Sébastien…. Sébastien c’est…. toi qui m’appelles, Sébastien c’est toi… comment à tu fais pour arrivé la….. Sébastien c’est toi, pourquoi es tu là…..SEBASTIEN.

    Point de vus Sébastien :

       Sa fessais déjà quelque minute que j’étais la, assied devant elle, peut à peut tous le monde étais partit, il ne resté plus que moi accompagné du capitaine, une infirmière et Liliana toujours allongé dans son lit, elle n’avait pas ouvert les yeux même avec tous le grabuge qu’en fessais, le responsable de tous se qui se passe dans se bateau me regardais, puis il se décida enfin à m’adressé la parole : « toi tu fais bien partit de mon équipage, quelle est ton nom ? »

    « Moi, je m’appellent Sébastien »

    « Et bien Sébastien, je te doit une fière chandelle, merci pour avoir aidée la princesse Liliana…mais tu ne peut pas resté ici, maintenant tu doit partir »

    « Mais.... »

    « Non, désolé, mais tu ne peut pas resté ainsi, ne t'en fais pas nous allons nous occupé d’elle, mais tu ne la connaisse pas, tu n’à aucun liens de parenté à elle, et vous êtes tous deux de familles bien différente, je suis désolé mais je doit te demandé de la laissé »

    « Oui monsieur »

       Qu’es que j’allais faire ?, je partis on direction de ma chambre, j’avais failli trahir son secret, et on plus nous mettre dans une galère pas possible, non là, je suis vraiment cinglé mais franchement à quoi es que je pense.       

       Cela fessais six heur que j’étais allongé dans mon lit, j’avais pris cette journée spécialement pour resté avec elle, demain en accoste, elle est tombé malade, c’étais pas vraiment le moment, j’ai beau e retourné dans tous les sens je n’arrive pas à arrêté d’y pensé, Liliana, j’espère que tu iras mieux demain.

       La nuit fini par arrivé, j’avais passé ma journée enfermé à pensé au rétablissement de Liliana, sans pour au temps réussir à allais la voir, je fini par sortir incapable de me résigné à dormir, je suis partit sur le quai à regardé l’horizon, qu’en soudain…..


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  • chapitre 2: c'est simple, je vais la tué

     

    je viens de finir de déjeuné, Sindi es super sympa, mais là je me sent pas bien du tout, chapitre 2: c'est simple, je vais le tuéet je commence à avoir mal à la tête, oh non, j'ai oublié mes cachés allais se n'es rien, je file à l'infirmerie et lui demande quelque pilule, elle regarde mon carnet scolaire et ne tarde pas à me les donné, je la remercie et sort de sale avent qu'en me voie, je ne veux pas du tout qu'en sache, une petite demi heur et les pilules ferons effet, de toute façon je me suis habituée.
    malheureusement je suis conviée maintenant à quatre de supplice dans les labos, sa je ne mis ferais jamais et en plus je ne suis pas dans le même groupe que Sindi, moi qui espéré pouvoir me mettre avec elle, bon tempi, je marche doucement avent d'atteindre le lieu ou je vais passé toute mon après-midi, un long soupire sort de ma bouche et je franchis la porte, bon une place???, mes yeux se balade dans la sale avent de s’arrête, un grand sourire s'affiche alors sur mes lèvres, voilà une de libre et toujours coté fenêtre  j'ai trop trop de chance, je m’installe et tous le monde me regarde avec un air terrorisé, mais qu'es qui se passe à la fin, une élève commence à d’approché de moi, mais elle s’arrêta de suite en voyant que quelqu’un venais d'entré, eh, je le reconnais, ahh, oui c'est jack mon voisin de table.
    Jack : "éé, la naine, pousse toi c'est ma place" dit il d'une voie terrorisante en arrivent devant moi
    un mais pour qui il se prend celui la, LA NAINE, il va voir se qu'il va voir, je me pencha chapitre 2: c'est simple, je vais le tuéet regarda de toute part à coté de moi : "désolé, mais je voie pas ton nom inscrit dessus, Carotte"
    "comment tu ma appelais la????"
    "Carotte, pourquoi?"
    "tu va me le payer"
    "oh, j'ai trop peur , qu’es que tu va me faire" je sais que j'y allais fort mais je n'y peut rien, j'ai comme on me le dit souvent un caractère de cochon
    il me pris par le col et me souleva en une fraction de seconde, c'est vrais que la je ressemblé vraiment à une naine, je le fixa droit dans les yeux et dit : "alors voilà qu'un homme s’abaisse à frappé une femme!" en réalité je ne savais pas du tout comment mon sortir et je n'avais trouvé que sa, c'est trop bête mais il est trop fort, et en plus ma tête me fais trop mal, faite que mes caché fassent effet, mais pourquoi il à d'aussi beaux yeux putain je n'arrive pas à détaché mon regard, il mesure en moins cinq centimètre de plus que moi, il faux vite que je règle sa, je ne sais par qu'elle miracle jack fini par me reposé mais dans l'autre siège à coté de lui, adieu ma belle fenêtre, j'allais me relevé mais la prof arriva se qui me ramena à me rassoir, ce jack, j'ai envie de le tué, il sourie face à mon soupire, cette carotte m’exaspère, voyons que je n'avais aucun autre choix, je sort mes affèrent, et regarde celle qui se trouvé sur l’estrade, ma prof de science une femme qui avais l'air d'avoir la 40, cheveux coloré noir, de beaux yeux brun, bref une prof, un être humain, le cour n'à même pas démarré que je commence à baillé, je regarde devant moi et fus surpris à qu'elle rapidité l'être (je ne sais pas encore si il est humain ou animale) qui se trouvé à mes coté c’était endormis.
    sa fais maintenant une heur que je suis assise sur se siège, la prof nous à refilé un exercice, vus que l'autre à coté dort, et que franchement je n'avais aucune envie mais alors la aucune qu'il recommence à m’emmerde j’ai fini par le faire moi-même, heureusement sa ne m’à pas pris très longtemps donc juste après sa j’ai fini par reposé ma tête entre mes bras, et par m’endormir sans même le remarqué.
    J’étais dans une pièce toute blanche, des photos de toutes les personnages que je connaissais et voulez tuer défilé devant mes yeux, Charlie et Mindi, mes anciens amis, se que j’étais, sans oublié Matias et Lévi, et oui, vous deux, se dans j’avais le plus confiance, se qui m’en fais tellement souffrir, jamais je ne vous le pardonnerais jamais ….JAMAIS.
    je me réveille en sursaut et on crient, se n’étais qu’un rêve, mais ou es que je suis ?, j’entend quelqu'un me parler et j’ouvre entièrement les yeux, je deviens rouge de hante alors que ma prof est aussi remonté qu’une punaise, elle me hurle dans les oreilles des mots incompréhensible que je pence bien être de l’italien, tous les élèves esses de cacher leur messe basse et leur fou rire, a par un seul, devinez allais, essayais de deviné qui ne voulez pas du tous se retenir et son donné à cœur joie, oui, c’est bien lui, mon magnifique voisin que j’aime temps et à qui je réserverais une magnifique mort le temps voulu, mon prof continus à crié et je refermer mes yeux bercé par la douce mélodie de sa voie, je ne me sens pas du tous bien, et je n’ai presque pas fermé l’œil de la nuit, se qui n’arrange pas vraiment mon ka, sans doute épuisé de ses longs discourt sans fin, mon prof pointa la porte de son indexe et cria un seul et unique mot qui me fis sourire se mot que j’attendais temps étais : « DEGAGE » je me levé sans trop de peine, jack dit : « et moi…je peut sortir »
    « le jour ou vous me demanderez de rentré, je vous ferais sortir »
    « D’acore alors monsieur, pourriez vous me laissez assister à votre court »
     « TAISEZ VOUS ET RESTER A VOTRE PLACE »
    Je sourie automatiquement à cette réplique, et dit à jack : « ne t’en fais pas la prochaine foie sa sera ton tour » Je partis immédiatement après sa, laissent mon professeur presque noir de colère.
    J’étais sortit je me baladé un peut partout dans le lycée avent de partir dans la cour tous se que je veux c’est respirer de l’air, cette foie les cacher mette du temps à agir, après quelque vaine tentative je fini par me dirigé vair l’infirmerais, lui dissent que je ne me sentais pas bien, elle me laisse m’allongé, et je peut enfin avoir un sommeille chapitre 2: c'est simple, je vais le tuéréparateur, je me suis habitué à faire des cauchemar, à être seul, à ne faire confiance à personne, je me dit qu’au fend c’est sans doute se qu’il me conviens le mieux.
    La sonnerie à fini par retentir, j’étais toujours endormis, mais je commençais à entendre des bruit de pas, malgré le sommeille qui me persécuté, je réussit à me levée, et remercié l’infirmière, je me dirige vair ma sale de classe, ouvrent la porte très vite je remarque qu’il ne reste plus personne, prend mes affère et me décide à courir vair la maison, balancent mon sac sur le canapé, je prends celui que j’avais préparé la veille, enfile mes rauleurs, prend un autre caché pour mes maux de tête, et file comme une flèche à mon boulot.
    Un sourire Béa, mon petite uniforme ainsi que mon tablier, vous l’aurai sans doute compris je suis maid, oui, depuis une semaine j’occupe se poste, c’est vrais que sa me chapitre 2: c'est simple, je vais le tuésemblé impossible de m’imaginé comme je le suis actuellement, avent j’aurais trouvé sa humilient mais pas maintenant, tous se que je veux c’est travaille et c’est un job comme tous les autres, alors sa me plais, bien sûr temps que personne du lycée ne me voie comme sa, je pence que je vais bien me plaire dans cette ville, et je l’espère.


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