• chapitre 5: drole de jour

    chapitre 5

    Dans un château, trois demoiselles de Compagni se dirigé vers la chambre de la princesse Liliana, soudain l’une d’entre elle poussa un crie, la deuxième soupira, et la troisième pensa : « je le savais elle fait toujours sa après une soirée » et comme à l’accoutumé, la plus jeune alla prévenir le garde, qui alla de son tour chez Gorge, qui se dépêcha de trouvé la reine qui envoya toute la garde, et tous se demandé qu’une seul chose : « que fais Liliana l’hors de ses escapades ? ».

    Le cœur léger au coté de mon petit Didi je m’avance et rie de l’agitation qui se passe sous mes yeux, en ne me reconnais pas, et cela je ne m’en plain pas, la princesse que je suis et bien dissimulé sous cette casquette et ses vêtements quelque peut crasseux, même le  compagnon de longue date qu’est mon chère Didi à étais surpris l’hors de ma première aventure, maintenant avec cette tenue seul la personne que je suis compte rien d’autre, rien, je continus mon chemin ne visent pour l’instant qu’une seul chose, un moment, un seul et unique moment de liberté qui je pence bien mérité.

     L’hors du petit chemin qui reste, je propose a mon chien une course à la quelle il n’a qu’une seul raiponce, s’évaporé de mon champ de vision, un sourire malicieux se pose sur mon visage, et je me prépare à allais affronter l’adversité, je baisse la tête et me mis à courir , à mon plus grand désespoir je fini par perdre, je fais la moue et attend ma consolation qui fini par arrivé, la grosse boulle de poile se jette dans mes bras, et me fis basculé à la renverse, salissent quelque peut mon visage de sa bave, je m’assoie et le caresse, avent de reprendre la route de la ville.

    Je fini par arrivé mon cœur s’emballe comme à chaque foie, cette endroit est magique, je marche, et marche, je regarde les personnes, je remarque une petite fille avec sa mère, elles en l’air  de bien s’entendre, la voilà qui achètent des fruits, en voyant se qui semblais être très juteux mon ventre fis un bruit un peut angoissent, c’est vrais je n’avais rien avalé depuis hier, et je n‘avalerais sans doute rien d’ici se soir, vus que je n’ai aucun sous en poche, J’AI TROP FAIM, Didi me regarde il à sans doute compris et d’après se que je voie il ressent sans doute la même chose, il me regarde les yeux quelque peut supplient, une petite moue que je lui rendit avec une caresse : « tu sais bien qu’il faux qu’en attendent se soir, aller se n’est pas la fin du monde, un peut de patience » a cette instant précis mon ventre refis un bruit sourd qu’heureusement personne n’a remarqué «  pas très convainquent, le mètre montre l’exemple pensé-je, mais pas question de rentré avent se soir, je vais pas réentendre ma mère maintenant sinon je m’évanoui, allez du courage » je leva la tête haute, mon ventre c’étais calmé rie qu’en repensent au supplice de se soir.

    Après quelque minute, alors que je marché dans la rue, un chat apparu, OH NON PAS SA, INJUSTICE POURQUOI TON PREND TU A MOI MAINTENENT ???, POURQUOI ???? ME DETESTE TU AU TEMPS !!!!  et me voilà embarqué dans une course folle, je vous explique malgré qu’il à étais très bien élevé,  mon Didi comme tous les chiens de la terre je suppose déteste mais au plus haut point les chats, je fini par perdre sa trace, mais je continus ma course folle cela est sans dire sous les yeux amusé et furieux de tous les villageois.

     je cours et cours et fini par le trouver, OH ? NON !!!!! GROSE BOULETTE, une foie arrivé je découvre qu’il viens de renversé la carriole d’un marchent, il commence à s’approcher de moi, je crois que sa va male allez, qu’es que je doit faire, ils m’injure en raccourcissent dangereusement la distance entre moi et lui, a mais pas la peine d’avoir peur, je suis une fille je pence pas qu’il va haussez me frappé, OH NON JE ME SOUVIEN JE SUIS UN GARCON QUES QUE JE PEUT FAIRE ????, je scrute l’horizon affolé mon chien positionné devant moi comme une barrière, qu’en soudain quelqu'un me prend la main et m’entraine pour la millième foie de cette journée dans une course je tourne la tête pour voir qui nous suis : bon Didi sa c'est normale ,et NON PAS LE MARCHON, j’entend les plaintes des adultes et les rires des petits, qu’en soudain celui qui me tien la main dans j’avoue ne pas avoir eu l'ocasion de voir autre son dot me dit tous en continuent de courir : « ne fais pas attention à eux, et dépêche toi si tu ne veux pas qu’en nous rattrape, je t’avoue que je n’ai pas trop envie d’être arrêter avec toi » ni plus ni moins, pas   besoin d’entendre plus avent que je mette le turbo en pensent : « non, si en nous rattrape, je finirai au châteaux, la supercherie sera découverte, et ma mère me tuera si elle apprend que je me déguise en garçon pour allez en ville et y mettre la pagaille » je continus danc la poursuite la main dans celle de l’inconnu, Didi au devant et le marchent disparaissent peut à peut de nos yeux.

    Après quelque minute en fini par s’arrêté,  mon sauveur se mets à rire j’ai l’impression de le reconnaitre mais ou ?? ou es que je l’ai déjà vus ??, il à des cheveux noir, des grand yeux d’un brun si profond qu’en pourrais si perdre, il à peut près la même taille que moi ou au plus je dirais 5 centimètre de plus, comparé à moi qui est passé une journée comment dirai-je forte  en rebondissement et assez épuisante, il n’à pas vraiment perdu son souffle, cette impression ne me quitte pas je continus toujours de l’observé, comme si un miracle allez tomber du ciel et me dire qui il est, qu’en soudain il retourne sa tête vair moi et me sourie : « et bien je crois que je suis arrivé juste à temps, moi c’est Arthur et toi ?? »

    OH NON ? C’EST SA ARTHUR CELUI QUI ETAIS A LA SOIREE ET BIEN !!!! HEUREUSEMENT QU’IL NE MA PAS RECONNUS, je fini par me baissé pour lui dire merci mais la, grau blanc ma casquette tombe et je me retrouve avec mes long cheveux au vent comme une ahuri sous les yeux ébahi d’Arthur avec la bouche grande ouverte, je n’ai aucun doute il ma sans aucun doute reconnu, qu’es que je vais faire !!!!!.............à suivre 

    alors alors, que vat il se produire, comment réagirat'il cette foie, et bien et bien je m'arrête au moment cruciale eet j'admet avoir hésité à vous révélé qui étais le garçon  (Arthur 1 ou Arthur 2) ne vous enfaite pas demain vous aurez la suit ou au plus tard après demain, je m'éxuse pour le retard et je doit bien admettre que j'ai eu du male à écrire se chapitre, donc j'éspère qu'il vous plaira. et enfête des aujourd'hui cette fic s'appellera princesse rebelle, j'ai beaucoup hésité donc svp dite moi honnaitement se que vous en pensez et si sa lui convien

    votre ami parano mi ange mi démon qui aime vous faire languire

    mimikila ^^

     


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  • chapitre 6: nouvelle ??

     

    chapitre 6

     

    Le jour c’est levée et je ne sais comment la nuit est passé, je ne me souviens ni de mon réveille, ni de l’insouciances de mes rêves, mais je m’en fiche royalement, es que je pourrais le revoir normalement et non en temps que princesse ?, je veux sortir, m’envolais, fuir se palais, pendent quelque minute, non seulement quelque seconde revivre la journée passé en enlevant un seul et unique geste que j’ai regretter, Didi me regarde et je lui sourie, pourrai-je un jour effaçais le faux sourire qui me couvre le visage, hier j’avais réussi, qu’en j’étais poursuivie en temps que villageois, j’ai pus sourire de cette aventure avec lui et puis….

    Flach back :

    Ma casquette viens de tomber je suis découverte, Arthur c’est arrêté de rire sa fais déjà quelque instant qu’il m’observe de la tête au pied avec un air d’ahuri, et bien j’allais me résigné à ouvrir la bouche quand je le voie s’affalé au sole se tenant le ventre et semblent étouffé de rire, que lui arrive t’il, que fait il ???,  il me regarde et essaye de décoché trois mot avent d’arrêté son rire en essayent une petite larme qui venais de glissé le long de son visage : « excuse moi » me dit il alors que j’avais emprunté la tête d‘ahurie qui lui appartenez ne comprennent rien à se qui se déroulais sous mes yeux avent qu’il  ne reprennent : « je croyais que tu étais un garçon,  (rougie légèrement de son ignorance)  excuse moi….mais dit mi comment tu appelle ?? »

    Je restai là consternais, il ne m’avait pas reconnu, je soufflai intérieurement pour me soulagé : « Lili… » Oh non je vais qu’en même pas lui dire mon prénom qu’es que je vais faire, je fus interrompus par sa parole : « tu t’appelle Lili , c’est sa »

    Moi : « oui, c’est sa » bon apparemment je m’appelle Lili, bon je trouve que c’est un beau nom, en plus je pourrais mon souvenir facilement, je sourie.

    Arthur se leva et s’approcha de moi en me tendent sa main : « ravie de te rencontrais Lili, je crois qu’en va bien s’entendre »

    Je le regardai, c’étais la première foi qu’en me parlais aussi facilement je sourie de plus belle, et lui pris la main à tout e vitesse comme si je voulais lui empêcher de s’évader : « oui moi aussi, soient amis » Didi se mis soudain à aboyais « et lui c’est (vite trouve un nom, vite vite) Kiki…kiki le fauteur de trouble à qui je dois ta rencontre »

    Arthur se baissa à son niveaux pour lui caressé la tête : « ravie de faire ta connaissance Kiki » celui si lui lécha la main

    Moi : « je crois bien qu’il t’apprécie, tu à de la chance, tu es bien parmi les premier qu’il voie sans essayé de mordre d’habitude, il prend du temps pour s’habitué »

    Arthur : « merci mon beau »

     

    En retourna alors en vile tout en prennent garde à resté 1 km plus  loin que le marchent de tout à l’heur, je lui dit que je venais d’arrivé avec mes parent et que je visité un peut la ville, sa réaction fus immédiate et il devenus un véritable guide touristique, se qui ne me déplus pas le moins du monde, lorsque mon ventre à refait son vacarme habituelle je rougie au temps qu’une écrevisse, cette foi il avais compris il me sourie en me tendent la moitié d’une pomme qu’il avais acheté, je l’accepta sans rechigné, et l’avala comme le plus grand des festin, c’étais la première foie que j’apprécier au temps un repas, je fessais se don j’avais envie, et au lieux du silence régné l’agitation que j’adoré entendre.

      Le moment que j’ai détesté de la journée arriva, en se dit au revoir, si il y’a bien une chose que je voudrais supprimer c’est les au revoir, car justement je ne savais pas si en allais pouvoirs se revoir le coeur lourd, je le salua de ma main, il ma dit qu'il m'attendrais au même endroit le lendemain, ma raipence fus: "je ne sais pas trop si je pourrais mais j'éssayerais l'après midi"

    Arthure: "je t'attendrais qu'en même, au ka ou" avec un sourire

     je le quitta et allas afrenté l'acoutumé, ma mère, mon cerment, ma chambre, mon faux sourire, je pensa toute la nuit à cette journée qui étais la première ou je méttais totalement amusé, mais pourai-je revoir pareil, sur seux je passa une nuit blanche.

    fin du flach back

     je ne pus fermé les yeux qu'a cinq heur du matin pour seulement 2 heur de someille réparateur, mon Didi me lécha le matin, j'avais repris quelque couleur en me dissent que je pourrais le revoir bientôt, donc, je refi comme d'hab le décompte pour voir apparètre mes trois anges du matin préféré et la même rengène habituelle avec le même programe aussi chargé qui me fis comme éffais de basculais à nouveaux dans mon lit comme pour demandé le répi d'une ame habatue.

    comment se passera la journée de Liliana?, poura-t-elle le revoir malgré son amploi du temps éxtremement chargé?, découvrira t'il un jour sa véritable origine? tous sa et bien plus encore pour tous se qui suive ma fic dans le prochain chapitre ^^, aplus votre ami qui vous adorent mimikila


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  • Chapitre 7 : escapade non prévus

     

    chapitre 7

     


    je ne pus fermé les yeux qu'a cinq heur du matin pour seulement 2 heur de sommeille réparateur, mon Didi me lécha le matin, j'avais repris quelque couleur en me dissent que je pourrais le revoir bientôt, donc, je refis comme d'hab. le décompte pour voir apparaitre mes trois anges du matin préféré et la même rengaine habituelle avec le même programme aussi chargé qui me fis comme effet de basculais à nouveaux dans mon lit comme pour demandé le répit d'une âme habitue de ne pas pourvoir s’échappé de nouveaux.
    La journée se déroulé, j’avais repris mes force l’hors de la sieste d’histoire, bon, je me dirige maintenant vair un repas solitaire qui envier la pomme d’hier pour son naturelle et sa beauté, celle la je l’avais mangé avec le plus grand appétit rien que de la partager et de ne pas rester seul sur un siège m’avais redonné des couleur, par contre se repas aussi garni qu’il soie, est froid, solitaire emprisonné avec moi sur cette table, ne voyant rien d’autre que les murs de se châteaux

    Après quelque petite métaphore de mon cerveaux que je pence quelque foie fêlais, je pus retourner à mon existence paisible de pure princesse, non la je rigole, ma vie catastrophique de princesse complètement à l’ouest, en avent pour le maintien, et l’économie mondiale, à cette instant j’ai comparé mes prof à des zombis, des sorcier, des monstre venus tous droit de l’enfer pour me transformé en diplomate qui ne voie rien d’autre que les intérêt et à vendu son âme au diable pour devenir la plus ennuyeuse des personne de la terre entière .

    A mon plus grand soulagement mon prof d’économie est absent pour je ne sais qu’elle raison, super, je terminerais donc à trois heur, pourrai-je allais retrouver Arthur à cette heur si je réussi à sortir sa sera un pur et simple miracle, bon qui ne tente rien à rien, je part voir l’entré et à mon grand désespoir seul les deux rabat  joie si trouvé, pas d’alliée, j’enfile ma  tenus de garçon et je mets ma casquette, en prenons mon sac contenant mes affère, Didi sortira après moi, après tous il n’a aucune restriction lui, je m’avance vers la porte, quand soudain en m’arrête mon cœur bas la chamade, espèrent qu’il n’est rien compris, quand soudain l’un deux pointe mon sac et dit : « en peut savoir se que se sac contiens »
    Je pris une voie quelque peut grave : « rien, juste quelque morceau de tissu (oh mon dieu faite qu’il ne regarde pas, faite qu’il ne regarde pas, par pitié)»
    Le garde : « alors il n’ya aucun problème si tu nous les montre »
    Moi : « ehhhhhh (prépare toi pour courir la seul solution si tu ne veux pas qu’en comprend ta russe) »
    A peine il approcha sa main  de moi, que je couru comme une dératé au centre du châteaux, je voyais tous le monde s’approcher de moi, bon plus qu’une solution, je dissent ma tête et fixe mon objective l’extérieure, je court le plus vite possible pourchassé par les garde, il n’ya  personne, je peut mon sortir , je peut mon sortir, je continus mon  chemin, la barrière commence à descendre, mais je la franchis juste avent qu’elle ne se ferme suivi par Didi non remarqué grâce à l’agitation, je me cache derrière des buisson et après un quart d’heur je pus sortir complètement essoufflé, ses dernier temps mes course se fend de plus en plus palpitent, je doit revenir à la maison avent qu’en ne découvre mon absence, sinon cette foie je peut dire bonjours à une garde reproché.
    Je laisse mes cheveux tomber sur mes épaule tout en gardent ma casquette  qui me cache un peut le visage des gardes circulent de là à là part vair le champ malgré que je doute pouvoir y trouver Arthur à cette heur si.


    Désolé je peut pas en faire plus je vais en voyage dans une heur il faux que je me prépare, donc sa sera à mon retour après demain, à plus j’espère que se chapitre quelque peut court vous à plus et dès que je reviens je vous poste le nouveaux chapitre à après demain


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  • Je laisse mes cheveux tomber sur mes épaule tout en gardent ma casquette  qui me cache un peut le visage des gardes circulent de là à là je pars vair le champ malgré que je doute pouvoir y trouver Arthur à cette heur si.

    chapitre 8: réfléxion et suspence

    chapitre 8:

     

    Sai j’y suis, comme je m’en doutée, personne, pas grave, je m’assoie qu’en même contente de pouvoir me relaxé un peut, mon Didi sur mes genoux, je le caresse, le regarde, je me trouve un peut idiote qu’en même espéré qu’il vienne me voir, alors qu’en est en fin de journée, je m’allonge et arrache quelque peut l’herbe au sol de mes mains, soudain une question me viens à l’esprit : d’ou me viens cette manie ? Pourquoi je suis ainsi depuis mon enfance ?, pourquoi j’aime au temps regarder le ciel bleu ?, pourquoi tout le monde rêve de la vie que je déteste ? Pourquoi ne puis-je être se que je suis ?, qui sui-je ? Pourquoi me caché telle une fugitive alors que je ne fais rien de male ?  La liberté est un crime ? Mes secret en t’il une si grande importance ? Ne puis-je tous simplement pas être avec mes propre idéo ? Pourquoi ne pas m’exprimer clairement ? Pourquoi je me conduis ainsi alors que je n’y trouve aucune raison ? Pourquoi je ne trouve aucune raiponce à mes questions ? Pourquoi je n’arrive pas à les comprendre ?, pourquoi je n’arrive pas à me comprendre ? À leurs faire comprendre ?, pourquoi ??, n’ya t’il aucune raiponce. Je commence à me plonger dans mon monde incertain et contradictoire, se monde ou personne ne peut  me suivre, ou je n’entends plus personne je ne voie plus rien, me contente de sentir le vent souffler sur ma peaux, les quelques oiseaux chantent la mélodie  de leur bonheur ou de leur tristesse, peut être de ma tristesse, la solitude m’emporte, secret, rêve, obligation, solitude, mensonge, ma vie es entièrement consacré à se tourbillon infernale, je me laisse aller, et je sent une larme coulais lentement le long de ma joue , sucré ?, salé ? Quel gout peut-elle bien avoir ?? Je ne le serrais pas, elle viens de finir sa couse affolé contrairement à moi, elle à trouvé la force de la finir, de tombé au sol, mais au fend es que je veux vraiment la finir ma course ?, es que je veux abandonné ? Me laissé allais ? je ne sais pas, non, je ne pence pas,, mais je me souvient d’une chose, mon objective qui parais impossible, qui parais inespérable, au fend j’espère pourvoir y parvenir, mon secret, mon vœu, se à quoi je m’accroche, pourvoir changer la fin, combattre mon destin, changer se monde, non changer cette raison qui nous pousse à être autre que nous même, changer cette esprits, cette tat d, cette état contradictoire de nous-mêmes, changer ma famille, mon entourage, mon peuple, ou ne serai-ce qu’une seul personne, qu’une seul personne puise me comprendre et me suivre dans la folie de ma vie, une personne qui me connaitra entièrement, avec mes bon et mes mauvais coté, qui sera se que je ressent, se que je vœu, se que mon esprits cherche, qui pourra me guidé, ou tous simplement m’encourager, au fend, même Arthur ne là pas fais au début, seulement parce que j’étais habillé autrement, quelle est l’impotence de se titre que je déteste temps, pourquoi seulement en changent d’habille en peut se faire un passage dans une nouvelle vie, j’aimerais rester ainsi avec ses habits aussi médiocre que certain peuvent les jugeais, tous en des histoires à raconté !!!, le mien raconte celle d’une jeune fille qui déteste se monde et qui se change en paysan pour laisser vagabondé son esprits, celui de quelque noble raconte l’histoire d’une personne qui ne voie que le superficiel et qui pour lui travailler est symbole de pauvreté, la deuxième partit se voie comme le sauveur celui qui pourra aider tous le monde et qui entre ses mains repose la vie de tous, celui d’un paysan quelle conque raconte son envie de ressemblais au beaux ministre de  son pays,  son ardeur au travaille, sa souffrance et son malheur paysagé, sa joie tous ses sentiments, quel est l’habille parfais, celui que tous le monde devrais porté, celui qui nous rassemblerais sur un pied d’égalité, il n’en existe malheureusement aucun à ma connaissance, mais j’espèrerais un jour pouvoir le trouvé.

    J’étais plongé dans mes pensés aléatoires, mes paupières close au milieu d’un champ avec seulement Didi sur mes genoux, quand soudain quelqu'un s’assis devant moi et posa sa main sur mon épaule se geste me donna comme effet un sursaut de surprise suivie d’un léger cri, j’écarquillai mes yeux pour découvrir mon nouvelle ami Arthur s’excusé, je souri, il étais venus même si c’étais pour Lili la villageoise, il étais venus pour moi, et cela me comblais de joie, je ne pus camouflais un immense sourire qui s’afficha alors sur ma frimousse, cette dernière avais quitté son monde de pleur et d’interrogation pour se laissé emporté par l’énergie et la joie du jeune homme qui lui raconté les quelques aventures de sa journée, se suivis alors une longue balade à trévère le champ, des course poursuite, des jeux, la détente régner et le temps passé superbement mais à mon plus grand regret aussi très rapidement, il étais six heur se qui voulais dire pour moi le temps de rentré surtout si je voulais vraiment faire passé cela pour une sieste retardé, à mo grand désarroi je dit au revoir à Arthur je lui dit que je ne saurais pas si je pourrais revenir ses prochains jours, bien sûr il me demanda les raisons mais je ne pus rien réveiller que dire : « j’ai des devoir et je ne pence pas pouvoir m’enfuir bientôt du châteaux » ceci étais impossible, je lui fis un sourire  et partit accompagné de Didi qui passé de temps à autre entre mes gambes, j’arriva au château et me changea avent d’entrer, les gardes me regardèrent éberlué apparemment personne ne c’étais rendus compte de mon absence, je fis seulement un petit signe qui voulais dire : vous n’avez rien vue, et j’entra à pas de géant pour me dirigé vair ma chambre ou j’arriva sans faire vrément de bruit, Didi accourue vair mon lit et en fis tous les deux un plongent, je sourie après ne bonne heur, mes gardes féminins personnel vinrent m’appelais à diner, habillé et coiffé, je descendit rejoindre la table garni ou personne ne m’attendais a par le chef cuisinier, j’avala silencieusement se canard à l’orange qui étais j’avoue délicieux, et m’âpreté à retourné dans ma chambre quand soudain Gorge apparue devant moi et me dit : « votre mère doit vous parlais, elle vous demande, actuellement elle est dans la sale du trône »

    Moi : « j’y vais de suite »

    Etrange jamais elle ne m’avait demandé le soir, sa doit être urgent, pourvus quelle n’ai rien découvert pour aujourd’hui, hésitante, crispé et un peut peureuse je m’avançai vair la sale du trône, j’y trouvai ma mère comme à son habitude devant des milliers de paperasse, qui à sa place m’aurais sans doute amenais  au sommeille depuis bien longtemps et dire qu’un jour je prendrais sa place, et bien, bon que va-t-elle bien pouvoir me dire, je resta debout face à elle qu’en elle leva enfin les yeux vair moi je sentit mn cœur battre la chamade, qu’avait elle à me dire, j’avais un mauvais pressentiment, je ne sais pourquoi mais je sentais que quelque chose allais arrivé suit à cela, quoi je ne savais pas, parle, c’est tous se que je voulais lui dire, qu’elle est cette chose qui me suscite une telle crispation, quand elle daignai enfin ouvrir la bouche, je me crispa, me figea, frigorifia , avais-je bien entendu, sa ne doit pas être vrais, j’ai sent doute mal interprété, peut être sa logue à t’elle fourché, peut être me suis-je trempé….à suivre

     

    Bon je sais la je suis vraiment méchante j’hésité entre vous révélez sa réaction, ou la chose qui c’est produite, et bien je verrais si j’ai le résultat que je voulais dans les com’s, le suspense à t’il eu l’effet escente, qu’elle est cette chose quelle lui à dit ?, se sentiment étai t’il fondé ? comment sa vie va-t-elle  changé, sa vous ne le serrais pas et je pari qu’aucun ( e ) (si il y’a des garçon qui lise mes écrit ^^) d’entre vous ne le trouvera, je sais déjà à quoi vous allais pensé au premier lieux, donc n’’hésité pas à me dire dans vos message et vérifié si vous aviez la raiponce l’hors du prochain chapitre, et je tien à dire vraiment désolé du retard, j’espère que se chap vous à plus, j’ai essayais de relevais le plus de faute d’horographe que possible ^^


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  • je resta debout face à elle qu’en elle leva enfin les yeux vair moi je sentit mon cœur battre la chamade, qu’avait elle à me dire, j’avais un mauvais pressentiment, je ne sais pourquoi mais je sentais que quelque chose allais arrivé suit à cela, quoi je ne savais pas, parle, c’est tous se que je voulais lui dire, qu’elle est cette chose qui me suscite une telle crispation, quand elle daignai enfin ouvrir la bouche, je me crispa, me figea, frigorifia , avais-je bien entendu, sa ne doit pas être vrais, j’ai sent doute mal interprété, peut être sa longue à t’elle fourché, peut être me suis-je trempé…

    chapitre 9 : jamais, vous ne déciderais pas à ma place

     

     

     

     

     

     

     

    « Princesse Liliana, tu à étais inscrite à un programme qui consiste à t’inculqué tous le savoir faire de notre patrie, tu va devoir partir dans une semaine et tu y resteras pendant deux ans, et l’hors de ton retour tu seras marié au diplomate que nous t’avent choisi, d’ici la je pence que tu seras un parfaite épouse »

    Les paroles de ma mère retentissez en moi comme un écho, être placé dans un centre, être totalement isolé du monde, des gens qui essais de te changer 24/ 24, pour quoi ? Pour être princesse ??, une épouse parfaite ????, pour qui????? un parfaite inconnus???????, pourquoi moi? pourquoi ? NON, là sa dépasse les bornes, je n’ai le droit à aucun respect!, à aucun choix !!! C’est ma vie à se que je sache !!!!!, à l’instant précis ou je pus reprendre le souffle qui ma étais coupé, je dois avoir dépassé le mur du son, jamais au grand jamais j’avais daigné parlais à ma mère ou encor moins la contredire mais c’étais une erreur, pour la première foi de ma vie, je la regarder dans les yeux, mes yeux s’eux de dégout, de tristesse, mais surtout de pure et simple haine, étais-se ma mère ??, je ne la reconnaissais pas, et à cette instant, dès quelle avais prononcé ses paroles je ne la reconnaissais plus comme mère, c’étais seulement le destin, le destin injuste qui m’avais fais n’être dans cette famille, de cette mère, qui n’a aucun lien, qui ne me connais pas, et que je ne connais pas, je n’ai aucune raison d’existais dans se lieu, non cette femme n’est plus ma mère seulement un géniteur, pendant les quelque minute ou je ne pouvais plus contrôlé ni ma voie ni mon esprits, je la détesta, je haïssais se destin , se monde, tous je ne voulais plus être là, pourquoi suis-je femme ?, pourquoi suis-je princesse ?? Pourquoi suis-je née en se siècle ???, je hurla, cria, vida toute ma haine devant la reine qui se trouvé devant moi pour finir par une phrase, un simple phrase qui reflété tous se que mon cœur ressentez : « je vous hais, je vous déteste, et toi, tu n’es plus rien pour moi, à par la reine, tu n’es plus ma mère » je m’enfuis en courent, n’espèrent entendre rien d’autre de sa part, je ne la supporte plus, tous, ma vie, tout le monde à le droit au respect alors pourquoi pas moi ??? Qu’ai-je fais pour mérité sa???, je claque la porte de ma chambre, tous le château ma entendu bouche bée, ils en les yeux rivé sur le mur qui me sépare d’eux par une porte close à double tour, de mon coté je me suis jetée sur mon lit, princesse Liliana, non, vous vous trempé, je ne suis pas princesse, je suis plutôt esclave, esclave de cette monarchie, de ce cercle infernale contre le qu’elle je ne cesse de lutté pour pouvoir m’en défaire, je pleur quelque larmes froide et salé qui doive sans doute représenté le malheur dans le quelle j’étais plongé, je me sentez en enfer, un simple enfer, je hurla une dernière foie de tous mon âme de tous mon cœur pour tentais en vin d reprendre mes esprits, Didi étais le seul présent mais même cela ne me réconforté pas, je le caressa comme toute petite après tous, jamais personne ne m’avais consolé, je l’avais toujours fais seul et toujours de la même manière, en vident entièrement mon esprits mais à cette instant tous cela m’étais impossible je claqua de toute mes force sur le lit, et son réfléchir à quoi que se soi je me dirigea vair l’armoire dans la qu’elle si trouvé toute mes affèrent, je mis tous mes vêtements dans un sac que je pris sur mon dot et sortit accompagné de Didi comme destination l’extérieure de cette enfer, je n’ai pas la force de réfléchir à une autre solution, ma liberté est de l’autre coté de la porte qui ce trouve à quelque mettre de moi, l’air décidé je marche, désormais j’aperçois la solution que je mettais destiné mais des milliers de gardes se jette sur moi, je cris, j’essais de mon défaire mais sans résultat, de la fenêtre du fend j’aperçois une silhouette celle de la rêne elle m’observe de sa fenêtre, elle à sans doute prévus que j’essais de m’enfuir, et à alerté toute la garde.

     

    Me voilà retourner dans ma chambre et désormais trois gardes son à l’arrière de la porte, comment je le sais, j’ai étais enfermé et malgré mon débat qui à duré en tous deux heur entières, je n’ai pus rejoindre l’extérieur de cette pièce, je fini par me laisser glissé le long du mur, Didi qui aboie à mes pieds, et me lèche doucement comme pour essayais de me remonté le morale, je lui sourie mais cette foie un faux sourire, celui si est suivi de larmes, et me voilà qui explose en sanglot, recroqueviller sur moi-même la tête entre les genoux, elle vœu que je parte, que je change, et bien je vais partir mais pas pour lui faire plaisir, je vais fuir cette endroit qui m’inspire désormais rien d’autre que du désespoir, mais je ne changerais pas, sois en sur, je ne changerais pas, jamais, au plus grand jamais, je ne me changerais en se que vous voulais, je fini par me calmais et je part m’allongé sur mon lit, en essayent d’oublié se qui viens de se produire, en réfléchissent, il faudra que je parle à Arthur, je ne pourrais plus le revoir avent très longtemps, et peut être plus jamais, qu’en j’avais enfin réussi à me faire un ami c’est trop injuste, je peut dire qu’aujourd’hui à étais le jour ou je n’ai jamais au temps pleuré, Joséphine et Arthur, j’espéré temps pouvoir passé du temps avec eux, tous le monde au château, il vent tellement me manqué, malgré leur attitude, c’est s’eux avec qui j’ai le plus de souvenir, mes amis, mes connaissance, mes petites escapades, tous tous sa va changé, et pour quoi ?? Pour mon titre ?, sur cette nuit ou malheureusement je ne voie aucune étoile, ou l’hiver et le froid en envahi l’air, sur se noir qui semble essayais de me calmer en me donnent du repo et qui à mon grand regret ne fais que ravivé ma peine : je jure, qu’à jamais et jusqu’a la fin de ma vie,  ne laisserais personne changer qui je suis, je me rebellerais contre cette monarchie que je n’accepterais jamais et dès que je serrais reine je changerais se système, se mode de vie trop coincé. 

    Voilà le chapitre 9 je sais qu’il est court, mais il prend un grand tournons dans la vie de liliana et je voulais absolument m’arrêté à cette instant, dite moi se que vous en pensez ^^

     


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